Les toiles "ensoleillées" suscitent l'engouement d'une bourgeoisie industrielle qui s'affaire sous les crachins d'une Europe du Nord un peu grise, avec sa sidérurgie, son charbon et ses chemins de fer alors en pleine expansion.
Ils sont fous, ces Français, d'avoir laissé leur sûr et riche pays pour le seul plaisir de venir voir et peindre notre misérable existence.