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3,38

sur 30 notes

Critiques filtrées sur 3 étoiles  
Je referme ce premier roman avec une sensation tenace de gâchis. le terme est fort, sûrement injuste, assurément subjectif, mais à la hauteur de la frustration ressentie tant il y a des choses que j'ai adorées comme d'autres qui m'ont chagrinée.

Cela démarre par un prologue vraiment excellent, percutant par le drame qu'il introduit et restera en suspens durant toute la lecture, et intrigant par le mystère qu'il laisse planer sur l'identité des personnages concernées et leurs motivations. Les chapitres suivant sont à la hauteur des promesses initiales, portées par une écriture de grande qualité, énergique, vivante, pleine d'humour.

La façon qu'a Virginie Armano de parler de l'adolescente est remarquable. Son narrateur, François, 16 ans, on y croit d'emblée, on le voit, on le comprend ce grand dadais qui n'a d'intérêt pour rien, ni vocation, ni ambition, et qui flotte à la lisière de l'enfance et de l'âge adulte avec nonchalance, en attendant de trouver sa voie. On lève les yeux lorsque le père apparaît, « bloc de principes et de raideur agglomérés » qui n'a que paroles brutales pour son fils. On plaint la mère, aimante mais perdue.

« Longtemps, comme tous les enfants, j'ai cru que ma mère pouvait lire dans mes pensées. C'était sûrement un peu vrai. Elles regardent, les mères. Elles savent. Elles lisent les misères et les états d'âme. Seulement, un jour, elles deviennent moins justes, atteintes d'une myopie émotionnelle qui nous navre autant qu'elle nous sauve de leur déception. Elles restent fières de nous mais pour ce que nous ne sommes plus. »
« Je la tiens loin de moi en lui servant une soupe inconsistante qu'elle fait mine d'avaler. Je retire une immense fierté, bien que furieusement volatile, de cette capacité à la berner. Contentement fugace, toujours immédiatement suivi d'un sentiment de culpabilité et de colère mêlées. Je lui en veux à crever de ne pas me bercer à jour. Je lui en veux de me perdre de vue et de ne pas me chercher plus fort. »

Et puis, il y a Simone. J'ai rarement lu une aussi belle relation entre un petit-fils et sa grand-mère, la confidente qui le regarde comme un roi la seule à croire en lui et à l'encourager de rêver grand pour ne pas vivre petit..

« Comme tous les enfants, j'ai toujours connu ma grand-mère vieilleet, jusqu'ici, je ne l'avais pas vue vieillir davantage. Je grandissais et elle me semblait rester aussi immuable que le bleu du ciel ou le vert de l'herbe. Mais à cet instant, dans cette cuisine inchangée depuis le jour de mes premiers souvenirs, je mesure violemment le temps qui passe. Sur moi, qui la dépasse maintenant de deux têtes, et sur elle, petite chose ratatinée comme un pruneau séché, si minuscule dans sa robe de chambre dont l'ourlet ballotte contre ses mollets décharnés. »


En fait, j'aurais aimé que le roman se concentre sur les relations interfamiliales. Mais c'est un roman initiatique et pour faire passer à l'âge adulte son François, l'autrice a imaginé une rencontre, avec le charismatique Gabriel, puis une épreuve qui fait basculer le roman dans un tout autre registre autour de thématique sur l'emprise et la domination psychologique.

Et là, j'ai complètement décroché tant les péripéties m'ont semblé d'autant peu crédibles qu'elles s'enchaînent sur un rythme confus beaucoup et trop rapide, ce qui ne permet pas de les comprendre réellement, et ne fait qu'effleurer des thématiques graves qui ne méritaient pas d'être ainsi survolées. le récit s'alourdit et devient laborieux, jusqu'à cet épilogue inutile qui projette dans l'avenir et ôte au lecteur toute possibilité de s'imaginer une suite plus ambiguë.
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Tout d'abord un grand merci à Babelio et aux éditions Récamier pour m'avoir adressé gentiment ce livre.
La couverture est jolie, elle m'a beaucoup plu. J'ai évité de lire la 4e de couverture (de mauvaises surprises parfois). Pour le coup là elle est très bien.
.
Je débute le livre. Bonne surprise, le style est plutôt sympa, actuel sans être familier. Je m'attache à François ado qui se cherche, à sa grand mère exceptionnelle, et même à sa mère, coiffeuse, un peu perdue face à son gamin.
Arrive la rencontre avec Gabriel et tout bascule.
Tout, même le réalisme du livre. J'ai progressivement décroché. En fait je ne suis pas sûre du message que voulait passer l'auteure. La domination ? L'endoctrinement ? Un phénomène sectaire ? Je suis perplexe, le récit part vers l'irréalité totale (disparition de la mère et de la grand mère du héros comme si elles n'existaient plus, comme si elles ne s'intéressaient plus à leur fils / petit-fils).
Donc plume intéressante mais récit trop irréaliste pour moi avec une fin improbable. J'en suis désolée.
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Coupeur de feu.

François a seize ans. Sans ambition particulière, son quotidien est calme. Agacé par sa nonchalance, son père l'oblige à devenir apprenti-coiffeur. Les jours s'écoulent, plus ennuyeux les uns que les autres, jusqu'à l'arrivée du mystérieux Gabriel.

Je ressors plutôt mitigée de cette lecture. Nous suivons François, adolescent nonchalant et sans passion particulière. Sommé par son père de faire quelque chose de sa vie, le voici désormais employé dans le salon de coiffure de sa mère.

Le quotidien est terne jusqu'au jour où Gabriel fait irruption dans le salon de coiffure. Flamboyant, charismatique, François pense avoir trouvé un ami, un modèle, un frère. La réalité est toute autre. Sous son aspect charmeur, Gabriel cache une personnalité toxique. François tombe peu à peu sous emprise.

La première partie est très sympathique. Nous découvrons François et son humour face à son entourage. Plusieurs passages m'ont fait sourire. Les personnages sont bien écrits. La grand-mère de François, Simone, est très attachante. D'un caractère affirmé, elle a une relation complice avec son petit-fils.

Quant à la deuxième partie, je l'ai trouvée très laborieuse. François découvre son don de coupeur de feu, et sous l'emprise de Gabriel ouvre un cabinet. L'intrigue devient de plus en plus improbable et confuse. Il y a une multiplication de personnages, qui pour la plupart n'apportent rien à l'intrigue. J'ai surtout eu l'impression que l'autrice voulait faire une galerie de personnages excentriques. Enfin, je n'ai pas compris où voulait en venir l'écrivaine, la fin invraisemblable et irréaliste n'aidant pas.

Bref, un premier roman qui s'essouffle au milieu de l'intrigue.

Je remercie les éditions Récamier et Babelio pour l'envoi de ce roman.

MASSE CRITIQUE PRIVILÉGIÉE

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François, 16 ans, jeune homme sans motivation sinon sans ambition, est apprenti coiffeur dans le salon où travaille sa mère.

Sans passion ni but .Tout se passe mollement jusqu'à ce qu'un un très charismatique garçon, Gabriel en pousse la porte...

Quand une simple rencontre suffit à faire basculer la vie d'un adolescent… Originalité et puissance du texte qui parle de domination, manipulation, volonté , soumission et des choix qui nous façonnent.

Dans la foulée de Respire d'Anne Sophie Brasme, une histoire d'amitié toxique qui nous questionne sur nos forces et nos faiblesses. le livre commence bien, les questions abordées sont passionnantes dommage qu'on reste un peu trop à la surface des choses ...


Lien : http://www.baz-art.org/2024/..
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François, 16 ans, est un adolescent totalement perdu. Les études ne l'intéressent pas, il n'a pas tellement d'amis, pas forcément de passion et semble se désintéresser de tout. Pour occuper ses journées, sa mère le prend en stage dans son salon de coiffure, lieu de sa rencontre avec Gabriel. de son vrai nom Karin, c'est un homme charismatique et élégant, qui va entraîner François dans des combines plutôt douteuses. Car François possède le don du coupeur de feu, capable de guérir et de soulager certains maux en apposant simplement ses mains sur les plaies. Un don qui ne tombe pas dans l'oreille d'un sourd avec Gabriel/Karim, qui profite de cette opportunité pour développer un business autour de la faiblesse et de la naïveté des gens.

Les mains au feu est le premier roman de Virginie Armano. Je salue son originalité et son audace, puisqu'elle publie une histoire qu'on a du mal à définir et à classer.

Et pour cause : plus de la moitié des scènes du livre sont totalement surréalistes et très peu crédibles. On a l'impression d'être transportés dans une autre dimension. C'est loufoque et grotesque, avec des personnages hyper naïfs, qui se laissent entraîner dans des combines dont on a du mal à comprendre le sens. Ils sont presque tous tournés en ridicule et infantilisés. On retrouve des personnes âgées ou simplement malades, soignées en hôpital psychiatrique et en clinique spécialisée, qui se laisse envoûter par des belles paroles et dépouillées de tout leur argent… c'est assez insensé et ça renvoie une mauvaise image de ces personnes souvent seules et perdues, qui n'ont besoin que d'une main tendue et d'un brin d'aide !

J'ai eu beaucoup de mal à cerner précisément les traits de personnalités de nos deux protagonistes que tout oppose : François et Gabriel/Karim. François, comme les patients qu'il soigne, se montre naïf, un peu benêt, perdu, totalement soumis à Gabriel/Karim, homme autoritaire et tyrannique, qui exerce une pression psychologique totale sur toutes les personnes qu'il croise. À l'instar des deux prénoms qu'il s'affuble, Gabriel/Karim a deux personnalités : il se montre bienveillant mais est moqueur, il fait l'homme charitable mais est avare d'argent et de pouvoir. C'est un être que l'on déteste immédiatement.

J'ai néanmoins appréciée lire ce livre, plutôt rythmé et prenant. J'ai également trouvé les thématiques abordées intéressantes, puisqu'il est rare qu'on les retrouve racontées de la sorte dans les romans – l'influence néfaste, l'emprise psychologique, la pression familiale. Un regret seulement concernant la légèreté et le manque de profondeur de ces sujets graves, seulement esquissés.

Un récit surprenant, doux mais brutal sur l'emprise psychologique et l'influence néfaste. J'ai aimé l'originalité de l'histoire, mais je regrette que ces sujets graves ne soient seulement qu'esquissés.
Lien : https://analire.wordpress.co..
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François est un ado plutôt sympa, accroché à son téléphone dissimulé sous la table tandis que son père lui « remonte les bretelles » en termes choisis : Bon à rien, Incapable, profiteur, petit con, pourri gâté, ingrat, traîne savate etc. etc.
A cours de qualificatif et de patience, le paternel décide d'envoyer son garçon en apprentissage dans le salon de coiffure de sa mère.
Autant dire que ce n'est pas la façon dont François rêvait son adolescence :
« Je le sais, maintenant, l'adolescence n'est pas cette ère d'espoir et de légèreté qu'on veut nous faire croire dans les films. Elle n'en est ni la suite ni la consécration. Non, mon adolescence est, comme celle des autres, le premier pas dans la dictature du résultat et la projection dans demain ».
Mais il n'a pas vraiment le choix ce pauvre François, alors il s'adapte, entre deux coups de balai et quelques cafés apportés aux clientes, il observe, il écoute.
Lorsqu'on lui confie une tête aux cheveux blancs pour un shampoing, ses massages procurent à la dame un plaisir qu'elle avait oublié depuis longtemps.
Il semblerait que François ait un don exceptionnel. Un miracle n'arrivant jamais seul, voila que surgit un garçon, beau comme un ange répondant au nom prédestiné de Gabriel.
Une amitié va naître entre les garçons, teintée de domination.
J'ai aimé l'histoire improbable qui peu à peu se met en place.
Les personnages sont intéressants et bien décrits avec une mention spéciale pour Simone, la grand-mère fantasque, sorte de Madame Rosa et son caniche Mamadou.
J'ai regretté le manque de conviction dans la seconde moitié du roman rendant la lecture poussive, parfois même ennuyeuse.
Je remercie les Editions Récamier et Babelio qui m'ont permis ce retour dans le monde des ados.
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Tout d'abord, je remercie Babelio et les éditions Récamier pour l'envoi de cette masse critique privilégiée.

J'ai toujours du mal à écrire une critique quand je n'ai pas accroché à ma lecture. Et là c'est le cas.

Le narrateur est soi disant un jeune de 16/ 17 ans mais sa façon de parler et son vocabulaire font plus penser à un adulte.
Ensuite, j'ai eu du mal à me situer dans le temps. J'ai eu l'impression que le récit se déroule sur 2/3 mois alors que réellement, en analysant les actions, il se passe sur 2/3 ans.
Pour ce qui est de l'histoire elle-même, je m'attendais vraiment à autre chose. Il n'y a pas grand chose de crédible dans ce roman et cela m'a beaucoup gêné. Je n'ai pas ressenti de sentiments pour les personnages . Et je n'ai pas trouvé l'emprise de Gabriel si importante.

Je suis embêtée de ne pas avoir été convaincue par cette lecture . le seul point positif est l'écriture fluide et simple de l'autrice.
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Par ce livre - le premier- de Virginie Armando, cette dernière nous propose un récit court, doux et à la fois brutal dans lequel on retrouve la thématique de l'emprise. Et jusqu'où cette dernière peut aller, dans sa perfidie et dans son hypocrisie ? Virginie Armano nous en propose un exemple poignant.

François, adolescent de 16 ans, se trouve pressé par ses parents à choisir une voie, au carrefour de sa jeune vie. Il rencontre alors Gabriel, un personnage dont l'aura charismatique place vite François sous sa coupe. Court, cette narration, traitant de sujets lourds et complexe, ne propose pourtant pas de nuances ou de flou artistique, dans ce condensé littéraire qui va droit au but, là où j'aurai apprécié un coup de frein ou un arrêt sur image.

Les personnages construits par l'autrice sont importants dans la construction et dans la compréhension de la situation de François. Leurs traits de personnalités sont bruts, facilement accessibles et sans contraste. Ici aussi, cette brutalité dessert en partie ce livre.

François le discret, déjà brisé un peu par sa famille dans laquelle il ne trouve pas sa place, a une vision de la figure paternelle ambiguë. Il n'est pas aussi viril que son père, dans lequel il ne se reconnaît pas. C'est dans cette faille de la représentation de l'homme que Gabriel se faufile et prend en otage François. Simone, sa grand-mère si moderne, souriante, est un pilier pour François, une bulle de réconfort. Peu à peu, il s'écartera de ce pilier. Perdant les bénéfices de cette relation, sa chute en sera plus rapide. Gabriel, qui est en réalité Karim comme on l'apprend dès les premières pages est un personnage moqueur, double face, comme la double identité dont il se pare.

Tout au long de l'histoire tissée par Virginie Armano, on retrouve une symbolique joliment pensée et appréciable. Tout commence par la mort : à la morgue d'un établissement funéraire, un renversement de situation signe avec subtilité le début de la fin : suite à un événement terrible, au lieu de pleurer, François rit, par mimétisme vis-à-vis des rires de Gabriel.

Ce que l'autrice véhicule, c'est l'idée que certaines personnalités charismatiques peuvent devenir dangereuses par leur influence. Terreau de gourou, elles peuvent mener au pire. Les thèmes évoqués sont d'abord ceux de la déception vis à vis de sa famille que l'on peut avoir lorsque l'innocence de l'enfance disparaît, avec l'adolescence. Cette sensation d'emprise familiale contre laquelle chaque adolescent « rebelle » - ou non-souhaite se dresser. Mais aussi de l'emprise amicale, que des individus extérieurs aux logiques familiales et rencontrés au fil de la vie peuvent avoir, et comment il la construise.
Puis, dans un second temps, ce sont des thèmes intimement liés aux premiers, mais bien plus tragiques qui se développent ...

Comment se construit l'emprise ? Et pourquoi il est si difficile pour celui qui l'a subi de l'arrêter ? Tout cela est très bien décrit en filigrane de cette histoire qui nous emporte.

Le style littéraire est romanesque, jusque dans les dialogues. Ce qui en fait des dialogues difficilement transposables et irréels lorsqu'on les imagine dans notre réalité. Ce style disparaît quasi totalement en deuxième partie de ce récit que la structure ne mentionne pas. Faite de chapitres distincts, chronologiques, c'est pourtant un récit scindé en deux parties bien tranchées qui se ressentent à la lecture. le lecteur est alors transporté dans une tout autre dimension à mi-livre.

Mon sentiment direct après lecture est physique, tant la lecture est rendue difficile par les événements qui se dévoilent et le style d'écriture tranchant. Estomac noué, malaise à la lecture des mots et à la compréhension du sens des phrases, rendent quasi insupportables les derniers chapitres. Mais c'est à la hauteur du drame qui se trame. Passé ce cap, ce n'est plus du tout du même livre dont il s'agit, pour le meilleur et pour le pire. Précipitée et violente, cette tragédie aurait méritée d'être allongée pour permettre au lecteur de ne pas être submergé par cette vague, et qu'il n'ai pas comme réaction, de construire une digue empêchant la transmission et la compréhension. Juste pour se protéger.
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François, 16 ans vit dans une ville de province. Englué entre l'ennui et le manque de perspectives, il va rejoindre sa mère pour devenir shampouineur dans son salon de coiffure. C'est dans ce cadre qu'il rencontre Gabriel/Karim, jeune homme charismatique qui va l'emmener sur des chemins non explorés. Entre admiration, fascination et emprise, François se laisse embarquer dans une aventure qui va rapidement le depassser.
Sur la forme, la plume de l'auteur est fluide, contemporaine et agréable à lire. le fond m'a moins convaincue. L'irréalisme des situations m'a fait perdre pied au cours du récit, ne sachant vers quel objectif l'autrice voulait amener son lecteur. Je n'ai pas su me laisser porter, dommage pour moi. J'ai le sentiment que ce livre est peut être plus adapté au lectorat “jeunesse” mais je remercie Babelio et Recamier pour la découverte !
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Un avis mitigé.

Un roman qui avait tout pour me plaire. La couverture, le résumé…

Le début du roman est très agréable, la plume aussi.
François a 16 ans, n'a aucune ambition, il se cherche. Son père décide qu'il sera apprenti coiffeur dans le salon de coiffure de sa mère. Arrive Gabriel, charismatique et ambitieux. François voit en lui un modèle, un frère.

Mais c'est à partir de ce moment là que j'ai commencé à décroché de ma lecture.
Une histoire et une fin pas du tout crédible. Je n'ai pas très bien compris le choix de l'autrice et son message derrière cette histoire irréaliste.
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