Le jour où, tome 7 : Les jours où les liens se tissent

Dernier tome de cette collection et c'est un coup de coeur pour chaque bd... ❤️
J'ai vraiment beaucoup aimé !
J'ai envie d'avoir chacun des personnages à ma table !
On apprend beaucoup !
Les liens... On pourrait en parler pendant des heures !!!
Avec les années qui passent c'ets vrai on reconnaît ces vrais amis...
Moi j'appelle ça mon train de la vie....
Il y a des personnes qui sont descendus rapidement d'autres avec le temps...
L'amitié... Ça s'entretient... Il ne faut pas que ça s'essouffle...
Je suis très contente de dire que j'ai encore mes copines de collège... On se voit peu mais on se connaît et quand on peut se voir on a l'impression de s'être quittées la veille !!!
J'ai été déçue beaucoup...
Étant donné qu'on déménage relativement souvent... C'est de moins en moins facile je trouve....
Il y a toute cette phase de séduction pour devenir copines généralement... Ça prend un peu de temps...
Moi je suis toujours très impatiente d'avoir mon petit monde autour de moi....
Personne n'est à l'abri un coup de coeur amical !!!
Parfois le feeling passe de suite....
2023 a été vraiment difficile...
J'écris cette nouvelle page ici...
Mais j'ai l'ennui de mes cop's...
Je voudrais qu'elles soient au bout de ma rue et qu'on puisse prévoir plein de trucs ensemble !

📖 Noussommes souvent prêts à bien des sacrifices pour préserver une amitié, un amour, un lien. Pour ne pas déplaire. Même à répondre à des attentes qui ne sont pas les nôtres. La façon dont nous avons été élevés, les évènements du quotidien, du monde, font que parfois, vient un moment où nous ne croyons plus au lien avec les autres, à leur présence, à leur amour. Nous nous sentons seul, seul avec nous même, seul avec notre solitude. Mais le contact d'une main, la douceur d'une parole, un sourire, un moment complice, la beauté du monde, peuvent nous aider à croire à nouveau à ces liens.

Jolie bande dessinée sans plus. le titre est limpide: une jeune femme exprime comment elle a tenté ou échoué à tisser des liens avec son entourage, famille, amis. Les maladresses, les retenues, les malentendus, les petits moments de grâce.

C'est survolé et plein de références personnelles destinées aux personnes évoquées. Libre au lecteur de s'identifier ou pas. Pour ma part je suis un peu passée à côté.

Peut-être faut-il lire les autres tomes pour être davantage imprégné?

Euh....

Voilà les trois lettres qui résument parfaitement mon ressenti, et c'est aussi les trois lettres qui m'auront accompagné tout du long de cette lecture.

Soit il était indispensable de lire tous les tomes d'avant pour comprendre ( il m'en manque deux à ce jour et ça pourrait expliquer mon ressenti) ou alors il était vraiment trop lunaire et imagé pour moi. Ou alors c'était un joke ?
Toujours est- il que mes pieds sont restés fermement ancrés au sol et que mon esprit est resté totalement hermétique à cette non- histoire qui ne mène à rien. J'ai la sensation d'un travail bâclé, comme si l'urgence était de sortir un tome pour clôturer l'ensemble.
On est très loin du niveau des autres tomes selon moi.
Enfin ceci dit mieux vaut que ce soit le dernier que le premier. Car je ne suis pas déçue que ça s'arrête là, et que si j'avais commencé avec celui-ci je n'en aurai lu aucun des autres...
Désolée pour l'acidité de ma critique mais je suis franchement déçue.

J'attendais ce Tome 7 avec impatience, peut-être un peu trop, car le fonds m'a plu, mais la forme un peu moins.

Dans cette BD il est question de solitude et des liens que l'on tisse ou non avec les gens que l'on croise dans sa vie.

On y retrouve nos personnages, Clémentine surtout, qui nous démontre que l'amour est au centre de toutes relations (sentimentale, amicale, familiale, avec soi, avec la nature...).

Ce qui m'a dérangé c'est le découpage de la BD, comme des chapitres dans un livre. Je comprends qu'en faisant ainsi les auteurs voulaient démontrer ce que chaque personne apporte à une vie mais du coup, pour moi, ça a coupé ma lecture, c'était moins fluide que pour les précédentes.
Je vous conseille quand-même de découvrir cette série qui ne reste pas moins une série que j'apprécie.

Le tome 7 de la série le jour où est un peu différent des autres : tout en introspection, très peu de dialogues.
Qu'est-ce que le lien ? D'où vient il ? Sommes nous obligés d'être liés à nos proches ?
Dans des tons sépia, Beka, Malo et Maëla nous emmènent dans le passé de Clémentine : on découvre sa famille, sa solitude, ses amis.
Ce tome, plus personnel, peut toucher tout le monde.

Je suis ravie d'avoir pu lire ce dernier tome de cette saga qui a été en majorité des coups de coeur pour moi lors de la lecture.

Cependant, j'ai moins accroché au thème abordé ici, avec ces liens qui se tissent avec la famille, les amis, la nature, les objets, les souvenirs. J'ai préféré les autres tomes, car j'étais un peu perdue dans la façon dont à été expliqué le sujet du tome. Disons que le fil conducteur de ce tome est moins évident car ce sont des histoires courtes qui mènent à une réflexion sur le sujet des liens qui se tissent mais qu'à la fin de lecture. Alors que les autres tomes sont plus une suite d'histoire avec une morale ou une réflexion à la fin.
Cela n'est que mon avis et je vous laisse vous faire votre propre avis en découvrant cette bande dessinée.

Les graphismes sont toujours aussi beaux et colorés.

Une bonne lecture.

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Un tome un peu différent où on parle des liens familiaux , des liens du coeur, de la nature .
On apprends à s'écouter à se faire confiance .
Laisser s'éloigner certains pour gagner des nouveaux liens amicaux .
Un très joli tome hâte de lire le suivant

Un très joli tome plein de douceur, de sérénité et de lumière. Il est découpé en petites évocations encadrées de citations inspirantes. Beaucoup de lumière.

En préparant cette chronique, j'ai feuilleté les chroniques des précédents tomes et j'ai trouvé fort à propos de voir que, mine de rien, la série « le jour où » a tissé des liens entre différents chroniqueurs (sur Samba BD). Nous sommes au moins quatre à s'être posé des questions un peu existentielles en lisant les aventures de Clémentine et autres protagonistes de cette saga feel-good. Preuve, s'il en est, que ces récits (pouvant totalement être lus indépendamment des autres), parlent à tout un chacun.
Ici, dans « Les liens se tissent », on (re)découvre ces liens entre les gens. Les premiers que nous nous faisons sont avec notre famille. Mais sont-ils aussi fort que ceux créés avec des amis ? Un proverbe ne dit-il pas « La famille on la subit, les amis on les choisit » ? Clémentine, assise sur une racine d'arbres repense à tout cela, son enfance avec un peu père reclus dans sa chambre à l'heure du souper, les dimanches chez sa grand-mère avec une aïeule silencieuse dans un recoin de la pièce de vie et une mamie toujours prête à la gaver de sucrerie. Des souvenirs un peu lourds, pénibles (comme ces funérailles où Clémentine s'est sentie, pour la première fois, plus proche de son père que de sa mère), qui s'affrontent avec les moments conviviaux entre amies.
Caroline Roque et les BeKa dépeignent avec brio le vécu d'énormément de gens personnifiés par Clémentine. Ça pourrait être nos souvenirs, à nous. À n'importe qui. Et c'est ce qui rend cette série touchante à plus d'un titre. le dessin tout en finesse de Marko, réchauffé par les couleurs de Maëla finissent de nous atteindre en plein coeur et penser à nos propres liens, nos amis, notre famille… et se rappeler que parfois, un simple mot, un sourire peut raviver ou nouer un (nouveau) lien…

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Une bande dessinée avec une touche de développement personnel. Je n'ai pas lu les autres tomes, c'est la jolie couverture qui m'a attirée. Une lecture pleine de douceur. J'ai trouvé qu'il y avait beaucoup de poésie dans les textes et les illustrations sont très jolies. Ce n'est pas une seule histoire, mais plusieurs petites histoires.