Y a des bouches pleines de merde qui devraient être lavées au savon, et encore, ce serait du gâchis en savon.
Autant dire qu'il passe son temps à chercher le concept qui lui permettra de s' expliquer sur tout sans avoir besoin de se faire un avis sur rien.
Ce qu'on perd en fascination, on le gagne toujours en liberté.
[...]dans ce dédale de bourgeonnements et de ronces qu𠆞st lolescence. [...]J𠆚i eu vingt ans au meilleur passage qui soit. Le passage d’un siècle à un autre. [...] je ne veux pas être unique. Je suis comme toutes les femmes, je veux être multiple. [...] On se contente toujours de soi et on ne se satisfait jamais des autres.
Pourquoi se laisse-t-on toujours démolir par un commentaire négatif, fût-il sous une pluie de compliments, le parapluie noir dans la chorégraphie d'ombrelles blanches ?
Tout le monde a besoin de faire son intéressant. Or, malheureusement, dans quatre-vingt dix pour cent des cas, ça se fait au détriment de quelqu'un d'autre.
De ces brumes de rencontres, ces crépuscules incertains, il fallait tirer quelque chose, ne serait-ce que pour rendre supportable l'évanescence de tout. Deux solitudes jusque-là équidistantes entraient en collision, comme deux étoiles qui n'avaient qu'à étendre leurs branches pour se toucher. Dans le cas des étoiles l'effort était un exploit surhumain.
C ' est une idée o combien étrange qui le tenaillait depuis longtemps: Il ne se sentait jamais en mesure de souffler alors que seul le travail lui permettait de respirer.
Un homme qui ne veut pas se laisser dépasser par son art ne sera jamais célèbre !
Oh, tu sais, les filles, c'est comme le café. Ça me met en joie au départ, l'arôme et tout, et puis à la fin je ne finis jamais ma tasse. Tandis que la sangria…