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Critiques filtrées sur 4 étoiles  
Impossible à mettre dans une case, Gobseck, je serais bien incapable de vous dire ce que j'en pense, de ce vieil usurier «avare et philosophe, petit et grand», selon le narrateur de ce court roman, M. Derville. Il m'échappe, me laisse perplexe.
C'est un affreux bien sûr, cet «homme-billet» au teint blafard, impitoyable avec ceux qui sont contraints de recourir à lui:
«Quelquefois ses victimes criaient beaucoup, s'emportaient; puis après il se faisait un grand silence, comme dans une cuisine où l'on égorge un canard.»
Mais sa profonde connaissance du monde en impose, le rapproche du romancier: avec tous les désespérés qu'il a vu défiler dans son logement humide et sombre, il a pu pénétrer dans les plus secrets replis du coeur humain, épouser la vie des autres, la voir à nu. Et il offre un point de vue remarquable pour exposer avec force les travers d'une société bourgeoise bien cynique, où l'argent et le faux-semblant règnent en maîtres, où la «justice» n'est là que pour préserver les inégalités:
«Pour se garantir leurs biens, les riches ont inventé des tribunaux, des juges, et cette guillotine, espèce de bougie où viennent se brûler les ignorants.»
Gobseck est mystérieux aussi, il a l'aura d'un tumultueux passé d'aventurier, ayant bourlingué en Inde et en Amérique, fréquenté de célèbres corsaires, acquis la conviction que les principes moraux changent à chaque latitude...
Et puis c'est un personnage d'une stature qui impressionne et frappe l'imaginaire, le narrateur voit en lui «une image fantastique où se personnifiait le pouvoir de l'or», et c'est vrai qu'il a un peu des allures de créature infernale lorsqu'on le voit tenir «les diamants près de sa bouche démeublée, comme s'il eût voulu les dévorer». Il devient même bien frappa-dingue, et c'est assez fascinant de le voir aller à ce point à fond dans son délire.
Bon, c'est vrai qu'ici Balzac ne s'est pas forcément tant que ça foulé sur la complexité de l'intrigue, ce n'est pas son meilleur roman sans doute, c'est un roman-portrait, mais quel portrait! Je ne sais pas trop quoi en penser mais je ne suis pas près de l'oublier, Gobseck.
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Gobseck est une nouvelle De Balzac, publiée en 1830? Elle
fait partie des Scènes de la vie privée de la Comédie
humaine.
Si en lisant ce récit, on croit qu' il s' agit de l' histoire
d' un mariage , on est dérouté car il s' agit bien d' un maria-
-ge celui de Camille avec Ernest de Restaud, Balzac s' atta-
-che à dépeindre la vie d' un bonhomme inconnu, celui de
l' usurier? Et que type d' usurier!
En peignant un tel personnage, Balzac se fait critique se
fait de l' avarice . Mais ce n' est pas tant l' avarice que Balzac
critique ici mais l' ensemble de la société qui est visée.
Durant cette époque de la Restauration française, on remar-
-que le retour des nobles qui reprennent leur place .Mais
malheureusement la noblesse ne s' acquiert pas facilement
du moins le croit-on, car au dessus règne de cela règne
l' argent, et avec lui le mariage de convenance entre
noblesse déchue et riche bourgeoisie, tout s' achète dans ce monde.
C' est la soumission à l' argent que Balzac met en scène .

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A première vue, Gobseck semble être le portrait d'un usurier avare, entre Harpagon et Grandet, comme maître Cornélius aussi pour chercher encore dans la Comédie Humaine, soucieux seulement de son enrichissement personnel, recherchant l'or pour l'or. Mais si le vrai monstre était un autre ? Dans sa femme du monde par exemple qui ruine son mari par ses caprices pour son amant, qui profite d'elle sans amour ? le mari trompé, qui sait que les deux plus jeunes enfants ne sont pas les siens, est-il un monstre quand il les déshérite ?
Alors que Gobseck est capable d'attendrissement, il a un coeur, il a des sentiments. Il cherche le profit et son intérêt, oui, mais il est sensible à la beauté, celle des femmes d'abord - qu'elles soient riches ou pauvres, pécheresses ou vertueuses. Les deux scènes successives où il récupère son argent auprès de la vicomtesse malhonnête, et de la travailleuse humble, sont très belles. Gobseck en vient enfin à développer des sentiments presque paternel envers l'avoué.
C'est là tout l'intérêt de ce texte : un usurier à visage humain, qui devient sympathique par contraste avec les autres personnages, des gens du monde menteurs et dissimulateurs.
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Gobseck, vieil usurier, ruine de nombreuses familles de manière cynique et sans état d'âme. «Le Malheur lui apprendra la valeur de l'argent», dit-il. le nom Gobseck (gobe sec) n'est pas choisi au hasard, et le personnage apparait déjà dans Les Employés (La Comédie humaine, tome VII, p. 1063) où Balzac se montre précurseur de la graphologie naissante en dessinant la signature de Gobseck, accompagnée du commentaire suivant : «Le Secrétaire-général frémit en reconnaissant cette signature qu'il eût été dommage de ne pas donner en autographe, elle est rare sur la place, et doit être précieuse pour ceux qui cherchent à deviner le caractère des gens d'après la physionomie de leur signature (que je ne peux pas reproduire ici mais qu'on peut trouver sur Internet). Si jamais image hiéroglyphique exprima quelque chose, assurément c'est ce nom où l'initiale et la finale figurent une vorace gueule de requin, insatiable, toujours ouverte, accrochant et dévorant tout, le fort et le faible». Ce récit rappelle un autre avare De Balzac, le père Grandet (Eugénie Grandet).

Balzac, malgré son plaisir à inventer de nouveaux noms de sciences, n'inventa pas le substantif graphologie, dont il est finalement ici question. Ce terme apparaît pour la première fois en 1871 sous la plume de Jean Hippolyte Michon, dans Le Journal des autographes sous-titré l'art de juger les hommes par leur écriture.

Balzac dépeint par nuances successives, l'éveil puis l'épanouissement d'un amour simple entre deux êtres qui ne recherchent rien de mieux qu'un petit bonheur.
Autre nouvelle, Maitre Cornelius, se passe en 1479 à Tours, région natale De Balzac. Citation: À l'époque, «les fêtes ecclésiastiques composaient le spectacle du temps... Seigneurs et vassaux, hommes et femmes, n'étaient égaux que là».
Un jeune chevalier est amoureux de la femme du comte de Saint Vallier, fille naturelle de Louis XI, malheureuse en amour. Pour la rejoindre, le chevalier se fait engager chez le torçonnier (usurier) Cornélius qui habite à côté, ce qui lui permettra de la rejoindre par les toits. L'usurier est aussi en affaire avec le roi, et lui réserve même un «pourpris, gîte où le roi prend ses ébats». le chevalier est faussement accusé du vol des joyaux du duc de Bavière, mais prouve son innocence. À la fin, le sinistre comte de St Vannier meurt, délivrant sa femme des liens du mariage.
Facino Cane tourne aussi autour de l'argent. Un étudiant invité à une noce rencontre un vieux prince de Varèse, 82 ans, ruiné et devenu aveugle.
La dernière nouvelle, Adieu, se passe lors de la retraite militaire qui suit la défaite de la Bérézina, et le titre n'augure pas d'une fin heureuse.
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Gobseck est un court roman dans lequel Balzac s'attarde sur deux figures récurrentes, mais en général secondaires, de la Comédie Humaine : Gobseck l'usurier et Derville l'avoué honnête.
L'histoire est centrée sur la personnalité de Gobseck le prêteur en dernier recours, celui que l'on sollicite la mort dans l'âme quand tous les banquiers ont refusé. Sans pitié pour les emprunteurs, cupide pathologique Gobseck n'en a pas moins une honnêteté rigoureuse et peut être capable d'aider à sa manière celui dans lequel il reconnait ses propres qualités, en l'occurrence Derville aura mis le pied à l'étrier avec l'argent de Gobseck.
Dans la Comédie Humaine tout ramène à l'argent, les plus belles histoires d'amour ou d'amitié, les sentiments familiaux, les grands principes, tous s'effacent devant le maître du monde et Gobseck est son serviteur.
C'est le portrait d'un misanthrope, d'un avare et d'un fou que nous livre Balzac. Gobseck croit à la toute puissance de l'argent, il voit en lui la clé de compréhension du monde et l'objet de la jouissance la plus absolue.
Derville sert de contrepoint il ne méprise pas l'argent, bien au contraire, mais le voit comme un moyen de servir les hommes, s'il n'est pas désintéressé il est sensible à l'injustice et essaie de ne pas perdre son âme.
S'il n'est pas un des livres majeurs de la Comédie Humaine Gobseck est une réussite à tout point de vue : par la puissance du personnage, par son amitié paradoxale avec Derville, par l'intrigue de la succession du comte de Restaud.

Voilà un exemple parfait de l'immense toile d'araignée que Balzac a su tisser, puisque, autour de Gobseck et Derville, sont rassemblés des personnages déjà connus dans divers chapitres de la Comédie Humaine mais que l'on voit sous un nouvel éclairage, ce qui contribue à leur donner de l'épaisseur et de la vie. Et c'est pour ça que La Comédie Humaine est un monde tellement réel pour le lecteur.
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Afin de faciliter un mariage entre Camille de Grandlieu et Ernest de Restaud, maître Derville va raconter sa longue amitié avec un usurier nommé Gobseck à la mère de la jeune fille. À priori, rien à voir avec une future union entre les jeunes tourtereaux, et pourtant l'avoué (notaire de l'époque) affirme tout le contraire. Alors qu'il n'est qu'un jeune clerc et vivait dans une modeste pension, maître Derville avait pour voisin un vieil usurier, dont la réputation d'affairiste sans coeur était connue dans tout Paris. Pourtant, peu à peu, une relation se créa entre les deux hommes. Et l'usurier aida même l'avoué à acheter sa charge (avec un intérêt de 15 % tout de même !). Mais c'est surtout la relation commerciale entre le vieil homme, un dandy Maxime de Trailles et sa maîtresse Anastasie de Restaud que l'avoué va dévoiler à la vicomtesse de Grandlieu. Car pour entretenir son amant, Anastasie n'hésitera pas à gager un collier en diamant appartenant à la famille de son mari. Et le mari en question, pour sauvegarder l'héritage pour ses enfants, fera affaire avec l'usurier. Mais tout ne se passera pas comme prévu et les enfants de Restaud seront privés de leur héritage à la mort de leur père… À cause de l'inconséquence de leur mère, mais aussi à la cupidité de Gobseck. L'histoire en effet est avant tout un portrait de cet homme qui privilégie les affaires à tout autre chose (à l'opposé de Me Derville), qui vit chichement alors qu'il est un des hommes les plus riches de la capitale, qui voit son métier comme un jeu permettant de découvrir l'envers du décor chez de nombreuses personnes, leur véritable caractère et personnalité. Un homme qui sera dépassé par sa propre rapacité. Un récit plutôt court qui va directement à l'essentiel, ce qui n'est pas toujours le cas chez Balzac, et qui offre un portrait d'une étonnante modernité. Un chapitre de la comédie humaine que je ne connaissais pas, même de nom, et qui pourtant s'avère un des plus réussis.
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Un soir qu'il est en compagnie de la vicomtesse de Grandlieu et de sa fille, l'avou?? Derville raconte une histoire de jeunesse. Il esp??re ainsi ??difier la jeune Camille de Grandlieu qui nourrit un penchant pour un pr??tendant d??sargent??, le comte Ernest de Restaud. Derville ??voque le temps o?? il avait pour voisin un vieil homme d??nomm?? Jean-Esther van Gobseck, usurier hors du commun. Corsaire, capitaliste ou moraliste, ce pr??teur sur gages a derri??re lui une vie d'aventures pendant laquelle il a acquis sur l'existence une philosophie domin??e par l'argent et l'??conomie d'??nergie. C'est gr??ce ?? un emprunt usuraire aupr??s du Papa Gobseck que Derville, alors simple clerc, ach??te sa charge d'avou??. Un jour il am??ne chez Gobseck une connaissance, le comte Maxime de Trailles, dandy sans honneur, qui exerce une emprise totale sur son amante, la comtesse de Restaud. Elle ruine pour lui son ??poux. C'est la mise en gage d'une parure de diamants inestimable qui pousse chez l'usurier Maxime, Anastasie de Restaud et Derville, t??moin impuissant de la transaction. Cependant le comte de Restaud, soucieux de recouvrer les bijoux de sa famille, ali??ne sa fortune ?? fonds perdu pour racheter la parure, march?? qui rend Gobseck bient??t ma??tre des biens et de l'h??tel des Restaud. Plus tard le comte, us?? et accabl?? par le chagrin, se meurt : il sait sa femme infid??le et a tir?? d'elle l'aveu qu'il n'est le p??re de leurs deux plus jeunes enfants. Sur le conseil de Derville, il ??tablit en h??ritier son fils Ernest, mais pourvoie aussi au sort des deux autres enfants. Convaincue que son mari entend la destituer, Anastasie d??truit tout de suite le testament sans le lire, sur le lit de mort de son mari. Derville lui apprend qu'elle vient de ruiner l'avenir de ses deux enfants. Des ann??es plus tard, Gobseck meurt, possesseur de la fortune des Restaud, entour?? du butin consid??rable de ses op??rations. Il l??gue ?? une obscure arri??re petite-ni??ce son immense fortune mais restitue au jeune comte Ernest de Restaud sa richesse familiale. Cette fortune permettra sans doute ?? Ernest d'??pouser Camille de Grandlieu. La Com??die humaine conna??t plusieurs vieillards d??tenteurs de savoirs et de pouvoirs inqui??tants, et dot??s d'une long??vit?? peu commune. Gobseck est l'un des avatars de l'antiquaire de la Peau de chagrin, aupr??s de Derville-Rapha??l. Mentor de Derville, il lui apprend les m??canismes du monde, tout en le dispensant de reconnaissance. Il existe deux hommes en lui : il est ?? la fois petit et grand, avare et philosophe, th??oricien de l'argent qui imprime le mouvement ?? la vie. Mais, Gobseck dont un autre titre est les dangers de l'inconduite c'est aussi une description de la femme incons??quente et dilapidatrice.
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Aucun document, dans la correspondance De Balzac ou dans les témoignages, ne permet de dater la conception et la composition du texte. Il reste un manuscrit morcelé et incomplet. La première ébauche de l'intrigue de Gobseck paraît le 6 mars 1830 dans "La Mode" sous le titre L'Usurier, avec le surtitre Moeurs parisiennes. La nouvelle est reproduite quelques mois plus tard, dans "Le Voleur" du 10 août 1830.
En avril 1830, la première édition contrôlée par Balzac paraît sous le titre Les Dangers de l'inconduite, dans le tome premier des Scènes de la vie privée (Mame-Delaunay et Vallée).
La « troisième » édition voit le jour sous le titre Papa Gobseck.
L'édition (Furne, septembre 1842) paraît sous son titre final Gobseck dans Scènes de la vie privée.
C'est donc cette édition qui sera prise en compte comme l'édition de base.

L'histoire de Gosbeck un des cinq "grand usurier" de Paris, racontée par l'avoué Derville sans doute son seul ami.
On entend par grand usurier ceux qui pouvait avancer d"énormes sommes, les taux pratiqué allait de 15 à 100 %. Les garanties étaient couvertes par des billets à ordre (méthode encore pratiquée actuellement sous forme de "traite acceptée"). Les billets pouvaient se céder et se négocier et faisait ainsi une monnaie parallèle.
Le Comte et la Comtesse de Restaud seront ainsi les cibles de l'usurier, jusqu'à la banqueroute.
A la mort de Gosbeck, on découvrit dans sa maison transformée en silo des trésors mais aussi quantité de produits avariés. Il gardaient tout, amassait la moindre chose comme si ça vie en dépendait.
Il mourut seul et sans descendance.

Pas de datation précise. le texte laisse supposer que les années 1830 servent de pivot.
Personnages du récit

– Jean-Esther GOBSECK : né à Anvers d'une juive et d'un Hollandais.

– DERVILLE : avoué. Narrateur de Gobseck, il rétablit la fortune de la vicomtesse de Grandlieu et veille à la fortune des Restaud.

– Vicomtesse de GRANDLIEU : rétablie dans sa fortune par Derville qui gagne son procès contre l'Etat lors du retour des Bourbons. Elle assiste à une soirée chez Mlle des Touches dans le Cabinet des Antiques, et accueille la comtesse Félix de Vandenesse après la révolution de Juillet dans Une Fille d'Eve.

– Comtesse Anastasie de RESTAUD

– Comte de RESTAUD : mari malheureux.

– Comte Maxime de TRAILLES : vicomte anonyme avant l'édition de 1835.

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Un grand livre De Balzac ou l'auteur expose ses heros favoris: des usuriers, des hommes sans morales qui vont s'entredevorer: l'auteur n'a jamais ete meilleur que pour conter ce genre d'histoire et fait encore une fois notre bonheur avec ce livre !
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Gobseck est une nouvelle De Balzac, complexe dans l'imbrication des récits.
Une lecture sur laquelle il faut se concentrer car nous suivons plusieurs histoires de mariage sur lesquelles repose une morale.
La période se situe en 1820, pendant la période de la Restauration.

Dans un récit enchâssé, Derville, l'avoué de Monsieur Gobseck raconte à Mme de Granlieue comment il a pu travaillé avec cet usurier et comment il peut prouver aujourd'hui que Ernest de Restaud est un comte bien fortuné, sur lequel la famille Granlieue peut compter pour préserver leur rang social d'aristocrate, en l'unissant avec Camille de Granlieue.

Selon moi, le personnage le plus intéressant est bien évidemment Gobseck. Il est dépeint comme un usurier cynique, froid, impitoyable, capitaliste avide de l'or et de l'argent mais sous sa forme la plus dématérialisée. Les transactions financières, de compte à compte, lui donnent beaucoup de jouissance, plus que de posséder matériellement de l'or dans ses mains.

En même temps, ce prêteur calculateur au taux d'intérêt incroyablement mortifère, est un homme lucide et intelligent. Un "homme modèle" dira Balzac à son propos.

Au delà des apparences, seul Derville comprendra qui se cache derrière Gobseck car il existe deux hommes en lui : "il est avare et philosophe, petit et grand". Un personnage mystérieux capable de faire et défaire des vies.

La nouvelle est à découvrir pour comprendre les enjeux matrimoniaux et la condition humaine des femmes au 19ème siècle. Entre l'amour passion, l'amour honnête et l'amour d'intérêt, Gobseck finira peut-être par vous surprendre pour son sens de l'humanité.
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