Le jour où, tome 7 : Les jours où les liens se tissent

J'ai eu affaire à une belle chronique chaleureuse mettant en scène des personnages attachants qui semblent tout droit sorti du réel. Dans cette BD, il n'y a pas d'esbroufe ou d'effets grandiloquents. On notera une narration et un dessin simple sur un ton juste ainsi qu'un regard empreint de modernité et d'humanité.

L'auteur travaille ici avec une véritable délicatesse d'esprit sur les liens et la thérapie des mondes relationnels. C'est juste un trait doux qui caresse les gens et les choses. En effet, il y a comme une sorte de pureté dans le dessin et la couleur qui ravissent l'oeil en donnant au tout un côté charmant et enchanteur.

Le thème est en effet celui des liens qui se tissent entre les individus et parfois des sacrifices qu'on est prêt à faire pour conserver une amitié ou un amour afin de ne pas déplaire. Quand cela devient un peu forcé, il faut prendre des mesures un peu plus radicales pour notre bien-être comme une sorte de nettoyage de printemps mais dans les relations.

On va suivre notre héroïne qu'on connaît déjà bien au bout de 7 tomes à savoir Clémentine qui va explorer un peu plus les mécanismes humains conduisant à tisser des liens. Ceux-ci peuvent se construire, se renforcer mais parfois se détruire. Les liens sont en effet les socles de notre humanité. A noter qu'il y a différents chapitres qui nous plongent également dans le passé pour mieux comprendre ce qu'elle ressent aujourd'hui.

J'ai aimé l'audace de certaines cases où par exemple, la narration tourne en rond comme une spirale infernale afin d'exprimer un manque d'amour. A noter également le peu de bulles et de dialogue. C'est un aspect beaucoup plus contemplatif où l'on admire les images qui se succèdent et qui parlent d'elle-même pour nous faire ressentir des émotions tel le bonheur et la plénitude.

Ce bonbon rose sucré feel-good est une pause dans la vie qui permet de mieux aller de l'avant. A vous de voir et de vous forger une idée après lecture de cette BD que je recommande.

Cette série nous plonge dans les différents moments de la vie de Clémentine et de son cercle proche. Clémentine est une jeune femme qui se cherche dans une période difficile de sa vie. Animée de bonnes volontés, elle peine malgré tout à trouver sa voie vers le bien-être pour redonner du sens à sa vie. Mais les choses vont commencer à bouger le jour où le bus de Clémentine va partir sans elle...

Les thématiques abordées dans cette série explorent les instants simples, les rencontres inattendues, les émotions partagées, l'amitié, l'amour, le passage du temps, l'estime de soi et la quête d'épanouissement personnel.

Cette série est une exploration lumineuse de la vie quotidienne pour avancer vers de la connaissance de soi, l'amélioration de sa qualité de vie, le retour vers la sérénité, la valorisation de son potentiel, l'optimisme, et l'accomplissement de ses aspirations. Nous allons de petits et à de grands moments qui se révèlent toujours déterminants dans l'existence de la jeune femme à laquelle on s'attache. Au fil des tomes, nous prenons plaisir à la suivre dans sa quête identitaire et dans son évolution. À travers les défis, les rêves, la joie et la tristesse, Clémentine malgré ses peurs avance sur le chemin qu'elle se trace vers son bonheur.

Ce tome 7 est différent des autres, fait d'histoires courtes, Clémentine se souvient des moments de sa jeunesse, de qui elle était petite, de ses parents et des relations qu'elle entretient avec eux.

Une collection pour ceux qui s'intéressent au développement personnel, les amateurs de lecture feel good ou toute personne désireuse de profiter d'un moment agréable en explorant des réflexions sur la vie.
Lien : https://www.instagram.com/bd..

Euh....

Voilà les trois lettres qui résument parfaitement mon ressenti, et c'est aussi les trois lettres qui m'auront accompagné tout du long de cette lecture.

Soit il était indispensable de lire tous les tomes d'avant pour comprendre ( il m'en manque deux à ce jour et ça pourrait expliquer mon ressenti) ou alors il était vraiment trop lunaire et imagé pour moi. Ou alors c'était un joke ?
Toujours est- il que mes pieds sont restés fermement ancrés au sol et que mon esprit est resté totalement hermétique à cette non- histoire qui ne mène à rien. J'ai la sensation d'un travail bâclé, comme si l'urgence était de sortir un tome pour clôturer l'ensemble.
On est très loin du niveau des autres tomes selon moi.
Enfin ceci dit mieux vaut que ce soit le dernier que le premier. Car je ne suis pas déçue que ça s'arrête là, et que si j'avais commencé avec celui-ci je n'en aurai lu aucun des autres...
Désolée pour l'acidité de ma critique mais je suis franchement déçue.

Des petites histoires, des instants volés sur une reflexion emplie de bienveillance envers les autres et envers soi. Rien de bien neuf par rapport aux tomes précédents mais les dessins sont toujours aussi doux et apaisants.
Une série atypique dans la BD.

J'ai adoré les 6 premiers tomes. J'attendais le 7ème avec impatience. J'ai été assez déçu. On a l'impression que la BD a été écrite par un autre auteur.
Je m'attendais à une réflexion plus poussée. J'ai lu la BD très rapidement malheureusement je reste sur ma fin !

Ce 7e tome traite du lien à l'autre, parent, ami ou amoureux. Cet autre pas toujours disponible, cet autre qui ne sait pas être dans le lien et l'attention, cet autre dont on a besoin enfant, mais qui n'est que là physiquement. Ce lien sur lequel on met aussi beaucoup d'enjeux, dont on dépend trop et qui va facilement nous décevoir.

C'est vraiment encore un beau tome. Les larmes sont montées dès les premières pages... L'album est cette fois composé de plusieurs scènes, avec la même héroïne, toujours Clémentine, mais à différentes époques de sa vie et dans différentes relations. On suit sa prise de conscience sur son lien à l'autre.

Le dessin est toujours très doux, très enveloppant.

Il pose encore plus de questions sur soi. Je le trouve peut-être plus utile que les derniers parus. Plus dans la réalité de ce que tout le monde peut vivre avec son entourage.

Le jour où les liens se tissent 🌱
Tome 7 de cette saga pleine de sagesse que j'aime tant.

Cet album sorti la semaine dernière aborde le thème des liens qui nous lient. Amour, amitié, proche,... on y évoque avec poésie et sagesse différentes étapes de nos vies et de nos relations aux autres à travers Clémentine, l'héroïne. de courtes histoires retraçant des moments clés de sa vie pour exprimer sa relation aux autres, cette façon de tisser des liens particuliers avec certains ou la difficulté d'en lier avec d'autres, pourtant si proches en tant que famille.

J'ai une fois de plus adoré les dessins de par leur beauté et leur façon d'évoquer des émotions, des regards, des sensations, sans parole parfois car cela suffit et c'est ce que j'admire.

Et puis les textes, qui permettent une belle réflexion aussi sur nos propres liens, à nous-même et aux autres.

Bravo pour cet album sensible, beau et lumineux. J'ai à présent bien envie à mon tour de m'allonger au sol dans un carré de soleil...

"Composés de milliers de fils invisibles dans l'implicite, ils s'expriment à travers nous de façon explicite : une envie de serrer spontanément un être dans nos bras, alors qu'on ne le connaît que depuis quelques minutes, ou au contraire vouloir mettre une distance immédiate avec une personne que, pourtant, nous connaissons depuis si longtemps. Cela vous est déjà arrivé n'est-ce pas ?"

En préparant cette chronique, j'ai feuilleté les chroniques des précédents tomes et j'ai trouvé fort à propos de voir que, mine de rien, la série « le jour où » a tissé des liens entre différents chroniqueurs (sur Samba BD). Nous sommes au moins quatre à s'être posé des questions un peu existentielles en lisant les aventures de Clémentine et autres protagonistes de cette saga feel-good. Preuve, s'il en est, que ces récits (pouvant totalement être lus indépendamment des autres), parlent à tout un chacun.
Ici, dans « Les liens se tissent », on (re)découvre ces liens entre les gens. Les premiers que nous nous faisons sont avec notre famille. Mais sont-ils aussi fort que ceux créés avec des amis ? Un proverbe ne dit-il pas « La famille on la subit, les amis on les choisit » ? Clémentine, assise sur une racine d'arbres repense à tout cela, son enfance avec un peu père reclus dans sa chambre à l'heure du souper, les dimanches chez sa grand-mère avec une aïeule silencieuse dans un recoin de la pièce de vie et une mamie toujours prête à la gaver de sucrerie. Des souvenirs un peu lourds, pénibles (comme ces funérailles où Clémentine s'est sentie, pour la première fois, plus proche de son père que de sa mère), qui s'affrontent avec les moments conviviaux entre amies.
Caroline Roque et les BeKa dépeignent avec brio le vécu d'énormément de gens personnifiés par Clémentine. Ça pourrait être nos souvenirs, à nous. À n'importe qui. Et c'est ce qui rend cette série touchante à plus d'un titre. le dessin tout en finesse de Marko, réchauffé par les couleurs de Maëla finissent de nous atteindre en plein coeur et penser à nos propres liens, nos amis, notre famille… et se rappeler que parfois, un simple mot, un sourire peut raviver ou nouer un (nouveau) lien…

Lien : https://sambabd.net/2023/11/..

Clémentine, que je ne présente plus, va cette fois nous amener à réfléchir sur les relations humaines qui se nouent autour de nous tout au long de notre vie. Importantes pour le développement et l'épanouissement de chacun mais qui peuvent parfois devenir illusoires ou décevantes quand on les entretien non plus par envie mais par obligation ou habitude…

Cette fois, ce tome, qui est le 7ème d'une bien jolie collection qui trône dans la bibliothèque de mon salon, traite des liens que nous tissons.
Il est un peu différent des précédents mais pas moins déplaisant. En revanche, je trouve qu'il est moins approfondi sur les réflexions, dommage car le sujet est très intéressant. J'en aurait un peu aimé plus.

Les liens… Entre passé et présent les petites histoires et expériences de Clémentine révèlent toute la complexité de nos relations, qu'elles soient familiales ou amicales…
Quand chacun ne vibre pas sur le même diapason, est ce que nous devons vraiment investir de notre personne au risque d'être déçu ?

Un album qui se contemple par la beauté de ses dessins plus que par les bulles qui sont très rares.
Des illustrations si jolies, colorées et poétiques qui permettent de vraiment se poser et se questionner.

Je te conseille cet album surtout pour le plaisir de tes mirettes.

👉 Je ne sais pas si ça se ressent dans mes choix de lectures ; mais j'adore lire des livres feel good et plus particulièrement autour du développement personnel. Depuis mon Covid long et la psychothérapie qui en a suivi, j'ai ressenti le besoin de lire des histoires qui me font du bien.

😍 Alors un jour, je me suis dit : « Et si j'essayais « le jour où le bus est reparti sans elle ? » ». Cette histoire m'a tellement apportée que j'ai fini par acheter toute la série. Imaginez bien que j'ai été très touchée de pouvoir recevoir ce 7ème tome de la part de @bamboo_edition

🔎 Ma critique express : j'ai aimé ❤️
- Les illustrations
- La poésie des textes
- Les chapitres assez courts
- Les extraits de textes avant chaque chapitre.
- Les cases sans textes

🔎 Pour ceux qui veulent en savoir plus :

👉 A travers ce tome, Clémentine se livre et partage simplement des moments de sa vie où elle a tissé des liens. Ces liens entre les membres de sa famille, ses amis, les liens qui se construisent, se déconstruisent ou se reconstruisent.

❤️ Comme vous l'avez compris, j'ai beaucoup aimé ce tome qui semble si différent des autres. Au lieu d'avoir une histoire unique, on se retrouve avec de nombreuses petites histoires à travers lesquelles elle montre ses expériences. Ces évènements du quotidien montrent que rien n'est figé en amour, en amitié, en tendresse... Il faut simplement savoir écouter, ou s'écouter.

Graphiquement j'ai adoré la mise en page de chaque bulle, chaque case. Parfois une simple image sans texte donne même la respiration nécessaire pour réfléchir à notre propre vécu, où se questionner sur nos propres blessures.

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