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EAN : 9782092591451
352 pages
Nathan (19/03/2020)
3.56/5   134 notes
Résumé :
Et si votre plus cher désir risquait de vous tuer ?

A la mort de sa grand-mère, Irina reçoit un étrange héritage : une peau, sorte de talisman censé exaucer tous ses désirs.
Sans y croire, la jeune fille demande à devenir riche, ainsi que la dévotion absolue d'Halima, sa seule amie. Et ses souhaits se réalisent.
Pourtant, cette existence de rêve se transforme vite en cauchemar. Car un ennemi rôde, prêt à s'emparer de son talisman, par to... >Voir plus
Que lire après Et ta vie m'appartiendraVoir plus
Critiques, Analyses et Avis (59) Voir plus Ajouter une critique
3,56

sur 134 notes
Gaël Aymon est un auteur jeunesse français que j'avais découvert au travers d'une histoire illustrée, Les grandes années : le vide grenier, que j'avais apprécié parcourir. J'étais curieuse de découvrir sa plume plus en profondeur, par le biais d'un roman jeunesse plus conséquent. J'ai donc commencé Et ta vie m'appartiendra.

C'est l'histoire d'Irina, une jeune fille défavorisée, qui vit seule avec sa mère, alcoolique. À la mort de sa grand-mère, Irina reçoit un héritage tout particulier : un talisman censé réaliser tous ses désirs. Elle confie son secret à sa meilleure amie Halima et ensemble, elles vont expérimenter cette mystérieuse peau. Mais ce qu'elle ne savait pas, c'est qu'à chaque voeu formulé, le talisman diminue et la vie de son détenteur diminue avec lui.

Ce roman est une sorte d'hommage au roman d'Honoré de Balzac, La Peau de chagrin, dont l'intrigue est identique. Seulement ici, Gaël Aymon met ce grand classique de la littérature française à la merci des plus jeunes, en ajoutant des éléments de fiction supplémentaires au chef-d'oeuvre d'origine. Pour tout vous avouer, je n'ai jamais lu La Peau de chagrin, mais ce roman m'a bien donné envie de le lire. Découvrir Balzac dans un style fantastique m'intrigue particulièrement.

Pour en revenir à Et ta vie m'appartiendra, malheureusement, ma déception est grande. L'idée de reprendre le roman De Balzac dans un contexte plus jeunesse est intéressante, mais la construction globale du récit est trop imprécise et alambiquée. J'ai eu beaucoup de mal à pénétrer dans l'histoire, que je trouvais trop morcelée : le récit est découpé en trois grandes parties, mais j'ai trouvé qu'aucune d'elles n'étaient complètement finies. le décor n'était pas planté que déjà, une nouvelle partie apparaissait, venant rendre caduque la précédente.

J'ai eu beaucoup de mal à entrer dans l'histoire, à la comprendre et surtout à y croire. Tout paraît trop gros, trop surréaliste. La mère d'Irina meurt tragiquement et pourtant, la jeune fille n'est pas autant affectée qu'elle le devrait. Irina devient extrêmement riche grâce à la peau et pourtant elle semble ne pas chercher à dépenser l'argent, comme toute personne dans son cas l'aurait fait. Bref, que de passages souvent absurdes, à la limite de l'entendement, qui ne m'ont pas aidé à m'imprégner de l'histoire.

De plus, j'ai trouvé les personnages mal construits, pas attachants du tout, parfois même antipathiques. Ils usaient d'un langage grossier, semblaient bipolaires, changeant d'humeur en quelques paragraphes à peine. Je les ai trouvé tellement exécrables qu'à cause d'eux, j'ai peiné à vraiment m'intéresser à l'histoire.

Une lecture qui avait du potentiel, mais qui s'avère être une amère déception. Je remercie quand même Gaël Aymon de m'avoir donné envie de lire La peau de chagrinDe Balzac !
Lien : https://analire.wordpress.co..
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Je sors contente de cette lecture même si beaucoup de choses ne m'ont pas plus au début.
L'histoire commence réellement à attirer l'intérêt du lecture, bien trop tard. C'est à la page 175 que tout commence et que l'on a vraiment de l'action, du mystère , des complots etc... et c'est ce qui a sauvé ma lecture !
Je pensais abandonner l'histoire mais j'ai résisté et j'espérais que l'histoire se goupille différemment. Et j'avais eu raison d'espérer !

Les premières pages sont banales, on suit la vie d'une jeune adolescente du nom d'Irina, on apprend que sa mère est complètement barjo, qu'elle sombre dans des sortes de délits non-dits, qu'elle s'exprime très mal (vocabulaire d'oiseau bonsoir) et qu'elle ne s'occupe pas de sa fille. On nous introduit dès lors, une famille déchirée, par un père inconnu, une grand mère morte mais qui laisse qu'un mince ( chuut je ne dévoile rien de plus !) héritage à sa petite fille ( et non sa fille). Bon vous l'aurez compris, le vie d'Irina n'est pas simple, et il y a de quoi perdre la boule.

Ses amis, notamment Halima est une fille a qui tout réussi. Elle excelle dans ses études, à réussi le concours pour entrer à sciences po et vie dans une belle maison. Elle est belle, attire le plus beau mec du groupe d'amis et est fidèle, bref elle a tout pour elle. Halima est très attachée à Irina et vice versa, elles sont meilleures amies. J'avoue avoir grincé des dents à quelques reprises, chacune d'elle semble être égoïste et leur relation me paraissait trop superficielle. La jalousie d'Irina pour Halima ressortait vraiment beaucoup et j'ai trouvé que leur amitié était en carton.

Après avoir récupéré un objet magique, Irina peut faire une multitude de voeux, mais tout à un prix. Ici, celui de la vie. On sent que l'auteur a voulu passer plusieurs messages dans son ouvrage, et c'est tout à son honneur, j'ai aimé ce côté engagé du livre. On nous parle de malhonnêteté, de vices, d'égoïsme mais on bascule facilement dans la compatie, la bonté, la fidélité.
Au début j'ai eu beaucoup de mal avec Irina, mais son contexte familial a joué dans mon changement d'avis. Comment ne pas éprouver de la jalousie envers quelqu'un qui possède tout ce qu'on aura jamais ?

L'histoire possède de nombreuses scènes d'actions. On tombe vraiment dans le thriller, l'angoissant, le surnaturel et autant vous dire que c'est réussi. Ces quiproquos de familles, ces recherches des ancêtres, et surtout ce lien avec l'ouvrage De Balzac ! C'était si intéressant de voir le parallèle entre Peau de Chagrin et ce livre. Ne l'ayant jamais lu, j'ai trouvé que Gaël Aymon, avait bien résumé cette oeuvre. Mais quel génie d'avoir si bien lié ces deux histoires, avec une logique étonnante et un dénouement touchant !

Bien que la première partie du livre ne m'est pas convaincue, la suite m'a vraiment happée ! le lien avec Balzac, les personnages qui s'insèrent dans l'histoire, l''appât du gain, les recherches généalogiques, les trahisons et les mensonges, l'action, tous cela a rendue ma lecture plus agréable. Résultat, je ressors avec un avis plutôt positif, même si quelques éléments restent en suspens dans mon esprit et que les découpages en trois parties du livre ne m'ont pas semblés utiles et pratiques.
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Bon, Balzac j'ai vraiment du mal. J'ai été traumatisée par le Lys dans la Vallée, que j'ai sûrement voulu lire trop jeune et que j'ai mis 2 ans à lire sans m'en laisser vraiment de souvenir, sauf un ennui abyssal et une envie de ne pas retourner vers Balzac...
Bref, ici c'est de Gaël Aymon et d'un roman ado dont il s'agit. J'ai eu un peu de mal avec les personnages au départ, et j'ai mis un peu de temps à comprendre que l'objet dont il s'agissait était une peau (oui, je ne devais pas être concentrée). La construction en 3 partie m'a plus, même si j'y ai trouvé quelques faiblesses et problèmes de cohérence (avec l'attitude d'Irina notamment). La société secrète n'est pas assez exploitée non plus. Mais le pacte faustien m'a intéressé, les questionnement qu'il soulève aussi. Et le livre se lit facilement.
Et surtout : il m'a donné envie de lire Balzac ! La peau de chagrin m'intrigue maintenant, j'ai bien envie de me laisser tenter et de redonner une chance à l'auteur.
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A la mort de sa grand-mère qu'elle connait très peu, Irina hérite d'un objet mystérieux : une peau aux pouvoirs magiques qui permettrait d'exaucer tous les voeux de son propriétaire contre des moments de vie. Irina ne résiste pas et met dès lors sa vie en danger puisque les morts mystérieuses et les tentatives d'intimidation s'accumulent autour d'elle. Avec son amie Halima, elle doit s'exiler sur une île pour échapper à tout désir mais le mal rôde toujours…
Ce roman pourrait être une « suite » de la peau de chagrinDe Balzac mais c'est plutôt une réécriture moderne de ce classique.
J'ai beaucoup aimé, surtout le côté fantastique de l'histoire. L'ambiance qui s'en dégage est très étrange mais il y a des rebondissements, des manipulations et des trahisons qui font que la lecture est rythmée.
Les personnages, certes parfois un peu caricaturaux, sont plutôt attachants, surtout Halima qui met sa vie au service de son amie, quitte à s'oublier elle-même. Irina, elle, est plus distante : on l'aime, on l'envie, on la craint ou on la vénère mais ses réactions sont parfois incompréhensibles; ses remords n'en sont que plus intéressants à suivre.
Les thèmes de la recherche du bonheur, du sens de la vie, de l'argent qui n'achète pas tout mais aussi de l'amitié sont au coeur de cette histoire.
Je trouve intéressant d'aborder le classique De Balzac en le modernisant : en tout cas, moi, ça m'a donné envie de le relire.
Pour les 3°/Lycée
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Irina, 18 ans, reçoit en héritage de sa grand-mère un objet doué d'un pouvoir aussi tentant que dangereux : exaucer (presque) tous ses voeux en échange de sa vie. Et si cette « Peau de Chagrin » avait un lien avec l'oeuvre De Balzac, écrite au siècle dernier ? A partir de cette trame, Gaël Aymon emmène le lecteur dans une intrigue passionnante.

Le roman est composé de trois parties et suit le parcours d'Irina pendant une année. L'aventure commence par une déception amère qui déclenchera l'association diabolique. Irina et sa meilleure amie Halima ont passé le concours d'entrée à Sciences Po et seule Halima est admise. En situation financière précaire, Irina doit en plus supporter le caractère emporté et colérique de sa mère irresponsable. Une femme très riche, Irena Visconti, se présentant comme sa grand-mère maternelle, entre en contact avec elle. Des rendez-vous réguliers vont rythmer leur relation. Test ou recherche d'affection ? Irina se pose la question et ne comprend pas pourquoi à sa mort, la vieille femme lui lègue la clé d'un coffre en lui intimant l'ordre de ne jamais l'ouvrir. La tentation est trop forte et bien sûr Irina fait ouvrir le coffre et découvre un objet repoussant et fascinant à la fois. Afin de traduire le précepte gravé en arabe, Irina demande l'aide d'Halima. La « peau » révèle son secret : elle exaucera tous les désirs mais se consumera en même temps qu'elle prendra la vie de celui qui la possède. Dans un accès de jalousie et de colère, Irina, la peau contre elle, formule son premier voeu : devenir riche, faire d'Halima sa « bonniche » et vivre la soirée la plus exaltante de sa vie . le pacte est scellé.

Dés le début, le roman est surprenant. Pourquoi Irena Visconti a-t-elle attendu autant de temps pour parler à sa petite fille ? Pour quelles raisons a-t-elle abandonné sa propre fille qui lui en veut au point d'aller cracher sur sa tombe ? Irina est-elle inconsciemment responsable de l'incendie qui a ravagé son appartement et tué sa mère ? La découverte de la peau épaissit peu à peu le mystère. Les paroles en l'air d'Irina sont suivies de situations réelles. L'héroïne va en effet vivre une soirée mémorable et obtenir un chèque qui lui permettra de réaliser tous ses rêves jusqu'à ce qu'elle comprenne les sacrifices exigés en retour.

Le personnage d'Halima est particulièrement intéressant. C'est peut-être elle la véritable héroïne du roman. Est-ce par choix ou à cause du pacte qu'elle est devenue sans s'en rendre compte « l'intermédiaire » entre Irina et le monde, toujours à ses côtés, anticipant la moindre de ses volontés, sacrifiant ses études et ses ambitions ? Comme elle, le lecteur ne saura plus à qui se fier.

Le ton du roman change à mesure qu'Irina perd le contrôle de sa vie. La deuxième partie révèle les mensonges et les trahisons de certains personnages et propose une théorie sur l'origine de la peau maléfique. Se repentir suffira-t-il à Irina pour enfin connaître le repos et ne pas finir comme le héros De Balzac ?

J'ai beaucoup aimé cette histoire, du début à la fin. le côté fantastique apporte une réflexion sur le sens de la vie. Imaginer un lien avec « La peau de chagrin » De Balzac est original. La prise de conscience tardive d'Irina est touchante et Halima reste le personnage le plus attachant. Intègre, fidèle et dévouée, libre ou liée au pacte, intelligente et incorruptible, elle sera la véritable responsable du dénouement.

Bonne lecture !
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critiques presse (1)
Ricochet
13 janvier 2021
Surnaturel et moderne, captivant.
Lire la critique sur le site : Ricochet
Citations et extraits (29) Voir plus Ajouter une citation
Halima a toujours aimé les histoires. Elle est incapable d'en inventer ou d'en raconter mais elle sait écouter. C'est une auditrice née. Elle peut se laisser emporter par les récits des autres, loin de sa propre vie, juste pour le plaisir des mots. Elle retient les noms, ne s'égare pas dans les digressions et visualise des images si nettes qu'elles lui donnent parfois l'impression de faire partie de sa propre mémoire. En auditrice exigeante, elle pourrait juger que son amie y va fort dans le pathos, que son histoire rassemble trop de clichés misérabilistes pour émouvoir, qu'elle est bancale et peu crédible. Ce qui l'empêche de porter un tel jugement, c'est cette chose bizarre posée devant elles, pour laquelle Irina l'a fait venir chez elle. Elle veut savoir d'où elle vient.
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- Imagine... que tu pourrais réaliser un seul vœu et aua ce serait le dernier. Que ce vœu te tuerait...
[...]
- Oui ?
- Eh ben.. qu'est-ce que tu souhaiterais ?
Toki ne se moque pas, ne marque pas de surprise. II soupèse un moment la question, puis hausse les épaules.
- Rien.
- Rien ?
- Non. Qu'est-ce qu'on a à souhaiter?
- Justement, je...
- On est déjà des rois ! Les rois du monde, tous, toi et moi, et on ne s'en rend pas compte ! Ça me tue, qu'on ne le voie pas! ! Les rois et les reines de la grande Histoire n'étaient rien, à côté de nous. Marie-Antoinette n'avait pas l'eau courante, pas de chauffage central, de fenêtres isolées, de chasse d'eau, d'ascenseur, de laverie automatique, de bibliothèque, de piscine municipale à 27 degrés, de haricots verts du Kenya en décembre, de thé de Chine en sachets. Les personnages les plus puissants de toute l'histoire humaine n'avaient ni scooter ni voiture, métro, train, avion low cost... Pour un mois de salaire, je peux voyager plus vite et plus loin que Napoléon ne l'a jamais fait. Un touriste peut refaire en cinq jours les trois années de tour du monde de Magellan et, à la fin de ma vie, je pourrais avoir vu plus de pays que tous les empereurs réunis! Si je n'ai pas le budget, je peux regarder le monde sur Internet, depuis mon canapé. Et l'hygiène, la santé ! Les rois mouraient d'une dent pourrie, quand il leur en restait ! Louis XIV s'en était fait arracher tellement qu'un trou dans sa mâchoire laissait couler par son nez tout ce qu'il buvait ! Pas de Doliprane, d'anesthésie. Versailles puait. Un étudiant boursier d'aujourd'hui refuserait d'y passer une seule nuit... Qu'est-ce qu'on pourrait encore vouloir aujourd'hui, ne soit pas obscène, en osant regarder bien en face l'Histoire et le reste du monde ?
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Tout a été progressivement pensé par Irina pour n'avoir rien à souhaiter, jusqu'à s'économiser les gestes les plus anodins. La domestique acquiesce en prenant note mentalement. Halima guide ses deux employées jusqu'au portes verrouillées de l'aile personnelle d'Irina. Elle baisse un peu la voix.
- Lorsque vous serez en présence de Mademoiselle, il est impératif que vous ne la regardiez pas et que vous ne vous adressiez à elle sous aucun prétexte, à moins qu'elle ne vous ait parlé la première. Si elle le fait, ne prenez jamais l'initiative de lui demander comment elle va, si elle est satisfaite, ni, surtout, si elle souhaite ou désire quoi que ce soit. Répondez "Oui, mademoiselle" en veillant à vous soustraire à son champ de vision.
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Ne crains pas de souffrir. N'attends pas que le destin t'offre la chance que tu crois mériter. Le désir, la convoitise et la paresse se nourrissent de ton sang. Seules la crainte de Dieu, la rigueur et une volonté ferme nous font humbles et forts.
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Au bout du compte, pourquoi ces souffrances ? À quoi tout cela a servi ? C'est le genre de questions que vous pose la mort quand elle vous regarde en face et qu'il est bien trop tard pour chercher des réponses.
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