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4,09

sur 634 notes

Critiques filtrées sur 5 étoiles  
Comme j'avais lu les 4 filles et un jean étant ado, j'étais assez curieuse par ce tome 10 ans après. Et ... je n'ai pas été déçue ! On retrouve la même plume et les mêmes héroïnes mais avec plus de maturité. Un bel hommage à l'amitié, un bon moment de détente, parfaite lecture d'été en somme.
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Je n'ai pas pu résister et j'ai sauté dessus. Avis à celles qui veulent garder la belle image non écornée des quatre amies de leur enfance, ne lisez pas ce livre. C'est vrai, ce n'est pas juste une petite aventure de plus que l'auteur nous livre ici, pas juste une petite promenade de santé.
Chaque fille sera confrontée à la mort, à un choc qui rappelle tout à fait ce que nous vivons, nous, dans notre vie. Ce tome les rapproche singulièrement de la réalité (j'aimais beaucoup les premiers tomes, mais je ne m'identifiais pas forcément à leurs réactions et à ce qu'elles vivaient) et là, même si nous ne nous identifions pas à tous leurs comportements (chacun gère la peine à sa façon), nous pouvons comprendre ce qu'elles font.
C'est vraiment un livre qui permet une riche introspection car, justement, il est sans jugement moralisateur ou sans grosse prise de tête sur "qu'est-ce que les autres pensent de moi". Les filles du livre on ce dont-ci, elles peuvent vivre pour elles-mêmes.
Ce nouveau tome est vraiment indispensable pour ceux qui veulent aller plus loin dans l'aventure et quelque part plus loin avec soi. Moi en tout cas il m'a permis de me construire un peu et je trouve ça beau que ça soit possible à mon âge, de changer encore grâce à un livre, même si ce n'est pas le plus intellectuel du lot, ou un grand classique, ce genre de lecture, ça fait du bien.
Comme de retourner en vacances là où on a passé tout ses étés...
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Suite à un évènement tragique, le petit groupe, dont l'amitié s'était distendue, éclate. Elles ne comprennent pas comment elles ont pu rester aussi passives face à ce qu'il se tramait, et remettent en question jusqu'à leur passé. Ce cinquième tome est plus mature que les précédents, l'auteur nous montrant ses héroïnes sous une nouvelle facette. Elles traversent, chacune à leur rythme les cinq étapes du chagrin que sont le déni, la colère, la négociation, la dépression et l'acceptation.
Leur évolution dans ce livre se fait donc en solitaire, chacune essayant à sa façon d'affronter le drame.

J'ai bien aimé retrouver la Lena qui ‘'sait être sérieuse… mais oublier un peu de l'être, ça, elle ne sait pas.''. Ayant un instinct protecteur, elle a toujours soutenu les trois autres filles dans toutes les épreuves, mais cette fois-ci, débordée, elle ne pourra rien faire. Elle est trop réfléchi et un peu lâche puisqu'elle préfère attendre que la situation s'arrange par elle-même, mais forcée par Tibby, elle tentera de saisir sa chance, afin de pouvoir dire ‘'au moins, j'ai essayé ‘'.

J'ai aussi apprécié de suivre à nouveau Bridget, toujours aussi énergique, ‘'libre comme l'air''. Face au drame, elle ressent le besoin de partir avant d'étouffer, afin de mieux se retrouver. Cette tragédie va la confronter au propre drame de son enfance, c'est pourquoi Tibby lui écrit ‘'Je pense que, de nous quatre, c'est pour toi que c'est le plus dur. J'aimerais pouvoir adoucir ta peine. ‘'

J'ai été déçu par Carmen, devenue une actrice complètement superficielle sous l'emprise totale d'un fiancé qui lui dicte sa pensée et lui fait jusqu'à renier qui elle est. Sa propre description est très juste : ‘'Je reconnais que moi, Carmen, j'ai un caractère de petite dernière typique. Je suis d'un égoïsme sans borne quand je m'y mets.''. Carmen a toujours été le petit bébé capricieux de la bande, mais la trentaine approchant, on l'aurait espéré plus adulte. La question existentielle qu'elle se pose durant tout le long est : ‘'Que faisaient donc les gens avant l'invention des portables ?''. Juste Ciel, ils pensaient !

Mais, c'est sans aucun doute Tibby qui m'a le plus ému. Alors que dans les autres tomes, j'avais moins accroché à ce personnage, dans celui-ci, on s'aperçoit que c'est elle qui a le plus muri, par la force des choses, et qui permet aux autres de grandir. Par ses mots, elles tentent de leur montrer la voie de la guérison. Elle ‘'apporte sa sagesse'' sur la vie, ce qui va permettre aux trois autres ‘'filles de septembre'' de mûrir.

J'ai retrouvé l'écriture d'Ann Brashares avec beaucoup de plaisir, dont on a l'impression qu'elle change en même temps que les points de vue. Malgré le sujet de base tragique, elle arrive habilement à placer des notes d'humours, ce qui rend le roman fluide. J'ai par ailleurs trouvé que le thème était traité avec beaucoup de justesse, elle parle aussi bien de la mort comme de la naissance, et encore et toujours de l'amitié et de l'amour.

En bref, j'ai adoré, non, dévoré ce livre, à la hauteur des quatre autres !
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Je viens tout juste de le terminer, alors forcément, je suis encore entièrement dans le livre. Pour tout dire, je m'attendais à quelque chose comme ça alors je n'ai pas vraiment été choquée des évènements que j'ai découvert dans ce dernier tome. Cela dit, ça ne veut pas dire que Quatre filles et un jean pour toujours m'a laissé de marbre, au contraire ! Il m'a réellement émue et je dois dire que comme beaucoup, j'ai moi aussi laissé échapper quelques larmes...



Comme je le disais plus haut, je n'ai pas vraiment été surprise de ce qu'il se passait dans ce tome. Et puis, il faut bien dire qu'Ananas l'ayant commencé avant moi à laissé échapper une petite phrase qui m'a entièrement confirmé mes suppositions. Et je dois dire que j'avais raison sur toute la ligne (ou presque ! Pour Tibby, je n'avais pas imaginé que ce puisse être les deux à la fois...).

Et il faut croire que depuis le temps, je connais parfaitement les quatre demoiselles. Ce n'est pas qu'elles sont prévisibles, c'est juste que j'aurais pu parier qu'elles réagiraient comme ça. Un peu comme si elles étaient des amies de longue date... (d'un autre côté, c'est un peu ça aussi, non ?).

Sans compter que la conclusion est vraiment très belle, mais surtout très émouvante !



En parlant d'elles, j'ai vraiment beaucoup apprécier les retrouver. L'eau à coulé sous les ponts depuis qu'on les a quitté, elles ont grandit, mais au fond, elles restent les mêmes.

Je dois dire que j'ai été plus qu'heureuse de retrouver les figures masculines des tomes précédents ! J'avais un peu peur de ne pas pouvoir savoir ce qu'ils étaient devenus eux aussi...



Encore une fois, Ann Brashares m'a séduite, m'a fait rire et surtout m'a fait pleurer. J'ai une vraie valeur sentimentale pour cette série et je suis vraiment très heureuse que ce grand final soit dans cette lignée. C'est juste parfait !

A lire :)
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J'avais un peu peur de lire ce cinquième tome car j'avais beaucoup aimé les quatre premiers tomes de cette saga et comme l'auteure a écrit ce tome beaucoup plus tard, j'avais peur de ne pas retrouver ce que j'aimais dans cette saga mais finalement, j'ai adoré ma lecture.

Dur de décrire ce livre car tout le récit est dû à un fait que je ne peux dire car ça serait un gros spoiler et surtout gâcher la surprise. On m'a dit de prévoir les mouchoirs pour ce livre mais je n'en ai pas eu besoin, mais ça fait quand même un choc quand on lit ce livre…

On retrouve les quatre filles dix ans plus tard, donc elles ont la trentaine. Elles ont chacune leur vie, leur métier, elles ne se parlent presque plus, surtout que Tibby est partie vivre en Australie et qu'elle donne très peu de nouvelles d'elle. Mais voilà, Tibby va organiser un voyage en Grèce pour toutes les quatre mais tout ne va pas se passer comme prévu.

Ce tome est une fin merveilleuse, je suis très contente que l'auteure ait décidé de l'écrire. Ceux qui pensent qu'elle veut juste se faire des sous en plus c'est totalement faux car c'est merveilleux de retrouver les filles. le style de l'auteure est toujours plaisant à lire, ça se lit très rapidement, c'est très prenant et c'est toujours un plaisir de partager la vie des filles.
Dans ce tome, le plus qui m'a touché c'est Bridget, je pense que beaucoup de monde ont été touché par ce qui lui arrive et quand on pense qu'elle est au plus bas, elle arrive à avoir le courage à relever la pente. Carmen m'a un peu déçue, elle, qui vivait qu'à travers les filles, là, elle vit que pour son métier et son Iphone, heureusement son voyage dans le train va rattraper. Lena est toujours la même, peu sur d'elle, elle ne fait pas d'effort… Elle attend encore et encore. Quand à Tibby, c'est une fille géniale et on sent qu'elle est devenue une adulte et surtout c'est le pilier du groupe.

En conclusion, on a les réponses à nos questions qu'on avait à la fin du quatrième tome, je trouve que l'auteure a eu une excellente idée d'écrire ce dernier tome. C'est une saga jeunesse à découvrir, tant que pour les adolescents mais aussi pour les adultes même si les premiers tomes sont plus jeunesse, ce dernier tome est plus mûr et très bouleversant. Une amitié qui peut surmonter toutes les épreuves inimaginables.
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J'avoue que j'étais un peu sceptique à l'idée de lire ce tome. D'ailleurs quand ma meilleure amie et moi étions en grande conversation de livres (une de nos passions communes) et qu'elle m'avait dit : « Tu savais que Ann Brashares avait écrit une suite à la série Quatre filles et un jean ?
J'avais répondu :
« Non, je savais pas. C'est quoi précisément ?
-Eh ben, dans ce tome, nos quatre héroïnes sont adultes, elles ont dix ans de plus ! J'ai vraiment envie de le lire !!!
-Ah ouais bof.
-Bah pourquoi ?
-Je vois pas trop l'intérêt de faire un livre quand elles sont plus grandes. Les quatre tomes, moi ça me suffisait largement. J'ai peur que ça gâche cette merveilleuse série.
-Ah d'accord. »

Mais, il y a quelques jours, ce livre m'attendait sagement au pied de mon sapin. Ne croyez pas que j'étais déçue quand j'ai ouvert mon paquet ! Au contraire, c'était une belle surprise, qu'il est malin ce père Noël ! Et puis, j'allais pouvoir me faire mon propre avis sur ce livre.

C'est donc, certes anxieuse mais joyeuse, que je commence ce livre.
Et là, surprise ! Je m'attendais à tout sauf à ça. Et c'est ce « ça » qui m'a accroché au livre. Se retrouver plongé dès les premiers chapitres dans le malheur que vivent nos chères héroïnes m'a tellement émue que je ne pouvais pas faire autrement que de continuer ce livre !
Mais je m'attendais à quoi précisément en fait ? Je sais pas, peut être juste de voir ce qu'elles étaient devenues, comment elles vivaient et c'est tout. J'ai trop sous estimé l'auteur et je m'en veux.

J'avoue que ce livre m'a arraché une larme. C'est un comble ! Moi, qui même émue, ne verse aucune larme, ce livre a réussi un véritable exploit !
Ce qui m'a fait pleurer dans ce livre, c'est le fait que l'on se centre sur comment les filles survivent à ce bouleversement et pas sur le drame en lui même et que justement cet événement représente un mystère ! Car dans d'autres livres que j'ai beaucoup aimé aussi (comme Divergente ou Nos Étoiles contraires), le drame est semblable mais, pour moi, on se concentre moins sur ce qui arrive aux personnages après que dans Quatre filles et un jean pour toujours !

J'ai beaucoup aimé que ce livre soit aussi fidèle aux autres tomes que ça. Je m'explique : malgré les années passées on reconnaît tout à fait les caractères de nos amies et en même temps, on remarque qu'elles ont grandi et mûri. Et ça, c'est fort !

Bref, je regrette mes préjugés sur ce livre que j'ai adoré ! Merci Ann Brashares pour ce moment délicieux !
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Les quatre filles et leur jean magique ont bercé mon adolescence, car oui je les ai lus à l'âge des protagonistes. Presque 10 ans après, comme dans le livre, me voilà avec cette suite dans les mains, m'attendant à une lecture sucrée d'amour et d'amitié en tout genre, de bons sentiments presque rédhibitoires.

Et bien je me suis prise une grande claque. Ann Brashares a osé l'inimaginable pour moi en brisant définitivement le groupe. La mort est une chose implacable et les filles vont y être confrontées de plein fouet. Alors bien sûr j'ai souffert avec elles de l'absence, je les ai maudites de s'éloigner quand elles avaient besoin plus que tout de rester soudées. J'ai compris certains de leurs choix, d'autres non, mais avec toutes ces filles différentes chaque lectrice a de quoi s'identifier. Les réalités de la vie sont souvent cruelles et Ann Brashares a décidé de ne pas épargner ses personnages pour le plus grand bonheur des lecteurs.

Son écriture est plus mature, tout comme ses personnages et son lectorat. Les sujets, aussi, ont évolués. Ce tome est épais. Mais je pense que cette quantité est nécessaire aux filles et aux femmes qui ont suivi les péripéties de Lena, Tibby, Bridget et Carmen pour leur dire au revoir et les laisser s'en aller. Ce tome conclu la série de façon émouvante et magistrale.
Lien : http://boumabib.fr/2013/03/3..
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Ce cinquième et dernier tome est sorti de nombreuses années après le quatrième, de façon assez inattendue. Entre les deux, une ellipse narrative de dix ans pour les quatre héroïnes. Nous les quittions alors qu'elles avaient 19 ans, nous les retrouvons à l'aube de leur 30 ans.
Je crois que j'ai bien fait d'attendre autant d'années (6 ans) pour découvrir ce dernier opus car mon âge coïncide un peu plus avec celui des quatre filles, c'est donc plus facile de s'identifier (ce que j'avais eu un peu de mal à faire dans le tome 4, par exemple). Et j'ai été très émue.

Les quatre amies ont bien grandi mais elles se sont un peu perdues de vue au fil des années. le téléphone et les mails sont là pour tenter de minimiser un petit peu la distance mais chacune a une vie bien remplie (ou pas) et les contacts s'estompent. Malgré tout, la promesse de retrouvailles organisées par Tibby les enthousiasment toutes ; c'est donc avec beaucoup de plaisir qu'elles s'envolent pour quelques jours de vacances en Grèce. Sur place, un drame les touche de plein fouet.
Après la joie de la réunion c'est la stupéfaction qui, à nouveau, les sépare. Chacune va vivre différemment la douleur de la perte et le deuil, chacune de son côté… mais l'amitié reprendra le dessus et leur permettra de dépasser la souffrance pour réapprendre à vivre et à aimer.

Ann Brashares utilise le même principe narratif que dans les tomes précédents. Chacune des quatre filles est traitée, d'un point de vue externe, selon l'alternance des chapitres. Aucune des quatre ne prend vraiment le dessus, toutes ont leur place et les lecteurs peuvent s'attacher à chacune d'entre elles. J'avais mes préférées dans les tomes précédents mais cette fois, je suis bien incapable de les départager. Toutes m'ont beaucoup émue et m'ont surprise à plusieurs reprises.
Lena est peut-être celle qui m'a un peu « déçue » : j'ai eu un peu de mal à accepter son apathie, son enlisement dans une vie fade et déprimante dont Kostos reste le fantôme inaccessible. J'avais envie de la secouer pour qu'elle ouvre les yeux et prenne enfin sa vie en main. Au contraire, Carmen, Tibby et Bridget ont su me surprendre positivement. Carmen semble avoir tout pour être heureuse : la célébrité, l'argent, l'amour, le confort… et pourtant ! Elle sait se remettre en question et attraper sa chance quand elle passe. Tibby a suivi son grand amour en Australie où ils ont construit une vie simple mais non dénuée de malheurs. Bridget m'a fait beaucoup de peine, la jolie blonde sportive semble tellement perdue et au bout de ses forces dans ce tome…

Vous l'aurez compris, beaucoup d'épreuves attendent les quatre filles (et les lecteurs) dans ce cinquième et dernier tome. Sortez les mouchoirs parce que l'autrice n'épargne rien à personne. le rebondissement en Grèce m'a laissée pantoise, je ne m'y attendais pas. Pas plus qu'à la suite des événements.
J'ai envie de faire le parallèle avec le livre (et l'adaptation) PS : I love you (écrit par Cecelia Ahern) qui, bien que complètement dramatique, nous laisse sur une impression positive. Comme toutes ces oeuvres « doudou » qui nous font du bien, malgré tout. C'est dur, terriblement émouvant, pas très drôle mais souvent très tendre.

C'est étrange de devoir dire au revoir à ces quatre filles que j'ai eu l'impression de voir grandir au fil des années. Elles sont devenues comme des amies auxquelles je m'étais beaucoup attachée. Les voir souffrir, pleurer, rire, aimer, évoluer… c'est un peu comme ci je le vivais moi aussi. C'est donc avec énormément d'émotions que j'ai découvert le dernier volet de leurs aventures et avec encore plus d'émotions que j'ai tourné la dernière page.
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10 ans, après leur dernier été avec le jean magique, on retrouve avec plaisir Carmen, Lena, Bee et Tibby.
En quelques pages, on a l'impression de ne jamais les avoir quittées. On apprend avec plaisir que les quatre amies ne se sont jamais perdues de vue, que leur amitié est toujours aussi importante dans leur vie.
Tout juste si, depuis deux ans, Tiby, partie en Australie, donne moins de nouvelles.

Mais justement Tiby propose à ses amies de se retrouver en Grèce. Toutes sont heureuses de cette rencontre, elles sentent qu'il est important de resserrer les liens.

On les suit dans leur voyage et on anticipe avec elle le plaisir de cette rencontre. Mais ce séjour ne se passe pas comme nos héroïnes et le lecteur l'espéraient et tout bascule dans le désespoir.




On ne s'attend pas à ce qui va se passer en Grèce. Pour les amies, comme pour le lecteur, c'est un choc.
Comme les héroïnes qui ne croient plus en leur amitié, on pense à arrêter la lecture mais c'est impossible, on est accroché et on ne peut plus quitter le livre. On assiste impuissant au chagrin des jeunes femmes et on partage leur détresse et leur colère.

Puis Ann Brashares réussi à reprendre ses personnages et le lecteur pour les amener à une fin pleine d'espoir. Et après avoir regretté d'avoir ouvert ce livre, on se surprend à espérer un sixième tome.

Un roman très très émouvant, ne l'ouvrez pas sans avoir préparé vos mouchoirs.
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J'ai tout simplement dévoré cette série ! C'est tellement bien écrit !
Donc j'étais surexcitée de lire le dernier tome, en me demandant ce que l'avenir allait réserver aux "filles de septembre" !
Mais d'abord replantons le décor :
Lena, Bridget, Tibby et Carmen se connaissent depuis leur naissance (leurs mères étaient inscrites au même cours de gym pour femmes enceintes). Elles ont grandi et tout traversé ensemble. Et puis un jour, la veille de la première fois où elles se séparaient, elles découvrent qu'un des jeans de Carmen leur allait comme un gant à toutes les 4 ! Et c'est ainsi que commença la tradition du jean magique !
Nous avions quitté Len, Bee, Tibbou et Carma en Grèce, parties à la recherche du jean magique perdu par Effie, la soeur de Léna. Elles étaient heureuses d'enfin se retrouver mais tristes d'avoir perdu LE jean magique.
On retrouve donc les filles de septembre 10 ans plus tard, alors qu'elles vont sur leurs 30 ans (rappelons qu'elles sont toutes les quatres nées à 17 jours d'intervalle).
Elles sont toujours aussi inséparables, quoique un peu plus distantes qu'à l'ordinaire à cause de leurs vies très différentes et de la distance qui les séparent (Tibby vivant en Australie, ça ne facilite pas les choses !).
Nous retrouvons donc Lenny, Carma, Bee et Tibbs dans un 5eme et ultime tome aussi mouvementé que les précédents : Bee file toujours le parfait amour avec Eric et enchaîne les petits boulots, Carmen enchaîne les auditions (ou entretiens comme elle dit !), Lena a obtenu un poste de prof dans un atelier tout en continuant à peindre (ses pieds la plupart du temps certes, mais peindre quand même !) Et Tibby s'est installée avec Brian en Australie.
Mais "les filles de septembre" se manquent cruellement ! Tibby a alors l'idée qu'elles se retrouvent toutes en Grèce, sur l'île des grands parents de Léna. Elles sont toutes surexcitées à l'idée de se revoir ! Mais pourtant, un drame changera leurs vies à jamais ...
Dès leur arrivée (ou plutôt dès l'arrivée de la police) j'ai commencé à me mettre en colère après l'auteure : comment avait-elle pu faire ça ? Organiser cette tragédie ? (Je vais faire très attention à ne pas basculer dans le monde du spoil mais je ne promets rien !)
Et puis au fur et à mesure des pages, j'ai compris ! Ce drame allait les rapprocher (bien que je sois restée persuadée du contraire jusqu'au deux tiers du livre !). Elles cherchent chacune de leur côté leur part de vérité cherchent à comprendre comment elles avaient pu en arriver là, tout en essayant de continuer un train de vie à peu près normal. Lena tourne en rond dans son atelier, régulièrement en contact avec Kostos. Carmen, prête à se marier, remet tout en cause, jusqu'à sa carrière même ! Bridget, quand à elle, qui filait le parfait amour avec Eric a soudainement envie de bouger, de se retrouver.
Et puis j'ai adoré la fin ! Pouvoir toutes se retrouver quand elles veulent, avoir leur propre définition de "la maison", sentiment perdu depuis qu'elles étaient parties à la fac. Elles, mais aussi leurs nouvelles familles ! Forcément il en manquera toujours une, mais la vie est souvent capricieuse, elle ne fait pas souvent ce qu'on aimerait quelle fasse !
Je tires encore une fois mon chapeau à Ann Brashares, qui encore une fois a réussi à me tirer une larme !
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