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Le commentaire de Cathy :
Un drôle de personnage interpelle Ingrid dans le métro, l'homme la prévient que certaines personnes vont chercher à prendre contact avec elle et de s'en méfier et de faire très attention. Elle est le centre du pentacle et des hurluberlus lui annoncent, que la résurrection de Cthulhu est proche. La curiosité de la jeune femme est éveillée et ce qu'elle va découvrir est hors du commun. En commençant ma lecture, je ne savais pas du tout à quoi m'attendre et ce roman a été plutôt une bonne surprise pour moi. L'auteur fait beaucoup référence à Lovecraft, mais malheureusement, je n'ai jamais rien lu de lui, mais ma curiosité me donne envie de découvrir son univers. Les quatre sectes que l'auteur nous présente sont toute plus extravagantes les unes que les autres, toutes différentes mais attendent toutes, le messie. J'ai passé un moment de lecture des plus divertissant, le style de l'auteur est très agréable, j'ai juste trouvé quelques longueurs par moments, mais celle-ci, ont été vite oubliée grâce au côté déjanté de l'histoire. Ce roman aura eu la qualité de me donner le sourire à bien des moments et ça fait un bien fou.
Lien : http://lesmilleetunlivreslm...
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Celle qui n'avait pas peur de Cthulhu de Karim Berrouka (ActuSf 2018) est à mettre à part dans la vague des productions néolovrecraftiennes. Car ce n'est pas un pastiche, mais une utilisation originale du Mythe pour nous donner un thriller savoureux, servi par une belle plume dont l'humour n'est pas la moindre des qualités. Ingrid Planck, une petite secrétaire intérimaire, vit des jours paisibles et rend fréquemment visite à son amie Lisa, artiste peintre, qui, une fois par an, délaisse ses travaux alimentaires pour réaliser une grande oeuvre « cosmique ». Ses visions sont mises sous coffre et ne pourront être exposées que 20 ans après le « scellé ». Un puis un jour tout bascule avec la rencontre de Tungdal qui lui explique qu'elle est « le centre du pentacle ». La relation amoureuse se dégrade et Tungdal est mis à la porte, alors qu'elle est contactée par la DGSE. Elle comprend mal ce qui se passe et prend avec beaucoup d'humour l'information selon laquelle son ex-amant a volé un sous-marin nucléaire pour lâcher une bombe dans l'Océan Pacifique. Et puis le film s'accélère ; elle est sollicitée par des groupes bizarroïdes, les sectateurs de Dagon, l'Église Satanique de Satan qui adore Shub-Nigurath, les disciples musiciens d'Azathoth, les fidèles de Yog Sothoth ou encore l'Église Quantique de Jésus-Nyarlathotep. Tous ces mouvements possèdent une fraction du pentacle dont elle serait la centre, et leur réunion réveillera le Grand Cthulhu. Mais tous ne partagent pas la nécessité d'opérer cette « résurrection ».
La chute sera haute en couleur et Ingrid rencontrera Cthulhu qui dégage, malgré son aspect repoussant, un sentiment de sérénité troublant. Et conformément à la théologie de Providence, il n'a rien à faire de la poussière cosmique qu'est l'humanité et partira rejoindre d'autres dimensions.
L'aventure ne serait pas lovecraftienne s'il n'y avait pas le Livre dont l'un des rituels va présider à l'invocation finale. Il s'agit de l'ancêtre du Necronomicon, le Livre des Ruines encore appelé le Livre qui danse. Il a été écrit par un Scribe égyptien dont la statue est au musée du Louvre et qui, après avoir été volé par Tungdal, sera rappelé à la vie pour recopier cette oeuvre disparue.

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Après le complètement barré Club des Punks Contre L'Apocalypse où des keupons défoncés affrontaient la fin du monde et des zombies peu communs, je n'avais qu'une envie : me replonger dans l'esprit farfelu de Karim Berrouka et retrouver sa plume incisive et pleine d'humour. Karim Berrouka c'est le chanteur et parolier de Ludwig von 88, un groupe de punk rock français actif pendant une vingtaine d'années et de retour depuis peu. Et ce qui est certain, c'est qu'on retrouve le côté punk de l'auteur dans ses romans, à la fois dans le style mais aussi dans le côté irrévérencieux des scènes et de ses personnages. Et comme vous le savez, chez le Pugoscope on aime ça, du coup ni une ni deux dès que son troisième roman Celle qui n'avait pas peur de Cthulhu est sorti, j'ai mis mes rangers et je suis allée l'acheter. Avec leurs couvertures hyper soignées et qui attirent l'oeil, les livres de Karim Berrouka chez ActuSF t'obligent à les acheter avant même de savoir de quoi ça parle. Et puis côtes à côtes dans la bibliothèque c'est joli. Pour ce troisième roman, l'auteur continue de s'attaquer à du lourd et nous propose une revisite à sa sauce de Lovecraft et de sa célèbre bestiole verdâtre tentaculaire Cthulhu. On va suivre Ingrid, une jeune femme un peu blasée qui vit à Paris de petits boulots et va se retrouver malgré elle dans un beau bourbier. Un mec étrange va l'aborder dans le métro et lui révéler qu'elle est le centre du pentacle et qu'elle a le pouvoir de sauver l'humanité. Mais Ingrid, ça lui fait une belle jambe et elle va prendre le type pour un illuminé de plus, jusqu'à ce qu'elle se retrouve embarquée par la DGSE qui enquête sur un sous-marin qui aurait potentiellement été volé par son ex, lui aussi un peu bizarre. Dès lors d'autres évènements tous plus dingues les uns que les autres vont s'enchaîner, Ingrid va rencontrer d'autres gens encore plus frappadingues qui vont l'entraîner dans un périple à travers l'Europe pour rencontrer les 5 factions...
Lien : http://pugoscope.fr/2374-cel..
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Un troisième livre du chanteur punk des Ludwig. Livre qui aurais pu s'appeler "A la manière de Lovecraft" on se retrouve catapulter dans un univers parisien au milieu d'une guerre de cultistes pour la résurrection ou non de Cthulhu en fonction de se que pense leur grands anciens respectif, on retrouve ainsi les classique Dagon, Yog-Sothoth, Shub Niggurath, Azathot et Nyarlathothep) dans un affrontement de croyance au milieu de cultistes extrémistes (pléonasmes? oui un peu...). Et Ingrid dans tout ça se retrouve au centre de tout sans avoir trop rien demander...

On retrouve toujours un peu la même trame, un fille qui a rien demander se retrouve catapulter au milieu d'une merde incommensurable et se retrouve à sauver le monde, qu'elle soit fée, punk, ou glandeuse l'héroïne est toujours sur le même moule. et au final le livre aussi, bien que l'écriture soit fluide et le plaisir toujours présent dans une histoire plaisante et somme toute original ou le mythe lovecraftien est revu a la sauce actuel (et un peu anarchiste quand même) la redondance avec les tomes précédent commence à légèrement émousser la découverte et on en attend un petit peu plus que juste un changement d'univers.
On ne peut pas enlever la qualité d'écriture de Karim Berrouka qui réactualise très bien le style ancien du maitre Lovecraft et donne une histoire à ce livre que les autres n'avait pas, mais si le style est originale et bien rendu le fond reste un peu plat et aurais mérité un peu plus pour être une très bonne lecture.
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Dans ce roman on s'attache aux pas d'Ingrid Planck, qui est apparemment la clé permettent de libérer Cthulhu. Rassurez,-vous, ça n'est pas un spoiler, puisque c'est expliqué au premier chapitre. Donc elle peut libérer Cthulhu. Ce qui va pousser les différentes sectes cthuliennes à tenter de l'influencer de plus en plus fortement jusqu'à la révélation finale.
Le bouquin est assez correct dans l'ensemble.
Ingrid est un très chouette personnage féminin qui tente de s'adapter à un environnement parfaitement chaotique. En plus, l'auteur réussit à en faire un personnage absolument non sexualisé. Enfin, je crois : elle n'est pas évoqué sous le prisme de la corporalité ou de la séduction, et est un sacré moteur dans une histoire où ça grenouille dans tous les coins.
Malheureusement, le reste de l'histoire n'est pas à la hauteur de ce personnage principal : son ex-petit ami qui vient la guider sur le chemin de la révélation apparaît comme beaucoup trop malin et trop équipé pour que ça ne déforme pas l'histoire. En plus, les différentes sectes ne sont franchement pas crédibles. Peut-être que l'auteur essaye de montrer par là la nature profondément ridicule du mythe ... Et j'espère vraiment que c'est le cas, parce que j'ai beaucoup de mal à envisager la moindre hypothèse alternative. Malheureusement, si c'est le cas, c'est quand même gênant, parce que je n'ai pas vraiment ri, ni même souri. Et c'est bien ça le pire côté de ce roman qui ressemble à une satire : ça n'est pas foncièrement drôle.
C'est ce qui en fait à mon avis un roman assez peu réussi. D'accord, l'histoire est correcte, mais le manque d'implication des personnages et de l'auteur limitent vraiment la possibilité de s'y intéresser. Et c'est dommage, parce qu'il y avait un vrai potentiel.
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Le chanteur de Ludwig von 88, également écrivain, s'attaque au mythe de Cthulhu et à l'univers de Lovecraft avec son humour bien trempé et son sens de la formule décapante.
L'héroïne, Ingrid, est une jeune Parisienne au chômage, un peu loseuse, qui enchaîne les mecs et les contrats précaires. Jusqu'à ce qu'un jour, les services secrets débarquent chez elle et la questionne sur son dernier ex. A partir de ce moment, elle se fait suivre dans le métro et rencontre des gens un peu louches qui lui expliquent qu'elle est le centre du pentacle qui va permettre la libération de Cthulhu. ça va être l'occasion pour elle de faire connaissance avec le panthéon lovecraftien (dont elle ignorait tout jusqu'à présent) et de cotoyer ses adorateurs. Ainsi quatre sectes vouant un culte aux bestiaires monstrueux lovecraftien l'approchent : l'American Dagon Scuba Diving Society et ses hommes poissons d'Innsmouth ; les Satanistes de l'amour vouant un culte à Shub-Niggurath et à l'amour libre ; sans oublier la DUMF et sa musique dodécacophonique à la gloire d'Azatoth ; les tarés scientifiques misogynes de Jésus Higgs Dieu-Boson Yog-Sothoth. Plus Nyarlathotep qui agit en sous-marin. Ces factions s'affrontent entre ceux qui pensent que Cthulhu doit être réveillé et ceux qui ne le veulent pas et considèrent qu'Ingrid est la clé de tout ça. Elle apprend également que son ex que les services secrets recherchent fait partie d'un de ces groupes et aurait volé un sous-marin nucléaire dans le Pacifique. Problème : elle s'en tape complètement et prend tous ces gens pour de simples illuminés, qu'elle n'accepte d'écouter et de visiter à travers l'Europe que par curiosité.
Ce n'est pas un grand roman mais c'est sympa. C'est très bien écrit et Karim Berrouka a un excellent style et un humour qui fait toujours mouche, et on sent qu'il maîtrise bien Lovecraft. Par contre ça manque quand même un peu de rythme. C'est peut-être fait exprès du fait du je m'en foutisme de l'héroïne et son manque d'implication dans la quête qui lui est confiée, mais ça s'en ressent sur la lecture. Mais ça reste un bon bouquin bien distrayant.
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Nous sommes fin mars en cette année dédiée à HP.Lovecraft et je commence déjà à saturer malgré tout mon amour pour l'oeuvre d'H.P.L et ses créatures monstrueuses. Pourtant, j'ai craqué lors de Livre Paris 2018 pour un énième livre mettant en scène Cthulhu (et je prévois un craquage en octobre pour le prochain livre de Charles Stross dans la série des Laundry Files avec Nyarlathotep en personnage principal). Pourquoi ? Tout simplement parce que je fais confiance à Karim Berrouka depuis le club des punks contre l'apocalypse zombie pour me distraire et me faire rire avec une histoire surprenante et rondement menée.
Celle qui n'avait pas peur de Cthulhu tient toutes ses promesses. Ingrid, trentenaire parisienne entre deux jobs et entre deux bars découvre un jour qu'elle est l'élément clé pour enfin réveiller Cthulhu et peut-être détruire l'humanité. Pour celle qui a tendance à se laisser porter par la vie et qui n'a jamais lu une ligne de Lovecraft, l'affaire est surprenante. Surtout quand cinq factions d'hurluberlus mettent tout en oeuvre pour la convaincre, la séduire, la menacer ou la kidnapper. Et pourquoi une statuette de scribe volée au Louvre a un rôle primordial dans cette histoire ?
Si vous connaissez aussi peu l'oeuvre de Lovecraft qu'Ingrid et que vous n'avez jamais mis les pieds à Paris, ce livre est déjà très réjouissant de drôlerie. Karim Berrouka a un sens inné de la formule. Son « Monjoie ! Saint-Denis ! Fuck the patronat ! » du livre précédent, m'amuse encore. Dans celui-ci, Ingrid a quelques fulgurances linguistiques à rire à gorge déployée dans le métro.
Si en plus, vous êtes fin connaisseur du mythe de Cthulhu ou que vous maîtrisez la géographie parisienne comme votre poche, Celle qui n'avait pas peur de Cthulhu s'avérera encore plus riche et plus drôle. J'ai trouvé la fin en pied de nez particulièrement bien trouvée, même si, Cthulhu, malgré son sommeil profond, est finalement assez bon bougre au réveil.
Lien : https://www.outrelivres.fr/c..
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Après les Punks et les Fées, je me plonge dans ce nouveau Berrouka. Un énième « tribute to Cthulhu » de la littérature SF/Fantasy? Non! Ici, rendez-vous avec un subtil hommage totalement irrévérencieux !
La petite Ingrid est au centre d'une énergie Chtulhesque et son monde s'en voit bouleversé. Hommes louches, comportements étranges, manifestations bizarroïdes, créatures fantasques : tout l'emmène dans une aventure épique où le dilemme ultime est de libérer ou non le majestueux monstre. Sauf qu'elle s'en contrecarre complètement, Ingrid, de ce culte lovrcraftien mais elle est curieuse, terriblement curieuse. Quel bonheur de retrouver la verve de Karim et surtout son humour ! Il s'amuse à truffer ses pages de clins d'oeil et références à cet univers particulier : tant les connaisseurs de H.P. seront ravis de les dénicher, tant les novices pourront y trouver un moyen hilarant d'aborder ce monde complexe. Mais n'oublions pas que Karim aime l'absurde. C'est donc un roman déjanté et délicieusement farfelu qu'il nous propose. Puristes radicalisés ; passez votre chemin, le 36e degré de Berrouka risque de vous froisser. Mais n'oublions pas que Ph'nglui mglw'nafh Cthulhu R'lyeh wgah'nagl fhtagn
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Un roman sympa, qui se lit facilement, sur un ton léger et très drôle. On pourra néanmoins regretter un certain manque de suspense, peut-être en partie dû à la désinvolture de l'héroïne, mais aussi sans doute à la construction de l'histoire en elle-même, assez linéaire et qui manque de quelques rebondissements pour tenir le lecteur en haleine.
On relèvera quelques éclats de génie de la part de l'auteur, qui rendent ce livre si agréable à lire, mais qui se perdent parfois dans des descriptions assez plates.
La lecture reste agréable dans l'ensemble et je suis tout de même curieuse de découvrir d'autres romans de cet auteur !
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Après avoir dévoré le Club des punks contre l'apocalypse zombie et Fées, Weed & Guillotines, je me suis attaquée au dernier roman de Karim Berrouka, qui traite cette fois de l'univers lovecraftien : Cthulhu et tous ses charmants compagnons. Comme je l'avais déjà dit pour ma chronique de la quête onirique de Vellitt Boe, je suis familière de l'univers de Lovecraft grâce aux jeux de société/vidéo, mais je n'ai pas encore lu ses oeuvres (honte à moi, je sais^^). Ce livre peut donc être lu sans avoir lu Lovecraft, mais je pense qu'un minimum de culture sur sa mythologie est nécessaire pour apprécier ce texte à sa juste valeur.

Du jour au lendemain, Ingrid, jeune chômeuse qui n'a rien demandé à personne, se retrouve suivie par différents personnages louches qui lui affirment qu'elle est le centre du pentacle. Comme elle n'a quand même pas grand-chose d'autre à faire (et qu'elle se voit offrir de l'argent et des voyages), elle accepte de suivre les délires des énergumènes qu'elle rencontre pour voir où ça la mène.

Cinq factions et le centre du Pentacle doivent décider si Cthulhu, qui est enfermé dans une prison sous-marine, doit être anéanti ou libéré. Ingrid est la seule à pouvoir valider la décision des factions. On va partir à la découverte de ces groupes particuliers, chacun guidé par une divinité lovecraftienne et chacun pris dans des délires plus incroyables les uns que les autres. Les membres de ce qu'on peut clairement appelé des sectes sont totalement dévoués à leur cause et agissent souvent de façon extrême (ce qui nous fera très souvent sourire, nous lecteurs). Certaines passages lors de la présentation des factions et lors de leurs rituels m'ont parfois paru un peu longuets.

Il doit y avoir eu un énorme travail de recherche de l'auteur pour arriver à décrire aussi bien chaque faction et les règles qui les régissaient. le vocabulaire utilisé sort tout droit du dictionnaire Lovecraft (s'il existait :p ). On y retrouve bien sûr la plume décalée de Karim Berrouka, à la fois teintée d'humour et d'ironie, mais aussi critique face au ridicule de certaines situations. Ici, il s'attaque au concept de la croyance et de la religion, en prenant un culte qui « n'existe pas », mais en soulignant les comportements abusifs et les violences qui découlent des extrêmes.

Aucune des factions ne veut dévoiler à Ingrid ses secrets et beaucoup de mystères planent sur l'histoire. Les informations tombent au compte-goutte, ce qui permet de bien les assimiler, sans s'y noyer. Il y a énormément de retournements de situation plus improbables les uns que les autres. C'est un des points que je préfère quand je lis un livre de Karim Berrouka : on ne sait jamais à quoi s'attendre, et on est toujours surpris !

Le personnage d'Ingrid était un peu trop passif pour que je l'apprécie vraiment. Elle se laissait mener par tout le monde et improvisait sur place. J'ai quand même beaucoup aimé son répondant et ses coups de bluff. Par contre, j'ai beaucoup apprécié Lisa, sa meilleure amie qui part dans son délire créatif, et surtout Thurston, personnage très mystérieux, dont le rôle final m'a totalement étonnée !

Petit mot sur l'objet-livre : la couverture est juste parfaite. Au début de chaque chapitre, on retrouve des dessins de tentacules, placés différemment à chaque fois, ce qui donne de petits traits légers sur la tranche du livre. Un message codé se cacherait-il dans cette succession de lignes plus ou moins longues? (Je crois que je cherche des messages codés partout depuis la fin de ma lecture xD)

Faut-il anéantir ou libérer Cthulhu? le destin de l'humanité est entre les mains de cinq factions dévouées et surtout délirantes. Entre humour et réflexions sur la religion et ses dérives, l'auteur nous propose une immersion dans la mythologie lovecraftienne. Attention, les mystères sont nombreux et la folie guette entre ces pages !
Lien : https://livraisonslitteraire..
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