La Petite Ritournelle de l'horreur

"La petite ritournelle de l'horreur" est le deuxième livre que je lis de cette auteure: Cécile CABANAC. Tout comme "Le chaos dans nos veines", j'ai apprécié la prose de l'autrice où chaque chapitre, ici, est dédié à un personnage. Ainsi, nous pouvons retrouver, au cours des 522 pages (au format Pocket): Pio ACHENZA (qui découvre des corps emmurés dans une ancienne bâtisse), la commandant Virignie SEVRAN, le lieutenant DOMBARD (qui mènent l'enquête) mais aussi d'autres protagonistes tous en lien avec la vieille demeure...
Ainsi, les chapitres s'entremêlent parfaitement pour nous tenir en haleine jusqu'à la dernière phrase, le dernier mot!
Livre addictif, je recommande.

Quel bouquin... Mais quel bouquin !!! 😱

Je viens de terminer cette petite pépite, une larme au coin des yeux (ceux qui l'ont lu comprendront 😭).
3e tome avec Sevran et Biolet, la petite ritournelle n'est pas prête de me lâcher... Je l'ai savouré, partagée entre l'envie d'en finir pour avoir le fin mot de l'histoire et l'envie que ça ne se finisse pas.

J'ai le coeur plutôt bien accroché, mais cette histoire d'enfants emmurés... Pfiou.
C'est diablement bien écrit, avec un style qui donne envie d'y revenir sans cesse.
Beaucoup de protagonistes. Tous intéressants, parfois énervants (hein Maria) ou attendrissants (Biolet se découvrant un nouveau rôle). Mais tous ont eu un rôle à part entière qui m'a plu d'une manière ou d'une autre.
Et cerise sur le gâteau (ou saucisse sur la choucroute, c'est comme tu veux !), je n'ai rien vu venir ! C'était trop gros. Tellement que je me suis convaincue que j'avais tort. Et pourtant, j'ai été surprise. Cette fin, je n'étais clairement pas prête 😭

Amis du polar bonsoir !

Si vous aimez les histoires sombres et tortueuses alors ce polar de @cecile.cabanac est pour vous.

Dès les premières pages le décor est posé, des corps d'enfants retrouvés dans un mur d'une maison en rénovation…

Tout est dit, et pourtant tout reste à comprendre… Que font ils là, qui a perpétré cette horreur…?

Ce roman polyphonique, où chaque chapitre est narré par un personnage du récit différents lui donne un rythme soutenu qui nous emporte dans notre lecture !

Happer dans cette enquête on ne peut plus lâcher les personnages, on tisse des hypothèses qui tombent à l'eau, on pense détenir le fin mot de l'histoire mais jusqu'au dernier chapitre l'écrivaine arrive à nous tenir en haleine !

Dès les premières pages le décor est posé, des corps d'enfants retrouvés dans un mur d'une maison en rénovation…

Tout est dit, et pourtant tout reste à comprendre… Que font ils là, qui a perpétré cette horreur…?

Ce roman polyphonique, où chaque chapitre est narré par un personnage du récit différents lui donne un rythme soutenu qui nous emporte dans notre lecture !

Happer dans cette enquête on ne peut plus lâcher les personnages, on tisse des hypothèses qui tombent à l'eau, on pense détenir le fin mot de l'histoire mais jusqu'au dernier chapitre l'écrivaine arrive à nous tenir en haleine !

C'est mon dernier livre 2023 et c'est un grand coup de coeur. La petite ritournelle de l'horreur de Cécile Cabanac était dans mes livres à lire depuis longtemps et régulièrement conseillé par ma libraire préférée. Je l'avais inscrit dans mes dernières présentations de mon calendrier de l'avent consacré aux Les Louves du Polar.
Assurément on ne peut pas être déçu par ces 476 pages qui nous plongent avec roublardise, perversité, parfois violence et toujours intelligence dans les antres de l'horreur macabre qui touche à l'assassinat d'enfants délaissés. Trois corps de jeunes enfants sont découverts dans les murs d'une maison dont le nouveau propriétaire s'attache aux travaux de rénovation afin d'y reloger sa famille nombreuse (3 enfants et un à naître). On est rapidement orienté dans l'enquête sur l'historique de la propriété acquise à vil prix et celle des enfants suppliciés, vers le placement d'enfants par l' ASE dans une famille d'accueil.
L'histoire très complexe, finement orchestrée, aux ramifications nombreuses et profondes, nous fait explorer tous les méandres de la société que l'on cache ; celle des démunis, de la pauvreté affective et sociale, celle des sans amour, sans protection, celle des vulnérables. Elle dénonce également cette administration organisée pour protéger l'enfance abîmée qui pointe aux abonnés absents, motivée par les lâchetés ordinaires de l'incompétence de l'irresponsabilité et du sacro-saint manque de « moyens ». Pas de vagues au sein de l'administration et cachons bien ces « ignobles » qu'on ne saurait voir. de lâchetés en abandons, ce sont les trajectoires d'enfants sacrifiés, martyrisés sur l'hôtel des pathologies psychiatriques et de notre paix sociale dont il est question.
Il faut s'accrocher dans cette lecture clinique de toutes les dérives, humaines, émotionnelles, administratives et sociales. On est étouffés par les découvertes toutes plus affreuses les unes que les autres, par les profils des personnages. On s'interroge sur l'intérêt de les sauver. L'enquête est tortueuse, stressante, pleine d'obstacles et d'impuissances. On atteint des sommets de frustration et de colère.
Seule la lumière, l'engagement et la détermination des enquêteurs (des vrais Héros) nous poussent à aller jusqu'au bout. Virginie Sevran, Biolet, Dombard et les autres vont tout donner pour comprendre et restituer la vérité sur la disparition de ces enfants.
Ce livre est particulièrement remarquable dans l'écriture, dans la construction (et dire que l'auteure ne fait pas de plan quand elle écrit !!! Chaque court chapitre porte le nom d'un personnage). Aucun temps mort, aucun temps de repos, on finit épuisés. Ce livre relève de la lecture « traumatique » , on en sort fortement ébranlé, bouleversé, marqué.
Attention aux âmes sensibles.

Une maison, relativement isolée. Une maison familiale, une maison de l'horreur quand est découvert le cadavre d'une jeune fille derrière un mur.
Qui est elle ? Qui a pu lui faire subir de tels horreurs ?
Malheureusement pour Sevran et son équipe, le cauchemar ne fait que commencer !

Quel plaisir de retrouver Sevran et son équipe.
C'est glauque, c'est noir, c'est dur, c'est un livre qui est impossible à lâcher.
Une tension palapble à chaque page.
Une tristesse immense ce dégage de ce roman.
On ce demande bien qui peut avoir commis de tels actes, mais aussi et surtout pourquoi ?! Comment des humains sont ils capable d'autant d'atrocités !
Quand au dénouement... magistral.

Un véritable coup de coeur. Merci Cécile Cabanac pour ce magnifique moment de lecture.

Qu'y à t il de pire que l'enfer ? Cette maison ...Pio , père de famille de trois enfants et en attente d'un quatrième , a acheté cette maison pour y loger toute sa famille. Lors de travaux et la suppression d'une cloison, il y découvre un cadavre d'enfant . La police prévenue en retrouve deux autres . La PJ de Versailles est sur une affaire atroce , la commandant Sevran va plonger dans l'enfer de Dante avec son équipe. Une petite ritournelle ???

Roman extrêmement bien ficelé du début à la presque fin. 😔

J'ai aimé le fait que l'auteure tisse sa toile tout le long du récit. Cette ambiance lourde et sale qu'elle a réussi à instaurer m'a mise extrêmement mal à l'aise mais c'était prenant et sans temps morts. 🧒👧🧑

Que c'est plaisant d'avoir une équipe de police à peu près équilibré et une chef d'équipe qui ne soit ni alcoolique, ni violente, ni droguée. 👮👮👮🚓🚔🚔

Sujet très dur concernant les enfants, j'ai eu parfois du mal mais à chaque page on a vraiment envie de savoir.

Les sévices infligés sur ces enfants placés, la cruauté,la noirceur ainsi que les personnalités des gamins devenus adultes tellement complexes pour certaines/certaines,
je me suis faite balader et je n'ai rien vu venir. On plonge presque dans cette histoire avec plaisir malgré l'extrême dureté du sujet.

La fin m'a par contre laissé un goût amer. L'enchaînement trop brusque d'événements ont un peu gâché mon plaisir. 😅

J'ai quand même apprécié ma lecture et je lirais sans doute d'autres livres de Cécile Cabanac.

Roman complètement addictif du début à la fin. Beaucoup de personnages mais c'est bien construit. Tout ce que j'attends d'un polar y est réuni : une enquête solide et complexe, des flics humains, des fausses pistes. J'ai eu l'impression de partager le bureau de la police. le final ne démérite pas et n'est pas bâclé. Un gros coup de coeur pour l'auteur. J'espère que l'équipement de policiers reviendra dans une suite.

C'est le tout premier livre que je lis de Cécile Cabanac et déjà un coup de coeur. Cela va m'inciter à découvrir ces autres romans car ils peuvent se lire indépendamment.

Bon déjà la couverture et le titre donnent le ton. Et on rentre vite dans le vif du sujet dès le début.
En effet, un homme Pio rentre du travail, va dans la maison qu'il vient d'acheter avec sa femme, une vieille bâtisse à retaper, au fin fond des bois " la maison des Mesnuls" qui appartenait à un couple " famille d'accueil" tous les deux décédés, afin d'y accueillir toute leur grande famille.

Marteau en main, il commence à abattre des cloisons et découvre un squelette de petite fille. La police scientifique formée de la commandante Virginie Sevran et son équipe mène l'enquête sur place qui tourne à l'horreur puisque deux autres squelettes d'enfants sont découverts.

Qui a pu commettre ces horreurs ? Pourquoi ? Que s'est-il passé ?

Nous retrouvons tous les ingrédients d'un bon thriller : secrets, suspens, violence et nos émotions en ébullition : tristesse, colère, rage, douceur et j'en passe !

Le thème principal est fort et âmes sensibles s'abstenir puisque cela parle de maltraitances d'enfants mais principalement d'enfants placés. Maltraitance physique, psychique et psychologique.

Cécile Cabanac avec " la petite ritournelle de l'horreur" sait mettre un peu d'humanité malgré la noirceur de l'enquête justement au travers de l'équipe scientifique et principalement le duo Sevran/Biolet.

L'histoire est bien ficelée et ce thriller est une vraie bombe dans le milieu des services sociaux.
Pourquoi personne n'a rien vu, n'a rien dit ?

CE QUE J'AI AIME ?
Le rythme par des chapitres courts, le turn-over des personnages d'un chapitre à l'autre avec le point de vue de chacun qui ne m'a laissé aucun temps mort.
Et cette fin ..... je vous laisse le lire.
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