Après le chouette Pinocchio cyberpunk dénommé "Origin" je voulais de frotter avec "Sun-Ken Rock" au Boichi des origines, donc c'était le destin qui voulait que je rencontre l'édition deluxe du premier manga japonais de l'auteur coréen. L'édition en surformat cartonné qui regroupe 2 tomes par opus est très classe avec son noir mat et ses illustration badass, des bonus surtout techniques et des mots de l'auteur souvent plein d'émotion… Allez c'est (re)parti !!! ^^
Avec les tomes 23 et 24 on s'approche de l'inéluctable fin, car tout chose a une fin. Fin des Chevaliers de la Table Ronde ou fin des Apôtres de la Cène, faites votre choix… A Pusan, loin des troupes des élites corrompues (pléonasme) et de la mafia Hakuryûkai, Ken Kitano comptait se faire crucifier par les marchands du temps sous le regard amusé de la ploutocratie mondialisée. Mais ses apôtres viennent le rejoindre pour leur péter la gueule !!!
Dans le tome 23, on est dans le shonen nekketsu plus classique tu meurs avec les amis du héros qui se fightent avec les sicaires du méchants et cela aurait été très bien sans la malédiction boobesque. Boichi est tombé dedans quand il était petit…
Dans le tome 24, retournement de situation puisque que Yoshizawa Ryû et Rain demandent chacun à Yumin de le rejoindre pour prendre la tête de la mafia Hakuryûkai. Ken Kitano lui ne demande rien car il a une absolue confiance en Yumin. Donc le Christ et l'Antéchrist se foutent sur la tronche car il ne peut en rester qu'un !
https://www.youtube.com/watch?v=¤££¤26Yoshizawa Ryû13¤££¤
Pour les chroniques complètes des tomes :
https://www.portesdumultivers.fr/sun-ken-rock-tome-23-boichi/
https://www.portesdumultivers.fr/sun-ken-rock-tome-24-boichi/
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Il restera toujours cette philosophie de comptoir qui tend vers la série B, ou les élans sensuels un brin gratuits et pas très finauds, mais Sun-Ken Rock est indéniablement dans un arc final prenant et dans lequel on ne boude pas son plaisir.
Lire la critique sur le site : MangaNews
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