Comme des larmes sous la pluie

Cinq étoiles pour certains, une pour d'autres, le moins que l'on puisse dire c'est que les avis sur ce roman sont partagés.
Personnellement, je me suis sentie mal à l'aise dans cette énième histoire d'inceste et de séquestration.
Une histoire tirée par les cheveux, des personnages sans envergure des dialogues d'une platitude frisant l'indigence…
Ayant choisi ce roman complètement au hasard, je n'en attendais rien et je n'en ai rien eu !
Et voilà, j'ai craché mon venin… et je n'aime pas ça !

La presse veut nous vendre ce livre comme le futur best seller de cet été, à la fois thriller et roman d'amour en Belgique.
Hélas, pas sur que ce roman ait le succès escompté, car il accumule quand meme pas mal de faiblesses: intrigue trés tirée par les cheveux sur fond de pédophilie (inspirée des histoires de Dutrouc et de la petite Natacha et d'inceste), personnages trés stérotypés et pas crédibles pour un sou et dialogues en toc trés souvent artificiels. Evidemment, l'histoire, plutot rythmée, alterne son lot de rebondissement et du coup peut se litre sans ennui, mais à cause de tous les défauts cités , se lit aussi avec un certain agacement, plombé par une fin (avec une histoire de d'hermaphrodite) qui achève le spetacteur et verse défintivement ce roman vers le grotesque.
Lien : http://www.baz-art.org/archi..

C'est rare que je prenne la décision d'abandonner ma lecture. Malheureusement ça a été le cas avec ce roman. Je n'ai pas accroché du tout: d'abord il y a beaucoup trop de « coïncidences ». Ensuite les événements prennent des allures de plus en plus bizarres au fur et à mesure qu'on avance dans le livre. Nous sommes plongés dans un horrible fait divers (séquestration, inceste, enlèvement d'enfant). Je trouvais cela peut crédible et alors qu'il me restait que 100 pages, j'ai décidé de refermer le livre pour de bon.

Si vous aimez les personnages creux, sans épaisseur et un peu niais, les dialogues sans consistance, les situations peu crédibles et qu'on vous explique en long, en large et en travers les tenants et aboutissants d'une intrigue complètement tirée par les cheveux, comme si vous n'aviez que 2 neurones, et bien jetez-vous sur ce roman !
Sinon, passez votre chemin et lisez un vrai bon bouquin !

Au départ, l'histoire est tirée par les cheveux, les situations sont bourrées de coïncidences, les personnages n'ont aucune envergure et les dialogues sonnent creux, mais allez savoir pourquoi, on tourne les pages sans déplaisir, car l'auteur sait entretenir le mystère. Passé les cent premières pages, le roman verse dans le glauque et le dérangeant, on ne peut se défaire de ce sentiment de malaise grandissant au fur et à mesure de la lecture. Ajoutez à cela un soupçon de chamanisme et une fin grotesque, et vous aurez le sentiment d'avoir perdu votre temps, tout comme moi !

Simon Bersic, un écrivain à succès père d'un adolescent, ne s'est jamais remis de la mort de sa femme. Bien qu'entouré par un couple d'amis Céline et Grégoire, il peine à reconstruire sa vie. Sa rencontre avec Naëlle une jeune femme magnifique et auréolée de mystère va complètement bouleverser sa vie. le passé de Naëlle se révèle en effet, bien trouble, entaché de violence et de cruauté. Dès lors, Simon va tout faire pour épauler la jeune femme quitte à délaisser pour un temps son fils et ses amis...

MON AVIS : Tout avait pourtant pourtant bien commencé, un récit qui accroche dès les premières pages élevé par une construction narrative intéressante :l'histoire est entrecoupée de séquences portées par la voix d'un enfant qui souffle sur le récit une aura mystérieuse. Immédiatement, le lecteur est pris dans les filets de l'auteur et est impatient de s'enfoncer davantage dans les méandres du livre pour connaître les secrets de Naëlle. En outre, l'entrée en scène de " l'autre" ce personnage énigmatique que l'on sent plein de violence et de haine permet au récit de prendre de l'ampleur et de l'épaisseur. Et puis... Tout s'effondre. Je sais, j'aurais dû me méfier et écouter les petits signaux d'alerte qui ont retenti lorsque Véronique Biefnot s'est mise à brosser le portrait de Simon : j'y ai tout de suite vu les traits de Marc Levy (vous l'aurez deviné, je ne suis pas fan). Mais j'avais vraiment envie d'y croire. Mal m'en a pris, dès que le récit s'est concentré sur l'enfance de Naëlle, j'ai ressenti une certaine forme de malaise. Trop d'éléments m'ont fait penser à l'affaire d'Elizabeth Fritzl, cette Autrichienne séquestrée et... La suite sur www.meellylit.com
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Voilà un de ces livres de vacances acheté plus ou moins au hasard dans un supermarché... et dont la lecture m'a donné l'impression de perdre mon temps ! Non pas que le sujet soit inintéressant, au contraire mais tellement mieux a été écrit sur le sujet !
Me vient à l'esprit "Room" d'Emma Donoghue qui est d'une autre trempe.
Ce livre se lit, c'est tout ce que je peux en dire, en peinant et en m'en voulant de m'y être laissée prendre... Les situations sont prévisibles, les clichés font oublier l'horreur des situations et le tout se tient difficilement. Je suis peut-être dure mais plus en colère contre moi que contre ce livre !

J'ai bien aimé mais je mettrais deux bémols ; le premier au niveau de la construction du récit qui est copié sur Camilla Läckeberg avec des interchapitres qui donnent de l'intensité à l'intrigue ; le second sur le dernier quart qui semble être rajouté pour faire du volume et on tombe sur du mélo, ce qui avait été évité jusque là. Sans plus.