L'espoir, cette tragédie

Après avoir livré au grand public l'angoisse de la définitive carence narcissique qu'engendre la circoncision , comme en témoigne le pauvre prépuce .
L'auteur convoque un immonde spectre dans le grenier d'une famille américaine en perdition ...
Ce monstre persécuteur et hideux s'appellerait Anne Franck ...

Personnellement je pensais que cette tragédie ne hantait que Amsterdam !

Malheureusement Anne Franck est morte assassinée, sa mémoire ne hante personne sauf ses bourreaux , du moins je l'espère ...

Pathétique et honteux rien à ajouter ..
Si : malsain , criminel , innommable ...
Et le pire et sans le moindre doute : indécemment opportuniste .

Peut-on vraiment rire de tout?
Livre lu à mon club lecteur, et les avis ont été partagé, beacoup ont aimé cet univers "décalé". Pour ma part, j'ai vraiment detesté ce roman et pourtant lu jusqu'à la fin, on y montre une Anne Franck, vivante, sale, vieille, moche qui vit dans un grenier depuis 60 ans, elle fait ses besoins de partout, c'est une puanteur.
Où ce livre est-il drôle? Je ne dois pas avoir le même humour, apparement son 1er roman était un chef d'oeuvre mais celui là me donne même pas envie de me lancer dans sa lecture! Je m'abstiens!

Salomon Kugel s'installe avec sa famille à Stockton, car il cherche le calme de la campagne.
Mais les affaires familiales ne s'arrangent pas, avec une mère obsédée par l'Holocauste (qu'elle n'a pas vécu) et son épouse qui ne cesse de le surveiller de s'angoisser.
Pour ne rien arranger, le grenier semble être habité par un être mystérieux…
J'ai eu beaucoup de mal à lire (et à terminer) ce roman à la fois loufoque (avec l'apparition d'Anne Franck dans le grenier) et sombre. C'était pour moi une lecture laborieuse…

Au coeur de la petite ville de Stockton, dans l'Etat de New York, Solomon Kugel pense avoir trouvé un lieu de paix pour vivre avec sa petite famille — mère, épouse, enfants. Ses espoirs sont mis à mal quand il découvre, cachée dans son grenier, une très vieille femme, puante et squelettique. Lorsqu'elle affirme s'appeler Anne Frank, arborant des chiffres tatoués sur le bras, Solomon entre dans une quatrième dimension. Incapable de virer de chez lui ce symbole de l'Holocauste, mais aussi de cohabiter avec ce fantôme acariâtre...