« C’était la dernière semaine avant les vacances de la Toussaint ; je commençais tout juste à me sentir mieux, à trouver quelques repères à Saint Sauveur. Mais un événement vint d’un coup d’un seul faire voler en éclats ces fragiles progrès. Le mardi, en rejoignant ma place au CDI, je fus happé par la une d’un quotidien. Sur toute la page, une photo s’étalait : dans une rue couverte de gravats, devant un immeuble éventré, une femme au regard hagard serrait un enfant... >Voir plus