Savoir passer l’éponge, sur tout qui dérange.
Vider la cervelle, la vie ne serait que belle.
Plus de haine… ni querelle !
Pouvoir lâche prise, faites-vous la surprise.
Ne pas reconnaître la crise.
Maîtriser, la négative émotion,
Se donner aux exercices de relaxation.
L’inspiration et l’expiration.
Augmenter la fréquence et l’amplitude
Vous gagneriez en certitude.
Une fois l’émotion maîtrisée, le moral stabilisé.
Au Pardon, ne jamais dire non.
Pour la vertu, ne pas être têtu.
Avec la patience,
On connaîtra la renaissance.
Par l’intuition,
On résoudrait quelques équations.
Le désir, fait pâlir,
Savoir le contenir, si non les délires.
Le respect le déployer sans regret.
Le consentir sans intérêt.
La tolérance la mettre en évidence.
Bannir le respect pour la ressemblance.
La prudence, quelles que soient les circonstances.
L’avoir en permanence mieux que la résistance.
La volonté, l’avoir en continuité… en quantité !
Aplatira toutes les difficultés.
Rire, se réjouir, plaisanter, rigoler, se marrer et se divertir.
Le sourire chez l’humain est un signal intellectuel, il revient à induire un renforcement du lien social,selon les cas.
En conclusion, ne pas être dans son assiette, vulgairement dit, aller passer quelques minutes à rire ou à sourire avec un bon humoriste, vous ne seriez plus triste !
C’est un moment d’évasion, qui nous permet de faire une révision de toutes nos illusions.
Le lâcher-prise se fait. Ainsi la reprise serait parfaite, la crise n’étant que passagère elle serait classée sur l’étagère, pour nous rappeler les galères vécues l’année dernière.
Je suis contre l’ennui.
Je veille le jour et la nuit.
Sans avoir peur du vent et de la pluie.
J’aime être chez lui.
Je suis bon avec autrui.
Je conforte ceux qui ont de l’ennui.
Soulager les malheurs des démunis.
C’est mon rôle bien défini.
Tous les pauvres, chez moi, sont réunis
Je leur apporte le sourire.
Avec mes mots et mes dires,
Que de la joie et le plaisir.
Mes phrases sont des blagues.
Au bonheur je fais la drague.
Moi je sais dialoguer.
Mes paroles sont homologuées.
Les gens fragilisés,
J’arrive à les déguiser.
Au bien-être je suis engagé.
Les malheurs, j’arrive à les soulager.
La patience donne au temps la latence.
Aide à supporter les défaillances.
Quelles que soient les circonstances.
La pertinence, la persévérance,
Font de la résistance,
C’est de l’obstination,
Qui entrave la destination,
En bloquant la réflexion.
La patience cherche les causes,
Le pourquoi des choses.
Avec le temps, elle est complice,
Libre, à lui de faire son service.
La patience trouve, au temps, l’excuse,
Portant, Lui, il abuse !
Il nous pousse, nous tous,
À en gagner encore plus.
Ainsi, la patience manque à nous tous.