"Welcome to our freak show, come meet my monsters" chante Sub Urban. 🎵🎶 L'auteur de "Freaks' Café" pousse le bouchon de l'humour noir un peu loin en finissant ce cinquième tome par "la maternelle Freaks' Café" après le lycée Freaks'Café dans un autre volume : "Ici à la maternelle Statice, les élèves sont singuliers." 😊 Une manière comme une autre de clore cette lecture... singulière. L'intrigue principale progresse peu dans ce tome 5 : on en apprend peu sur Sen'nichi et il continue à servir ses infusions à ses clients paraphiles avec sa nouvelle employée, Takayama, qui enquête sur lui sans progresser d'un pouce. Mais les cinq cas sont plutôt intéressants : quand on croit qu'il n'y en a plus et qu'on a fait le tour des paraphilies, il en reste en fait encore... toujours une lecture pour adultes (pardi !). En tout cas, on répond dans ce tome à la question de savoir si une romance entre un(e) paraphile et une personne qui ne partage pas son penchant sexuel est possible dans un chapitre un peu plus proche de la romance que d'habitude (voire deux chapitres ?...). Mais bon. Je vous laisse : ma tisane va refroidir... 🍵
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