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Critiques filtrées sur 5 étoiles  
J'ai découvert ce roman grâce aux commentaires de Biblioroz et de Duzbo (merci !). Mis dans ma PAL depuis un moment, attendant son tour.... qui ne semblait plus venir. Et puis apparaît la liste du challenge solidaire et ô surprise, l'auteure de ce Secret de Lady Audley y figure ! Voici une bonne occasion de ressortir ce roman. Quelle heureuse découverte ! J'ai beaucoup aimé. J'avoue à ma grande surprise (pour un livre du 19e) avoir trouvé ce roman très moderne, très innovant dans sa construction. Je m'attendais à une histoire d'amour contrariée. Ou un romance teintée de roman social. Dans le genre je me suis plantée, c'est fort ! Rien à voir, surprise totale....
.
J'ai adoré la mise en place du roman qui va nous faire découvrir Lucy Graham, charmante, belle, douée, qui va devenir la jeune épouse d'un baronnet plus âgé. C'est elle la Lady Audley du titre.
Progressivement on va deviner son secret, assez vite même, car la trame du roman n'est pas de savoir quel est ce secret (si un peu quand même !) mais ce qu'il va induire, ses conséquences aussi bien "physiques" que psychologiques.
Le roman est en fait centré sur un personnage masculin, le neveu de Lord Audley, avocat sans envergure, paresseux, occupé à passer le temps jusqu'à ce qu'il doive faire face à la disparition de son ami le plus cher.
.
Le roman va nous permettre de voir l'histoire se mettre en place, les personnages évoluer.... La dimension psychologique est essentielle. Mais c'est aussi un roman publié en feuilleton donc avec des chapitres qui laissent le lecteur sur sa faim !
Une sacrée réussite ce bouquin que j'ai eu du mal à lâcher !
Surprenant qu'il n'ait pas franchi la Manche.... Décidément je me régale avec les auteures anglaises du 19e !
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Quel terrible et honteux secret cache la belle et pétulante Lady Audley ? Pour quelles raisons connues d'elle seule met-elle toute son ingéniosité à éviter de rencontrer certain gentleman ?

Dans ce magnifique roman dans la plus pure tradition du XIXème siècle anglais, la trop peu connue Mary Elizabeth Braddon noue une intrigue proche de ce que les contemporains d'Anthony Trollope et de George Eliot pouvaient considérer comme un "roman policier".

Robert Audley, neveu par alliance de la mystérieuse seconde femme de son baronnet d'oncle, est intrigué par les manières peu naturelles de Lady Audley, d'autant que son meilleur ami a disparu après une visite au château d'Audley. Se déroule alors une narration "jeu de piste" qui entraîne le lecteur de Londres en Essex et jusqu'en Australie par l'imagination.

C'est tout le charme de la campagne et des manoirs anglais qui se déploie sous la plume vive et précise d'une auteure attachée à rendre justice à chacun de ses personnages. Parfaitement construit "Le secret de Lady Audley" saura surprendre le lecteur qui pensera à tort détenir toutes les clés de l'énigme.

Un voyage très plaisant et quel agrément de lire la prose d'une des rares auteures du XIXème siècle. Wilkie Collins en jupons !


Challenge MULTI-DÉFIS 2019
Challenge PAVES 2019
Challenge Notre-Dame-de-Paris
Challenge XIXème siècle
Challenge PLUMES FÉMININES 2019
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Voilà une lecture exquisément victorienne, diantrement gothique et délicieusement aristocratique où le mystère se répand par petites touches et pas uniquement dans le secret de la belle lady dont la véritable identité nous apparait très rapidement.

Les premiers mots nous arrachent de notre fauteuil pour nous propulser immédiatement dans les jardins du château d'Audley, dans le Comté d'Essex. Son arche ancienne surmontée d'une horloge détraquée s'ouvre sur d'imposants rhododendrons, un étang, un vieux puits dissimulé, un verger aux arbres noueux et bien sûr un magnifique manoir tout recouvert de lierre. Des siècles d'existence témoignent de son mélange d'architecture, les nombreuses pièces ayant été rajoutées au fil du temps.
Le calme enveloppe les lieux et seuls les tilleuls bruissent dans le vent.
Ce cadre, majestueusement décrit, m'enchante. Il répond tout à fait à ma fascination des vieilles résidences de l'aristocratie anglaise. Mary Elizabeth Braddon met dans toutes les descriptions de son roman autant de côtés lugubres, sombres ou sinistres que d'aspects paisibles, chatoyants, reposants, selon les circonstances de son récit.

Mais revenons à cette vénérable demeure. Derrière les lourdes portes en chêne foncé, vivent sir Michael Audley, sa fille de dix-huit ans, Alicia, et sa toute récente seconde épouse lady Lucy Audley. Au grand dam d'Alicia, sa très jeune belle-mère subjugue son monde avec son délicieux sourire, son enjouement perpétuel, ses irrésistibles boucles blondes, sa beauté éblouissante. Son père est fou du petit air enfantin de sa nouvelle femme mais Alicia, et même son chien César ne se laissent pas éblouir par cette couche de gracieusetés et voient plus distinctement ce qui se cache derrière cette façade frivole et coquette.

Robert, le cousin d'Alicia n'est pas dupe non plus et découvre très tôt que lady Audley excelle dans l'art de se composer un visage pour charmer son monde, bien armée de sa beauté. Il vient de retrouver George Talboys, un ami d'école, revenu de Sydney où il était parti faire fortune, abandonnant alors sa femme et son bébé. Mais alors qu'ils prennent un café ensemble, un Times qui traîne sur la table révèle le décès de cette femme tant aimée.

Et les mystères, situations et évènements étranges comme la disparition de George à Audley Court même vont s'enchaîner, distillant une atmosphère que l'auteure manie à la perfection pour capter l'attention de son lecteur. Elle laisse planer des ombres de plus en plus noires sur cette disparition.
L'équilibre combinant suspense, psychologie et descriptions se maintient tout du long. Mary Elizabeth Braddon s'attarde avec talent sur les traits de ses personnages. Leurs évolutions sont captivantes. Robert, qu'elle nous présente comme un jeune homme paresseux, apathique, fuyant responsabilités et soucis s'acharne progressivement à démasquer la coupable. Mais il ne faut pas oublier qu'à cette époque l'honneur est une grande dignité dans l'aristocratie et que l'on ne doit pas la salir.
De plus, son oncle lui est cher donc les tourments, doutes et angoisses se multiplient. Comment accepter d'être l'instrument de la ruine d'une personne généreuse et honnête mais aveuglée par l'amour ?

Bien sûr, pour parfaire un bon roman victorien, les évènements à sensation se teintent d'un peu de romance. Alicia s'épuise à tenter d'attirer l'intérêt de son cousin qui s'horrifie de ses gestes brusques, son caractère impétueux nous offre le délice d'échanges verbaux fougueux avec un Robert qui, comme à son habitude, se contente de lever bien haut ses épais sourcils.

Alors, si parfois j'ai bien senti que l'auteure tirait un peu en longueur certaines scènes, ce livre est resté récalcitrant à être posé dans un coin de longues heures durant. Il me fallait continuer à découvrir les moindres détails de tous ces actes cachés, démasquer toutes les vilenies de l'être humain tout en me délectant, encore et encore, de l'élégance de la plume du XIXe. Traversant les saisons, quel régal de plonger dans cet univers de vieux manoirs avec sa cohorte de domestiques qui exécutaient les moindres tâches, servant avec déférence cette aristocratie qui se laissait vivre sans jamais se préoccuper du quotidien.
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Encore une belle découverte grâce au Challenge Solidaire : à l'époque de Jane Austen, le mariage est toujours le seul moyen pour une femme d'exister et c'est ce qui est arrivé à la jeune Lady Audley. Jusque là gouvernante chez un médecin, elle rencontre Charles Audley qui a la bonne idée de tomber amoureux d'elle.
Mais lorsque le neveu de Charles, Robert, et son ami Georges Talboys arrivent, le comportement de la jeune femme est plus qu'étrange ... elle aurait donc des choses à cacher?
Roman précurseur du genre "policier", c'est avec plaisir que je me suis plongée dans l'atmosphère de cette aristocratie si policée, où les bonnes manières et l'apparence comptent tant.
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Lorsque le baron Audley, veuf depuis plusieurs années, rencontre la jeune et ravissante Lucy Graham, nouvellement arrivée comme institutrice chez son médecin, il tombe profondément amoureux d'elle et ne tarde pas à l'épouser, malgré les réticences de sa fille, Alicia. Tout oppose les jeunes femmes : tandis qu'Alicia est impulsive et fière, Lady Audley est douce, discrète et charmeuse avec son époux. En parallèle, le neveu du baron, Robert Audley, avocat à Londres, retrouve un vieil ami : George Talboys revient tout juste d'Australie retrouver sa femme et son fils, qu'il avait laissés trois ans auparavant pour chercher fortune. Mais à son arrivée, Talboys apprend que sa femme Helen vient de mourir. Désespéré et plein de remords, il décide de laisser son fils aux soins de son grand-père. Pour lui changer les idées, Robert Audley lui propose d'aller rencontrer la belle Lady Audley. C'est lors de ce voyage que Talboys disparaît mystérieusement. D'abord vexé que son ami ait quitté le pays sans l'en avertir, Robert Audley finit par croire qu'il a été assassiné… Il décide de mener l'enquête.

Il ne s'agit pas ici d'un roman policier au sens strict du terme puisqu'on soupçonne très vite le noeud de l'intrigue et les personnes impliquées, même si les détails ne seront révélés qu'à la fin. L'auteur utilise pourtant pour nous tenir en haleine un truc désormais bien connu, qui consiste à nous faire savoir que le héros trouve des indices et formule des hypothèses, sans pour autant nous en révéler le contenu… ce qui s'avère très frustrant. La force du récit réside aussi dans l'ambiance mystérieuse qui plane sur le château Audley : un grand manoir presque inoccupé, dont les murs sont mangés par le lierre, des arbres tordus battus par le vent, une grande arche en pierre délimitant l'entrée du domaine, sans compter le voyage de Robert dans la famille Talboys, encore plus sombre et inquiétante… de nombreuses descriptions sont directement issues du genre gothique. Au milieu de cet univers angoissant, Robert Audley détonne par sa nonchalance : il n'a jamais rien fait de sa vie, il est plutôt paresseux, ou flegmatique, comme on voudra. En tout cas, sa nature le pousse plutôt à l'indolence et c'est bien contre son gré qu'il se sent obligé de remuer ciel et terre pour retrouver son ami. Il va donc beaucoup évoluer au cours du roman et prendre progressivement le contrôle de sa vie. Face à lui, sa cousine Alicia, impétueuse, nous attendrit par l'amour sans espoir qu'elle porte à Robert, qui s'exprime notamment par des accès de colère et de jalousie envers sa belle-mère. Car Robert est rapidement fasciné par Lady Audley, sa grande beauté, son charme ravageur, dont il pressent qu'elle cache quelque chose. le titre du roman, à cet égard, est très explicite et ne nous décevra pas ! Lady Audley et Robert, qui nous semblent au début inoffensifs, se révèlent petit à petit les plus féroces dans la bataille qui va se jouer.
Lien : http://passionlectures.wordp..
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Dans l'Angleterre de la fin du XIXe siècle, un baronnet épouse en seconde noce une femme beaucoup plus jeune que lui. On ne connaît ni son âge, ni ses origines. Mais peu importe: elle est si délicieuse avec ses traits qui n'ont rien à envier aux modèles des peintres préraphaélites, son rire cristallin et mélodieux, et c'est un être érudit sorti d'une honorable institution. Avec ses manières gracieuses et son alacrité, la nouvelle châtelaine apporte un vent de fraîcheur dans le domaine d'Audley, au coeur de l'Essex. Puis son chemin croise celui du neveu de son époux, Robert Audley, jeune avocat londonien, taciturne et misogyne, ainsi que celui d'un homme récemment revenu d'Australie. Mais voilà que du jour au lendemain, ce dernier disparaît sans laisser la moindre trace! Commencent alors une recherche harassante ainsi qu'un huis-clos angoissant.


Le Secret de Lady Audley est un roman à clefs doté d'une esthétique gothique prépondérante. J'ai rarement lu un ouvrage abritant une telle profusion de rebondissements. Je ne me suis pas ennuyé un seul instant au cours de ma lecture. D'autre part, le personnage principal n'a rien d'un héros conventionnel: misogyne, égoïste et pareil à un sybarite, Robert pourrait être un précurseur des personnages de romans dits "hard-boiled", qui se développèrent dans les années 1930, et qui mettaient en scène des antihéros antipathiques, à cela près que les actions De Robert reposent sur de nobles intentions. Lorsque je lisais l'ouvrage, une question n'avait de cesse de me tarauder: que va-t-il se passer ? Et pour mon plus grand délice, des mystères demeurés irrésolus au début de l'oeuvre s'éclaircirent plusieurs chapitres après, me donnant l'impression de jouer une partie d'un jeu de piste ou de Cluedo. Lire ce roman, c'est vivre une enquête et ses démarches au jour le jour. Et peu à peu, l'enquête se mue en une véritable traque, en une chasse à l'homme. Cette lecture n'a rien d'une promenade de santé! Avis aux lecteurs les plus téméraires et amateurs d'effroi et de stupeur, ce roman est fait pour vous!


J'ai évoqué l'esthétique gothique du récit. En effet, la diégèse de l'oeuvre se situe dans l'Angleterre, dans la région de l'Essex, dans un château doté de passages secrets et dissimulant un objet fascinant dans une chambre fermée à double tour, mais accessible par une entrée dérobée. Et que dire des jardins, du bois, du village à quelques pas de là, et des histoires au sujet de fantômes? Voilà pourquoi ce roman est si captivant : il règne dans ses pages la sensation d'une menace imminente qui guette le bon moment pour nous frapper de plein fouet, et de ce fait, le lecteur est toujours sur le qui-vive. J'avais d'ailleurs toutes les peines du monde à reposer le livre tant j'étais subjugué et alerte, à l'affût de nouveaux coups de théâtre. Je crois que la romancière a accompli un tour de force avec ce roman: grâce à un style épuré, un art de la litote et du sous-entendu, elle distille en nous des doutes et des conjectures absolument démentielles, tout ce qu'il faut pour vous faire froid dans le dos! Mystères, mensonges, hypocrisie et odieuses machinations rythmeront une lecture que vous achèverez dans la plus grande consternation !
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Robert Audley est un avocat sans cause, flegmatique et oisif. Il se fait un plaisir de retrouver un vieil ami, George Talboys, qui revient d'Australie où il était partit pour y faire fortune. Les deux compères font se retrouver lors d'un séjour dans le vaste domaine d'Audley Court dont l'heureux propriétaire n'est autre que l'oncle de l'avocat, le baronnet Audley, homme riche et heureux époux d'une femme enjôleuse et évaporée. Mais au cours du séjour dont chacun se faisait un plaisir de jouir, George Talboys disparaît subitement dans des conséquences mystérieuse. Notre avocat va mener l'enquête durant laquelle il aura affaire à forte partie.

Présenté comme un roman précurseur du roman policier, le secret de Lady Audley, oeuvre de Mary Elisabeth Braddon, pendant féminin et contemporaine de William Wilkie Collins, est une oeuvre remarquable qui ne comblera cependant pas les amateurs du genre policier (point de policier, ni de détective menant l'enquête) car les épisodes sont assez prévisibles et il n'y a point de rebondissements inattendu à la Agatha Christie (merci la quatrième de couverture). Non, c'est plutôt le charme indéfinissable que partage les meilleurs romans victoriens qui donne tout son prix au présent ouvrage. Un roman de belle facture.
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C'EST QUOI L'HISTOIRE ?
C'est l'histoire d'une étranger disparition : y a-t-il ou n-y a-t-il pas un mort ? Y a-t-il ou n'y a-t-il pas eu un assassinat ?
C'est l'histoire d'une femme au passé trouble et mystérieux, celle de lady Audley.
Les deux faits sont-ils liés ? C'est que va tenter de démêler Robert Audley, homme rentier de 28 ans qui n'a encore rien fait de sa vie, à part des études de droit. Un anti-héros forcé de faire des choix, lui qui n'a jamais voulu s'impliquer dans la vie, qui pensait passer au travers sans la vivre. Mais un anti-héros auquel on s'attache, finalement, parce qu'il est droit, aimant, attentionné et se forcera à prendre des responsabilités.
C'est une histoire de la folie, déclarée ou tapie en chacun de nous, prête à surgir, car "la frontière est si mince qui sépare la raison de la folie et à tous ceux dont l'esprit chancelle de l'autre côté du miroir."
Mais aussi une histoire de l'amour vrai, feint ou passionné, qui peut frapper ou aveugler chacun de nous, ou pas, car " l'amour est une folie, une illusion, un piège, est aussi un mystère que ne peuvent déchiffrer ceux qui n'en subissent pas les tourments."
Notre Robert Audley va n'avoir de cesse de lever le voile sur ce mystère, et il va finir par se demander "comment il avait pu le trouver si triste et neutre."
C'EST QUOI L'INTÉRÊT ?
C'est que c'est bien mieux que Wilkie Collins ou Alexandre Dumas. Oui, j'assume et laissez-moi, c'est mon avis après tout ! :)
Mais je vais vous dire pourquoi :
C'est parce que, même si c'est une histoire genre littérature à sensation, roman policier, suspens, les personnages sont creusés : ils ont chacun une psychologie propre, ils ne sont pas des stéréotypes, ils ont des qualités et des défauts, leurs caractères évoluent tout au long du récit et…
J'ai adoré les petites pointes de féminisme de l'auteure Mary Elizabeth Braddon !

Lien : https://www.amazon.fr/ELFIE-..
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Comme le dit si bien dadotiste, cet ouvrage fait partie de ceux qui, tout en nous abandonnant presque la clé du mystère, parviennent à rester palpitants jusqu'à la dernière page.

La question n'est pas qui ? , mais comment va t'on le découvrir? le prouver?

Les personnages sont très vivant, Robert très attachant, Lady Audley... Dumas aurait pu s'en inspirer pour sa Milady (quoiqu'au vu de la chronologie ce serait plutôt l'inverse)

Tout simplement diabolique....
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Une véritable enquête policière dans l'Angleterre victorienne qui préfigure Agatha Christie avec 65 ans d'avance mais, dans un langage élégant et recherché. Ce secret mériterait bien une adaptation au cinéma : costumes, manoirs anglais, paysages bucoliques et lady ingénue mais sulfureuse, tout y est pour une intrigue originale et captivante...
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