La petite boutique japonaise

Un joli titre pour un roman bien décevant.
A 14 ans une gamine de banlieue nourrie de séries télé et de B.D. japonaises peut rêver d'être geisha, à 30 ans c'est moins crédible . Heureusement elle a rencontré à Paris un riche japonais qui en a fait sa maitresse et l'entretient.
Puis arrive un breton tueur à gage (si j'ai tout compris) qui pour avoir passé trop d'heures devant des films de kung-fu se rêve samouraï. Ils étaient faits pour s'entendre, c'est le grand amour! Mais un jour il disparait sans donner de raison. Alors elle part au Japon à sa recherche, grâce à la générosité de son vieil amant pendant que lui essaie de devenir moine.
Les personnages n'ont pas de profondeur et j'ai eu du mal à adhérer à cette romance japonisante.

Je ne sais pas trop quoi dire dessus. Je l'ai lu sans accrocher, en me demandant où on allait, en me demandant pourquoi cette histoire, qu'est-ce qu'elle voulait dire, qu'elle était son intérêt. J'attendais l'étonnement, le rebondissement. En vain, malheureusement car la fin, qui aurait pu être plus ouverte, est convenue et sans surprise.

Il s'agit d'une histoire d'amour qui se déroule entre la France et le Japon, entre ces deux Français – Pamela et Thad – passionnément attirés par le pays du Soleil-Levant. Pour pouvoir se retrouver, les deux personnages doivent se chercher longuement eux-mêmes. Durant une rencontre avec l'auteure, organisée par Babelio et les éditions Flammarion, le terme « développement personnel » est souvent revenu : peut-être fallait-il mieux le prendre sous cet angle pour l'apprécier…
L'idée était plutôt originale et donnait matière à un récit loufoque, mais ce n'est pas le cas. J'ai eu l'impression que le roman oscillait entre humour et poésie, sans pour autant être convaincant dans l'un ou l'autre de ces registres. le roman se traîne en longueur avec parfois des états d'âme, des atermoiements chez Thad qui m'ont profondément lassée.

Quant à la découverte de la culture japonaise à travers l'histoire de Pam et Thad, je l'ai trouvé assez superficielle. Pourtant, je ne suis pas une experte du Japon, mais j'ai eu l'impression de retrouver des clichés, des images très attendues dans un roman se déroulant au Japon.
De nombreuses références à la culture populaire ponctuent le roman, principalement à travers les séries Kung-Fu et Dallas qui ont marqué soit les héros, soit leurs familles, mais l'auteure cite également quelques livres ou films comme Mémoires d'une geisha, référence pour Pam.

Une amourette qui se traîne sur 300 pages, des sentiments qui ne m'ont pas touchée. Une déception. Dommage…
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Merci à Babélio et à Flammarion pour cette rencontre avec l'auteure.
Autant l'écrire tout de suite, je n'ai pas du tout accroché.
Une jeune femme de Melun-Sénart et un jeune homme Breton se rencontrent. Ils rêvent du Japon traditionnel afin de trouver leur voie dans la vie. Elle en Geisha et lui en Samouraï (mais en Yakuza à un certain moment. Quel rapport entre un criminel mafieux et un guerrier d'antan ?). Les deux héros s'aiment, se perdent de vue, se retrouvent au Japon après des « initiations » et pour finir poursuivent leurs vies à Saint-Brieuc.
La couverture du livre, de bon goût, et la quatrième de couverture attractive sont prometteuses. Quant au roman lui-même, il cherche sa voie parmi les bonsaïs, les Geishas, la prostitution, la mafia japonaise (alcoolisée) et les moines. Les composantes sont bien là, mais hélas les clichés aussi. le lecteur se promène dans une imagerie convenue. Je n'ai pas été « captée ».
La fin du roman est un « happy end » classique, extrêmement rapide (environ 12 pages, au regard des 100 premières pages qui « plantent le décor ») qui n'apporte rien de plus.
A la lecture de ce livre j'ai ressenti une lassitude venant d'une première partie trop longue ainsi que des descriptions livresques dans la seconde moitié du livre. Les références aux séries télé, le manque de rebondissements et de surprises entrainent ce ressenti.
L'écriture aurait gagné en dynamisme et en intérêt avec des descriptions moins longues, davantage de détails concernant les actions des personnages, un contexte plus solide et de l'originalité.

Pfff enfin terminé...conseillé par une copine, je voulais aller au bout pour ne pas la vexer mais je n'ai franchement pas accroché.
Fable japonisante mettant en scène 2 héros aussi perchés (hésitant entre cinglés et faibles d'esprit selon les situations) l'un que l'autre dont les aventures tirées par les cheveux m'ont laissé indifférente.
Seuls points positifs : une très jolie couverture de livre. Je ne peux même pas dire que j'ai appris des choses sur la culture japonaise, celle ci étant largement survolée.

Il est rare que je n'aime pas du tout un livre au point de ne finir la lecture qu'avec un sentiment d'ennui profond. C'est hélas ce que j'ai ressenti en lisant "La petite boutique japonaise".

Je n'ai pas du tout été séduite par l'écriture de l'auteure, pas plus que par l'intrigue et encore moins par les personnages. Pour être franche, je suis restée complétement imperméable au roman et à son univers japonisant. A aucun moment je ne me suis sentie "dans" l'histoire.

Peut-être (même sûrement) est-ce parce que je ne suis pas sensible à la philosophie de vie des Japonais et encore moins à leurs coutumes, mais je n'ai pas du tout adhéré à l'intrigue, fade et ennuyeuse à mes yeux.
L'histoire d'amour entre Tchad et Pam ne m'a pas convaincue. Pour moi, elle s'apparente plus à une histoire de sexe que d'amour. J'ai eu le sentiment qu'ils ne partageaient rien à part leur fascination du Japon et leur attirance purement physique. La relation qu'ils entretiennent ne correspond pas à ce que je considère comme une histoire d'amour.

Bref, je suis restée complètement hermétique à ce roman. Je ne l'ai terminé que péniblement et par respect envers l'auteure. Je pense que les lecteurs sensibles au Japon et ses coutumes l'apprécieront bien plus.

Une histoire d'amour peu convaincante! 2 obsédés du japon se rencontrent : Thad, un breton replié sur lui-même et Pamela, qui espère depuis toujours être une geisha depuis qu'elle a lu le livre d'Arthur Golden (excellent d'ailleur!) "Mémoires d'une Geisha". Tous les moyens sont bons pour cette française de se transformer en japonaise, teinture, kimono, relation avec un médecin japonais qu'elle appelle son dana! Puis un jour, entre dans la petite boutique japonaise Thad. Ils tombent amoureux, mais lorsque les sentiments de Thad deviennent trop profond, il préfère fuir et l'abandonne. Pam part à sa recherche au pays du soleil levant.
Long, pénible, décousu. Thad a des conversation avec le héros de Shogun et reçoit les conseils d'un vénérable bonzai. Normal quoi! Pam est tellement obsédé par le japon que ce n'est plus de la passion, mais de la maladie mentale!
Bref cette histoire semble un prétexte pour écrire sur les us et coutumes du japon à travers une histoire d'amour banale et insipide. La thérapie par l'écriture. Car je dois bien avoué que j'ai quand même été touché par certaines phrases de l'auteur : "l'abandon est un assassinat à durer indéterminé" Cette phrase est un baume glissé dans un récit ennuyeux. Il y en avait plusieurs comme cela et ont tout le mérite de l'intelligence de son auteur, mais je voulais lire un roman!

Moi qui aime le Japon et la culture asiatique ; j'ai flashé sur la couverture mais quelle déception : Une histoire a dormir debout ; "Pamela" (qui a failli se faire appeler Sue Ellen l'héroïne de la série « Dallas » et Jean-Christophe, rebaptisé "Thad" par sa mère en l'honneur d'un héros du roman Hannah de Paul-Lou Sulitzer, "Thad" reçoit des conseils d'un héros de Shogun et parle avec les bonsaï....🌳 mais oui bien sur !!! 😲 je me suis ennuyée je n'ai pas réussi a rentrer dans l'histoire . Elle en Geisha lui en Samouraï 🏹et Yakuza🥋 ; l'instant d'aprés en moine 🧙‍♂️ !!!!! on a l'impression d'être avec deux idiots qui découvre le japon. Un livre qui est censé être drôle mais qui n'y parvient pas.

il y'a même quelques fautes "konitchiwa" au lieu de "konnichiwa"
je n'ai pas été transportée au Pays du Soleil Levant 🗻 ; je n'ai rien appris de plus sur la culture du Japon. Vite lu et vite oublié.

Je n'aime pas faire de critiques assassines, je ne commencerai donc pas, d'autant que le début était plutôt prometteur. Je n'ai tout simplement pas accroché à cette histoire qui avait pourtant beaucoup pour me plaire (le japon, l'humour..).
Dommage