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4,29

sur 2510 notes

Critiques filtrées sur 5 étoiles  
La claque !

On m'avait dit que la saga des Enfants de la Terre était une saga à lire. Donc je l'avais mise dans ma PAL parce que le format me plaisait et concrètement, je savais que cela allait me plaire. J'y suis donc allée un peu en terrain conquis, sachant que j'allais passer un bon moment, voire un excellent moment. Il suffisait pour cela d'attendre le bon moment où mes neurones avaient besoin d'être sérieusement emballées. Et comme j'étais fatiguée, que j'avais envie de vacances, d'évasion, je me suis décidée à sortir le premier tome de ma PAL, en me demandant quand même si la mythologie des hommes des cavernes allaient pas me paraître un peu trop simpliste.

Oui mais bien sûr. Quand j'ai commencé, avec mes préjugés à la hum hum, j'ai pris donc tranquillement ma claque avec ce background de magie un peu shamanique, des hommes de Neandertal qui allaient rencontrer une jeune fille, Ayla, la première Cromagnon qu'ils allaient recueillir (en gros, ils les appellent les Autres), parce que cette petite fille a été griffée par un lion des cavernes. Jusque là, je me disais qu'on avait un peu fumé la moquette mais que tout allait encore bien.

Mais au fur et à mesure qu'a grandit Ayla, et donc que j'ai découvert cette petite tribu. Mais franchement, mon nez n'a pas du tout décollé du livre. J'ai mangé avec, dormi avec, frissonné avec (le temps a aidé) et même mon chat a dû laisser quelques caresses dans la bataille tellement j'étais absorbée par cette vie de grotte, par cette culture des Néandertaliens qui est si simple et si complexe à la fois.


Donc oui la claque

La claque, la douche froide, ce que vous voulez. Car l'auteur a dû tout créer en fin de compte. Et il a malgré tout associé le comportement des personnes présentes dans son histoire à des comportements que nous nous pouvons voir dans notre environnement. Avec des thèmes assez efficaces : l'amour dans une famille d'adoption, les relations sociales dans un petit village (ici une grotte), la jalousie, l'envie, la gratitude, le courage, les idées reçues, la joie, la tristesse, le partage, le danger.... Tout ceci est présent dans tout ce premier tome. Avec Ayla qui ne demande qu'à s'intégrer, elle qui est une étrangère, alors qu'elle doit aussi analyser ce qu'elle ressent car elle est une personne à la recherche de sa nature, de sa famille d'origine. Et pourtant, elle tente d'associer cela au Peuple de l'Ours des cavernes.

Ainsi, chaque personnage vous touchera d'une manière ou d'une autre, mais surtout, vous serez complètement hypnotisés par leur mode de vie, par leurs pensées, par leur façons d'intéragir. C'est pire que de se retrouver devant une fourmilière pour tenter de comprendre le tout. Pour un voyage, c'est un voyage. Et les émotions sont aussi présentes, prêtes à vous assaillir.

Ce premier tome, c'est plus qu'une histoire. C'est un appel qui vient des tripes. Réveillez l'homme des cavernes qui sommeille en vous et partez à la chasse au mammouths, découvrez la médecine, les réunions, l'artisanat et vivez votre vie auprès des Enfants de la Terre
Lien : http://labibliodekoko.blogsp..
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Si depuis les années 80, date de parution du premier tome des Enfants de la Terre, la recherche et la science ont permis d'affiner les connaissances sur l'homme de Néandertal et de Cro-Magnon, il n'en reste pas moins que ce roman fait preuve d'une remarquable rigueur (pré)historique. L'auteure, saluée en préface par le Directeur du Centre national de préhistoire, retrace avec un soucis du détail exemplaire le quotidien d'un groupe de néandertaliens, et sa lutte pour la survie de leur clan.

La hiérarchie stricte au sein du groupe, les rôles de chacun, l'organisation des différents foyers dans une caverne, les modes de communication, les connaissances de la faune et de la flore environnantes, la préparation des repas, les outils, les vêtements, les croyances qui régissent chaque aspect de la vie du clan, tout est méticuleusement décrit et permet une immersion complète dans cette époque lointaine, 35 000 ans avant notre ère, où l'humanité n'en était encore qu'à ses balbutiements.

Je me suis tout de suite pris d'affection pour la petite Ayla, l'enfant Homo Sapiens recueillie par une tribu néandertalienne, dont on suit l'aventure. Rapidement, son intelligence, son agilité et ses aptitudes propres à son espèce vont susciter l'étonnement, voire la peur et le rejet chez certains.
J'ai adoré vivre avec tous ces personnages, Iza la brillante guérisseuse, Creb le puissant sorcier, Brun le chef consciencieux, et la multitude d'autres que l'on voit évoluer au sein du clan.

Le monde dépeint par l'auteure est riche et extrêmement plaisant à découvrir.

'Les Enfants de la Terre' est également une véritable leçon sur la condition de la femme depuis la nuit des temps. Essentielle et reconnue au sein du groupe mais intégralement soumise à l'homme, on comprend mieux comment ces comportements se sont ancrés dans les esprits et perpétués au fil des millénaires. Édifiant.

Une aventure vivante, rythmée mais aussi touchante et très enrichissante. Très belle lecture. J'ai hâte de lire la suite et voir si l'auteure va réussir à maintenir un intérêt aussi vif dans les prochains tomes.
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Voilà une histoire passionnante. Ayla, une petite fille homo sapiens dont la tribu a été décimée se retrouve adoptée par une tribu de néandertaliens: elle va donc grandir selon leurs coutumes mais en sentant bien au fond d'elle qu'elle est différente. C'est son histoire, riche en rebondissements et en aventures que l'on va suivre dans ce tome mais aussi tout au long de la saga.
Ça fait plaisir de lire un récit sur la préhistoire où le personnage principal est une femme, et qui plus est une femme intelligente, courageuse qui arrive à survivre seule après avoir été bannie de sa tribu. On a plutôt à l'esprit des femmes préhistoriques qui faisaient la couture, la cuisine, etc. Mais Ayla est une femme libre et entreprenante, avec ses faiblesses aussi comme tout être humain. C'est vraiment un roman superbe.
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Je n'avais jamais rien lu sur la Préhistoire, et ce roman ayant reçu de nombreuses bonnes critiques, je me suis laissée tenter. Il y a beaucoup de personnages et j'avoue que j'ai eu du mal à tous les différencier au début, mais bon. Si j'ai beaucoup aimé Ayla, sa façon de penser un peu rebelle pour l'époque, sa logique, je les ai tous trouvés attachants. Leur évolution est parfaitement maîtrisée. La plume de l'auteur est agréable, simple et fluide. Elle a dû faire un sacré travail de recherche, ses descriptions détaillées sur les us & coutumes de ces hommes d'une autre ère sont passionnantes et pas du tout rébarbatives ! J'ai beaucoup aimé tout ce qui touche aux croyances aussi, c'est super bien fait.

Bref, j'ai vraiment beaucoup aimé, un véritable petit coup de coeur, et j'ai bien hâte de connaître la suite des aventures d'Ayla.
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Un roman captivant, qui donne envie de découvrir le reste de la saga !

Pour commencer, la courte préface de M. Rigaud est instructive et assure au lecteur que les précisions du livre sont justes (ou au moins, à peu près communément admises). Cela m'a permis de ne pas me poser de questions et de croire l'auteur à chaque mot.
Car en effet, le roman regorge de descriptions, que ce soit à propos de la faune et la flore (l'héroïne devenant guérisseuse, la flore est particulièrement présente) ou à propos du mode de vie des Hommes de Neandertal et de leurs techniques (pour créer une lame avec des silex, dépecer un mammouth…). C'était parfois un peu longuet, mais cela ne m'a pas dérangée que cela, car j'ai l'habitude de sauter des lignes lorsque j'ai envie d'avancer un peu plus vite dans l'action...

Et de l'action, il y en a ! On ne s'ennuie pas un seul instant. J'ai tremblé plusieurs fois pour Ayla, mon coeur s'est empli de compassion à maintes reprises et Broud s'est fait beaucoup injurier à haute voix.

Ce que j'ai préféré, ce sont les réflexions à propos de ces deux races d'Homo Sapiens dont les destins seront si différents.
L'auteure nous explique que la forme d'intelligence des Hommes de Neandertal consiste surtout en une mémoire ancestrale, ce qui entraînera leur disparition car cela les empêche d'évoluer, au contraire de l'Homme de Cro Magnon.
Ainsi, les pressentiments de Mog-ur (j'ai d'ailleurs plus qu'adoré ce personnage) à ce propos m'ont bouleversée, car ce doit être terrible d'être conscient de la fin de son peuple...

Au début, il est difficile d'imaginer les personnages en Hommes de Neandertal, à l'exception d'Ayla. Mais la manière d'écrire de l'auteure nous permet de se les fixer en tête : les Néanderthaliens ne parlent pas vraiment, ils « signifient » avec des bruits et des gestes et ils ont une manière de s'exprimer formelle spécifique qui permet de ne pas les confondre avec nos ancêtres directs.

J'ai deux seuls défauts à pointer : le manichéisme des personnages et la répétition à l'envi de la « laideur » d'Ayla.
Ces manques de subtilité desservent un peu le livre, tant tout le reste est époustouflant.

Ce livre se lit à la fois comme un roman normal et comme un documentaire sur la préhistoire.
Pour ma part, les deux aspects m'ont charmée et je ressors de ma lecture totalement conquise !
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quelle lecture ! Bon sang, j'en suis encore toute retournée !
J'ai eu beaucoup de mal à lâcher mon livre pour vaquer à mes obligations tellement j'ai été prise dans le récit. J'ai malgré tout mis du temps à le lire principalement parce que c'est un roman très dense et qu'ayant adoré dès le début, j'ai pris le temps d'en savourer chaque ligne.
Enfin, dense est peut-être un peu péjoratif, je devrais plutôt dire qu'il est très riche : est développé aussi bien la vie clanique que la vie spirituelle totémique intrinsèquement liées l'une à l'autre avec toutes les traditions qui régissaient le Peuple du Clan comme se fait appeler cette race d'homme : si on sait immédiatement qu'Ayla fait partie des homo sapiens sapiens, on ignore davantage celle du Clan. A la description, j'aurai dit que c'était des homo erectus (jambes arquées, pas très grands, front bombé, sourcils proéminents, yeux rentrés, etc…) mais le fait qu'ils co-existent avec les sapiens me laissait perplexe. D'après quelques recherches faites, il était davantage fait référence aux hommes de Néandertal ce qui me semblerait plus logique mais en même temps, comparé à Ayla, ils sont plutôt petits : à quelque chose comme 12 ans, elle est aussi grande que les hommes, si ce n'est plus… Je sais qu'il y a une différence de taille entre les deux « espèces » mais pas aussi importante…. Enfin,bref, ce n'est pas le sujet.

Certains pourraient trouver ce livre un peu long, il y a en effet un certain nombre de descriptions surtout au niveau des rites mog-ur ou des préparations des potions des guérisseuses mais j'ai trouvé ça tellement intéressant et dépaysant que j'en aurai redemandé parfois. Ça se lit très très bien.
Au cours du récit, on a droit à plusieurs visions : déjà, je ne m'attendais pas à découvrir un peuple aussi réfléchis et ordonné -quand on s'imagine les hommes des cavernes, on les voit plutôt brutaux, répondant davantage à l'instinct qu'à une quelconque réflexion. Mais finalement non, et c'est une agréable surprise.
On a majoritairement la vision de l'héroïne Ayla, enfant des Autres, adoptée par le Clan de Brun, une façon de pensée qui est plus réfléchie, moins instinctive que celle de son clan notamment du fait qu'elle ne peut se référer à une mémoire ancestrale qu'elle n'a pas contrairement à son entourage, une attitude différente des femmes qu'elle côtoie, une soumission qu'elle a du mal à subir et la supériorité des hommes à laquelle sa nature profonde se heurte, souvent, une incompréhension d'un côté comme de l'autre. Un personnage que j'ai adoré, qui m'a touchée, avec qui j'ai souffert, avec qui j'ai beaucoup ri aussi (notamment lorsqu'elle pleure parce qu'elle a déçu Creb et redoute qu'il ne l'aime plus alors que sa famille d'adoption ne comprend pas ses larmes et pense qu'elle a une maladie des yeux pour ne citer que ce moment, mais il y en a quelques autres…)
On a la vision d'Iza (quelques autres femmes également mais principalement elle) qui s'interroge sur sa fille adoptive, ses origines, sa place dans la tribu, ses réactions, qui l'initie aux secrets des femmes et des guérisseuses, une plongée en douceur dans le monde des esprits. C'est un personnage calme et posé que j'ai bien apprécié parce qu'elle permettait de désamorcer la tension ressentie à la lecture de certains passages, même si elle venait après, elle avait un côté rationalisant.
Creb alias Mog-ur, grand sorcier. Avec lui, l'immersion dans le monde des esprits est bien plus profonde sans être violente pour autant ; tout comme le personnage a deux totems, il a deux rôles, celui de « shaman » mais aussi celui qui accueille dans son foyer sa soeur enceinte dont le compagnon est mort et qui éduque l'étrangère laide qu'est Ayla qui contrairement à ses compagnons ne le craint pas, ose regarder sa difformité et l'aime très vite. Pendant tout le roman, il prend son rôle de mog-ur très au sérieux et trouve bon nombre de réponses mais on ne peut s'empêcher de se demander si l'affection qu'il éprouve pour la fillette des Autres ne lui voile pas la face… Et on a la réponse dans les derniers chapitres, ce qui est appréciable.
Brun, chef sage et réfléchi du clan. Au début, je n'étais pas sûre de l'aimer, on le sentait hésitant, pas certain de ses décisions. Et puis finalement, on le découvre, il se bat comme il peut entre les esprits, les événements qui perturbent le clan, les réactions des uns et des autres… C'est très dur, il est soumis à une lourde discipline, on suit son évolution et surtout il apprend à se montrer juste.
Broud, le fils de la compagne de Brun et son successeur. Lui, on l'aurait aimé comme son père, malheureusement, il en est très loin et il s'en éloigne à chaque page un peu plus : personnage détestable égoïste, égocentrique, arrogant, on sait très vite qu'il fera la perte du clan…

C'est un gros coup de coeur pour cette lecture qui se termine trop tôt à mon goût. du coup, je redoute un peu de lire la suite, peur que ce soit moins bien -rappelons qu'il y a 6 volumes.
Lien : http://psylook.kimengumi.fr/..
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J'ai adooooooré cette fresque historique, aussi intéressante que scientifique presque ! et pourtant la narration n'y perd rien, bien au contraire !! La préface du Conservateur général du Patrimoine et Directeur du Centre national de Préhistoire donne le ton et il dit vrai ...
Des années que ma mère me tanne pour que je m'y essaie, et devant sa bibliothèque où patientent, alignés, tous les tomes de cette superbe saga, je me suis laissée tenter.
Je ne regrette pas. Nous suivons le sauvetage d'Ayla, une enfant des Autres, une tribu plus évoluée que celle d'Iza qui la recueille quand elle la trouve à demie-morte au bord du chemin. Nous entrons alors dans ce monde de la préhistoire, avec ses us et coutumes, ses traditions et sa manière de vivre, ses croyances aussi et les forces internes qui régissent la tribu. Mais pas seulement, Ayla c'est les Autres, ce qui ont évolué et qui, visiblement, ont réellement eu à un moment des interactions avec les ''anciens''.
Et c'est toute la beauté de l'ouvrage ! En même temps que nous suivons la vie de cette jeune fille dans une communauté qui l'aime autant qu'elle la rejette nous pouvons mesurer la différence d'évolution entre ces deux ''clans'', presque ces deux époques si différentes et pourtant existant sur la même période historique un temps. Et c'est toute une réflexion sur la nécessité de l'évolution mais aussi la nécessité du lien, de la continuité entre tout.
Ce personnage est fascinant et arrive à cristalliser autour d'elle et de ses deux protecteurs toute cette thématique et ces questions. A travers elle on embrasse en même temps l'ancien et le nouveau, on en comprend les enjeux et on y croit. Il me tarde donc de retourner chez ma mère et de retrouver Ayla, qui doit quitter son peuple pour aller retrouver les siens.
La suite au prochain épisode :)
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Le Clan de l'Ours des Cavernes offre une immersion assez convaincante dans la préhistoire, à l'époque où l'on pense que les hommes de Neandertal ont cohabité avec les homo sapiens en Europe. L'auteure parvient à faire de la jeune Ayla, que ce premier tome suit de ses 5 ans jusqu'à l'âge adulte, un personnage très attachant, ce qui à mon avis explique en grande partie le succès de la série.

Le roman regorge de détails sur l'environnement naturels et les pratiques des hommes préhistoriques. Cette richesse dans les descriptions permet de créer une atmosphère très particulière et de faire ressentir au lecteur, pour certains aspects, ce qu'a peut-être été la vie plusieurs dizaine de milliers d'années avant notre ère. Toutefois, cette richesse est aussi un défaut car l'écriture est très (trop?) didactique. Toutes les pensées des personnages (même des animaux!) sont explicitées, et même récapitulées au fil du récit, ce qui laisse peu de place à l'interprétation du lecteur. Peut-être est-ce pour cela que la série est considérée comme faisant partie de la littérature pour adolescents? Quoiqu'il en soit, je ne suis pas étonnée que le roman soit devenu un best-seller. Une fois les trois premiers chapitres passés, on n'a plus envie d'interrompre sa lecture, et j'ai déjà hâte de lire le tome 2!

Dommage que l'édition francophone Kindle/ebook soit plus chère que la version poche (Pocket) - ce qui n'est pas le cas pour la version originale en anglais. Résultat : alors que j'aurais acheté l'ebook avec plaisir si le prix avait été au moins identique à la version papier, j'ai emprunté le livre à la bibliothèque...
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On m'avait dit que l'histoire était très documentée mais je ne m'attendais pas à ce qu'il y ait autant de détails, notamment sur la façon de vivre du Clan, les remèdes d'Iza et les croyances qu'ils avaient à l'époque. C'est fascinant. J'avais peur que ça le soit trop justement et que je finisse par m'en lasser, mais c'est tout l'inverse et finalement on rentre dans l'histoire très facilement, on s'attache très vite aux personnages et on passe un très bon moment de lecture.
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Magnifique saga bien écrite, très bien documentée, passionnante, avec cependant quelques longueurs parfois et des tomes inégaux dans la qualité, mais qui me laisse un souvenir impérissable.
Je ne sais pas si je peux me permettre de faire cela, mais si vous désirez entrer dans cette saga et que vous ne savez pas à quoi vous attendre, je vous recommande de lire la critique fort bien construite et fort bien détaillée de Ahotep, le 24 septembre 2011, tout y est !
Bonne Lecture
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Thème : Les Enfants de la terre, tome 1 : Le Clan de l'ours des Cavernes de Jean M. AuelCréer un quiz sur ce livre

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