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3,65

sur 599 notes
Mon premier roman de Brit Bennet et son premier à elle, quand son dernier opus vient à peine de sortir. Une histoire qui se lit sans déplaisir mais qui m'a semblé tourner beaucoup en rond autour de ces trois personnages qui se lient et se délient.

Nadja a dix-sept ans quand elle flirte avec Luke un peu plus âgé qu'elle. Elle se retrouve malgré elle enceinte et souhaite avorter pour ne pas gâcher son avenir.
À la clinique, elle se retrouve seule. Un moment qui va la marquer profondément. Car ni là-bas ni après, Luke ne sera là.

De son côté, il y a la honte et l'amour malgré tout pour Nadja que Luke ne parvient pas à oublier. Suite à un grave accident sportif, il se retrouve dans une clinique de rééducation où il fera la connaissance de la meilleure amie de Nadja, Aubrey. Ces trois là vont s'approcher, s'éloigner, s'aimer, se détester. Il y a un petit quelque chose de l'amie prodigieuse ici j'ai trouvé.

Ce livre je l'ai lu sans ennui même s'il ne m'a pas plus passionnée que cela. Les affaires de coeur de jeunes entre je t'aime moi non plus m'ont semblé assez tiré en longueurs. C'est très bien écrit ce qui sauve tout de même l'histoire, mais bon, ça ne m'aura pas suffi pour en faire un bon grand moment de lecture.
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Nadia, 17 ans grandit à Oceanside, une banlieue ordinaire de San Diego, au sud de la Californie---aux côtés de son pére ----au sein d'une paroisse afro- américaine conservatrice.

Il y eut une mére sur la photo de famille Turner----famille noire de la classe moyenne ---mais elle n'est plus de ce monde , désormais.
Elle s'est donné la mort quelques mois auparavant ---une balle dans la tête ----- sans explication .
La jeune romanciére nous plonge dans le désarroi de cette jeune fille perturbée, intelligente, fine et belle .
Elle tente d'encaisser le coup, brisée, avant d'intégrer l'université du Michigan qui a accepté sa candidature ...
Anéanti, absent , mutique son pére Robert déposait désormais sa tristesse sur un banc d'église ...
Pour lui, tout tournait autour du Cénacle, église protestante et sa communauté de fidèles.....
En proie à son chagrin Nadia traîne un peu, désoeuvrée , s'entiche de Luke , le fils du pasteur.

Bîentôt enceinte elle ne gardera pas l'enfant ----encore une enfant elle même qu'en ferait - elle ?
" Elle avait eu une mére et maintenant elle n'en avait plus; elle avait été enceinte, mais elle ne l'était plus..." ..
Mille et une questions hantent Nadia sous le coup de cette double perte elle qui cherche sa voie ....Elle quittera la Californie pour le Michigan , rencontrera Shadi , plus tard Chicago en poursuivant de brillantes études puis ,...je n'en dirai pas plus...
Ce sujet difficile déchire les citoyens au sein d'une communauté religieuse : le poids d'une société
et son conformisme influencent les décisions à prendre et les chemins de vie ....
C'est un roman choral nourri par un coeur de femmes où nous suivrons les trajectoires de Nadia aprés son avortment , Aubrey, son amie et ses blessures héritées de l'enfance, Luke , ses rêves brisés d'amour et de gloire, Robert Turner, détruit par le chagrin...
Ces trajectoires se croiseront et divergeront de l'adolescence à la trentaine sous le regard insistant de la pieuse communauté du Cénacle, incarnée dans la narration par un choeur de femmes âgées qui commente et observe ...
Des sujets de société variés sont abordés : éducation, homosexualité, avortement , maternité, intense poids des croyances religieuses , intrusion constante dans le mode de vie des voisins ....inceste.....culture moralisatrice .....
Je me suis ennuyée à la lecture de ce roman un peu lent, sans jugement , facile à lire....que l'on me présentait comme une oeuvre extraordinaire ...
Ce n'est que mon avis bien sûr. Il n'engage que moi.....







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Révélation des plumes anglo saxonnes de cette rentrée, Brit Bennett n'a même pas la trentaine , et à la lecture de son tout premier roman "Le Coeur Battant de nos mères", qui a triomphé au Etats Unis lors de sa parution l'an passé ( à 27 ans exactement) on se dit qu'on aurait donné facilement vingt de plus tant sa plume et sa narration est en tous points maitrisée!

En même temps, diplômée de littérature à Stanford, miss Benett a eu la chance desuivre des cours de « creative writing », à Oxford, une discipline qui n'existe pas en France et qui prouve si besoin est que nos homologues américains prennent vraiment l'écriture très au sérieux

Classé dans les meilleures ventes de livres en 2016 aux Etats-Unis, l'intrigue de ce "coeur battant de nos mères" a pour toile de fond une communauté noire Califnornie strictement régie sous la religion, qui aura pour nom le Cénacle.

Une des belles idées du roman est que l'histoire va être racontée par un choeur de membres féminins d'un certain âge- les mères du titre- , occupant un role assez similaire à celui que tient, le choeur dans les tragédies antiques, conférant à cette histoire des relents de fatalité et de caprice du destins présents dans toute bonne tragédie que ce soient .

Les mères vont donc nous narrer le destin tragique de Nadia, 17 ans au moment du début du livre, dont la mère s'est suicidee de façon violente et inexplicable quelques mois plus tôt la laissant avec un père deboussolé, et qui va accidentellement tomber enceinte du fils du pasteur....

" Aubrey était frileuse, et il aimait bien ça ; il se disait qu'il lui incombait de la réchauffer. »

Faut il garder un enfant à 17 ans dans une communauté ou les rapports sexuels en dehors du mariage sont très mals vus et où les rumeurs et qu'en dira t- on priment sur tout le reste et où la crainte du racisme, même dans l'Amérique d'Obama ?

Voilà un des nerfs de l'intrigue du "coeur battant de nos mères", qui de manière plus large encore, va nous montrer les relations d'un triangle amoureux évoluer au fil des années...

Nadia , Aubrey et Luke vont être plongés dans des situations où la raison l'emporte souvent sur le coeur et où les regrets quant aux décisions ou aux non décisions prisent dans le passé ressurgissent sans crier gare...

Comme dans tout grand roman, un simple détail, un infime regard viendra troubler l'ordre établi, et Brit Bennett n'a pas son pareil pour dessiner des portraits d'individus qui semblent si proches de nous, enfouis dans les non dits et les secrets qu'on traine toute sa vie comme un boulet..

Le roman de Benett a aussi la particularité de jeter un regard plutot audacieux et nouveau sur lavortement en associant la douleur bien connue d'une mère à celle moins explicite d'un père..

Cette très belle histoire d'amour et d'amitié, écrite avec une plume élégante et intemporelle (le roman pourrait tout à fait se situer dans les années 60/70 comme on le pense au début), Hollywood n'aura pas manqué de vite la repérer (Warner Bros va bientot l' adapter au cinéma ), comme l'ont fait une grande partie des médias et des libraires français qui l'ont mis en avant depuis sa sortie, mercredi dernier dans les librairies..
Lien : http://www.baz-art.org/archi..
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C'est en Californie, dans une petite communauté protestante et très pratiquante appelée le Cénacle, qu'évoluent les protagonistes du roman.
Ce sont trois adolescents, Nadia, Aubrey et Luke qui découvrent la vie, ses traumatismes et ses plaisirs et qui doivent également apprendre, au fil des ans, à en accepter les conséquences.

Brit Bennett nous propose un modèle un peu trop classique à mon goût. Il y a la fille belle, intelligente et ambitieuse, un peu traumatisée par la perte brutale de sa mère et qui, trop naïve malgré son intelligence, doit subir un avortement. Il y a le beau gosse, pas très dégourdi et pas très subtil dont la carrière de footballeur prometteuse est brisée. Et finalement, il y a la meilleure copine un peu moche et, elle, complètement traumatisée. Ce traumatisme grave, qu'elle n'évoque avec personne, en a fait une fille docile, gentille, vertueuse et très religieuse, une bénédiction pour la communauté.

Les existences de ces trois adolescent vont bien sûr s'emmêler puis se démêler pour s'emmêler encore jusqu'à l'impasse. le communautarisme, la pratique religieuse et son lot d'hypocrisie empêchent ces trois là de démêler leurs histoires, d'avouer leurs secrets, leurs souffrances et leurs amours. Pourtant tout aurait pu être si simple, mais dans ce genre de milieu, ces choses là ne se disent pas… et ce sont trois avenirs possibles à jamais modifiés.

C'est tragique mais c'est la vie, c'est bien écrit mais un peu trop convenu. L'histoire reste agréable à lire mais c'est une petite déception malgré tout.
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Le roman se passe en Californie dans une communauté noire et protestante.
Nadia Turner a 17 ans. Elle vient de perdre sa mère qui s'est suicidée. Elle et son père sont complètement anéantis. Nadia se retrouve sans balises. Elle flirte avec le fils du pasteur, Luke, et se retrouve enceinte. Elle veut avorter pour cacher sa"faute" et poursuivre ses études.
Luke est un peu plus âgé que Nadia. Blessé au foot, il ne pourra plus jouer. Il accepte que Nadia se fasse avorter. On le sent dépassé par la situation et dominé par ses parents.
Aubrey, une jeune fille arrive dans la communauté protestante du père de Luke. Elle devient l'amie de Nadia et devra affronter une vie de femme avec des blessures d'enfance difficiles à surmonter.
Le roman s'étale sur plus ou moins dix ans. Le destin des trois jeunes va les faire se rencontrer de temps à autre.
Luke et surtout Nadia auront bien du mal à oublier ce bébé qui n'est pas né. Nadia en rêve souvent.
Brit Bennett, dont c'est le premier roman , arrive à rendre les personnages très vivants, très crédibles et attachants.
Mon moment préféré va au père de Nadia qui, blessé gravement, va lui raconter son enfance et celle de sa mère. A ce moment, on assiste à la rencontre de deux adultes liés par une grande affection : Nadia et son père.
Un grand roman pour moi, avec une très belle écriture, une traduction vraiment au point.
J'ai pris le temps pour le lire car il en valait vraiment la peine.
Encore une fois, je constate l'importance en bien et en mal que la religion revêt dans les communautés américaines.
"Le coeur battant de nos mères" s'adresse aux débuts de chapitres ou des mères de la communauté prennent la parole pour jeter un regard sur la vie de ces trois jeunes gens et leur entourage immédiat.
On peut aussi dire que la construction du livre n'est pas classique.
J'arrête de lancer des fleurs. On va croire qu'on m'a payé pour promouvoir le livre. :)
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Un agréable moment de lecture ,belle écriture mais le sujet aurait demandé à être plus abouti .Trop survolé à mon goût ,le plus révélateur était qu'il m'a fallu un moment pour savoir si untel était blanc ou noir ? ce qui je pense est pourtant très important en Amérique à cettte époque surtout . de même le sujet de l'avortement trop survolé à mon goût. À surveiller le prochain roman car belle écriture.
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La maternité sous toutes ses formes
*
Un roman lumineux formidable que j'ai dégusté jusqu'à la dernière ligne.
J'ai eu la chance de le recevoir par le biais du Picaboriverbookclub juste avant la "lecture commune" du mois de décembre.
En version originale , le titre est "the Mothers". Ce qui est très parlant et très explicite. La maternité est le fil directeur de cette histoire.
Une fresque américaine qui s'étale sur une décennie. En Californie, près de l'océan. Dans une communauté religieuse noire.
Nous suivons la trajectoire de trois jeunes gens qui se croisent, se séparent, se retrouvent. Qu'est-ce qui les relie? Un secret d'alcôve. Rien que ça.
*
Des mères de cette communauté, ce chœur de femmes, narrent cette histoire si singulière en bribes de ragots, de rumeurs.
Alternés des vies torturées des personnages principaux.
*
Une écriture fine, très sensible, maternelle, féminine et déjà mature pour cette presque-trentenaire (l'auteure). J'en suis restée estomaquée quant aux réflexions pertinentes qu'elle pose : l'amitié, l'ambition professionnelle, l'abandon des rêves d'ado, le deuil.
Et également une ouverture sur la question si actuelle de la religion aux USA : peut-on brider ces jeunes dans une foi parfois étouffante limite puritaine ? Certes, l émancipation, le désir de vivre ailleurs a un prix. Qui peut coûter cher. Cette jeune auteure n'a pas "poussé" cette question dans ses retranchements. Elle l'a effleuré. A nous de nous documenter sur ce problème de société. Tiens, justement, le dernier numéro du très bon magazine America a rédigé un dossier là-dessus.
*
Une très belle histoire douce-amère, triste et poétique que je conseille à toutes les femmes, mères ou non. Un sujet parfaitement maîtrisé .
*
Lu dans le cadre de la LC de décembre du #Picaboriverbookclub
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Titre en VO : 'The Mothers'.
Des mères trop présentes : deux par leur absence obsédante, une par son côté intrusif. Et toutes ces vieilles bigotes, autour, auxquelles rien n'échappe...
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Vu de ma zone urbaine où l'on peut rester relativement anonyme, j'ai eu l'impression de revenir au moins quarante ans en arrière, avec ces histoires croisées de trois jeunes gens appartenant à une communauté religieuse noire.
La couleur de peau reste déterminante, même sous l'ère Obama :
« Les jeunes Blancs intrépides finissaient politiciens ou banquiers, les jeunes Noirs finissaient à la morgue. »
A Oceanside, tout le monde se connaît, s'épie, s'entraide, se juge. Et le pire du pire : tout gravite autour du pasteur, de son épouse et de la religion. Les femmes semblent uniquement occupées par leurs activités de dames patronnesses.
Ce milieu clos et étouffant est assurément trop étroit pour Nadia, adolescente indépendante et brillante.
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Brit Bennett est une jeune auteur afro-américaine que j'ai découverte, admirative, avec 'L'autre moitié de soi'. Son talent se confirme dans ce roman, son premier. Beaucoup de subtilité pour décrire les tourments de l'amitié et de l'amour, mais aussi la jalousie, les relations familiales, la culpabilité, la résilience, la féminité, les choix de vie.
.
L'ambiance m'a rappelé 'Arrive un vagabond' (Robert Goolrick), et la pertinence des réflexions me fait penser au talent de Silvia Avallone (notamment dans 'La vie parfaite') et à la plume délicieuse d'Alison Lurie.
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Des phrases comme celles-ci, j'admire et m'y arrête :
« Maintenant, elle est adulte, du moins elle le pense. Mais elle n'a pas encore appris les mathématiques du chagrin. le poids de ce qui a été perdu pèse toujours plus lourd que ce qui reste. »
.
Beau, poignant, sensible, intelligent.
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Il est certain que les mères sont partout, en particulier celles qui s'affichent en juges des jeunes générations sous couvert de bienséance. Quant à dire que leur coeur est pur ...
En l'occurrence, le mien n'a pas battu d'excitation au fil de ce roman. En le refermant, je m'interroge encore sur ce qu'il veut nous dire.

Au sein d'une paroisse afro-américaine conservatrice, dans le Sud de la Californie, une adolescente de 17 ans, très perturbée par le suicide de sa mère, élevée par un père inconsolable, s'étourdit dans des relations amoureuses et fait une expérience ratée avec le fils du pasteur de sa communauté.
Son départ pour l'Université lui permet de tirer un trait sur la douleur psychologique d'un avortement pourtant assumé et l'hypocrisie de son entourage. Mais ce fait fondateur la rattrapera...

Par sa position de personnage principal dans la narration, le parcours de Nadia stigmatise des faits de société divers : éducation, liberté sexuelle, avortement, inceste, homosexualité, maternité, tromperies conjugales, croyances religieuses, intrusion (travers américain) dans la vie des voisins, sous couvert d'entraide ou d'assistance. Et cette propension très anglo-saxonne à décortiquer sa vie de façon analytique, sur fond de culpabilité.
C'est dire si le message est brouillé!

C'est un livre qui a le défaut de traîner l'intérêt trop longtemps. Quand on le referme, il suscite néanmoins une réflexion sur la trahison et sur l'emprise du passé dans la construction de l'individu.

Je me suis paresseusement ennuyée dans une intrigue assez pâlotte, même si la lecture est aisée.
Un livre qui sera assez vite oublié.

Sélection Roman du Grand Prix des Lectrices de ELLE 2018
Rentrée Littéraire 2017
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En janvier dernier, j'avais beaucoup apprécié le second roman d'une jeune universitaire américaine. J'ai simplement apprécié son premier. Ce constat est d'ailleurs encourageant parce que si Brit Bennett s'améliore ainsi, il ne faudra peut-être pas chercher très loin un futur Prix Pulitzer.
L'intrigue est assez basique et relate, en respectant la chronologie des faits, les trajectoires de trois personnages principaux, un triangle amoureux. La narration se veut originale. En effet, l'histoire de ce trio est racontée par ce que mon ADN philosophique serait tenté de qualifier de grenouilles de bénitiers. le procédé m'a paru un peu lourd à moins que, victime d'un anticléricalisme franchouillard, je sois incapable de voir que ces femmes issues du passé symbolisent en fait les transformations qui s'opèrent dans ce milieu marqué par la religiosité.
Ce maniérisme est véniel parce que l'intérêt de ce roman féministe est ailleurs.
Si je ne suis guère bigot, je soutiens en revanche sans ambages, la cause féministe…à part bien sûr quand elle est relayée par Miss Rousseau. Ah ! mon Renaud, tu manques parfois ! Pour nos deux héroïnes, le combat est pourtant loin d'être gagné. En effet, l'action du roman se déroule dans une communauté afro-américaine et fortement religieuse donc. L'émancipation dans ce contexte particulier s'avère être un sacré chemin de croix, l'église en question fut-elle protestante ! Les thèmes qui sont traités, et avant tout celui de l'avortement, le sont avec pertinence. Brit Bennett ne tombe jamais dans la caricature, l'évolution de ses personnages est minutieusement décrite sans qu'elle n'ait besoin de forcer le trait. Elle se garde de distribuer des bons points ou des bonnets d'âne. Elle évite de se montrer censeur, nous déléguant ce rôle que nous acceptons ou non. Pour ma part, sans soeur, je ne suis rien. Au fil des pages, le lecteur est renvoyé à ses propres doutes. Tour à tour, nous nous identifions à cette mère, cette fille, ce pasteur, cette amie, cet amant et nous en sommes conduits à nous demander « Que ferais-je dans une telle situation ? ».
Il y a beaucoup de finesse et une maturité étonnante chez Brit Bennet et j'attendrai son prochain roman avec impatience.
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