D'abord assez décalé, finalement bien noir, ce récit plein de vie emporte le lecteur comme le ferait un tourbillon, le secouant vigoureusement. Et cela ne peut laisser indifférent.
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Des chiens, des chats et des ours qui se battent sur la piste Ho Chi Minh et, occasionnellement, s’ébattent joyeusement dans les rizières… Avec Napalm Fever, Allan Barte n’a pas choisi la facilité : raconter, à travers une aventure animalière burlesque, la guerre du Vietnam vécue par André Tiêt, un photographe sorti de son imagination.
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Les causes en sont évoquées, mais pas traitées en profondeur. À la clé, un sentiment de précipitation qui ne permet pas de goûter pleinement à un scénario qui, pourtant, partait sur de bonnes bases.
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Dans ce récit sans temps morts et au découpage impeccable, Allan Barte, né en 1978 d’un père vietnamien et d’une mère française, brosse la quête identitaire d’un homme coupé de ses racines, et qui va les déterrer dans le contexte d’une guerre sanglante.
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Je vous remercie de m'accueillir
Tout le plaisir est pour moi. Nous sommes heureux à l'idée que tu expliques notre combat dans ton pays. Du thé ?
Tu parles bien vietnamien pour un étranger !
Bah... Je suis vietnamien en fait!
Je t'avais pris pour un japonais.
Moi, physiquement, tu me fais penser à mon beau-frère.
Ah !
Mais j'ai toujours trouve qu'il ressemblait à un chinois.