Cabu aime le jazz, le "jazz qui déménage", celui qui transporte, pas celui qui "donne envie de se jeter dans la Seine" ! Et quand il swingue, Cabu dessine, parfois dans le noir, souvent debout, de préférence en rythme, le pied battant la mesure. Ses premiers reportages musicaux, pourtant, il les fait pour Hara-Kiri dans des cabarets parisiens où se produisent les jeunes chanteurs de l'époque (Brel, Boby Lapointe, Gainsbourg...). Mais, à la mélancolie de la chanson f...
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