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4,1

sur 3016 notes
♫Je le savais
Le coeur a ses failles
Pourtant c'est vrai
La surprise est de taille
Quel est le fin mot
De cette histoire de fou à lier
Y avait-il un défaut
Un vice caché
Un vague à l'âme soeur
Une vague à surfer

Tu cherches sans fin juste les sens de l'histoire
Va, creuse un abris, parie sur l'espoir♫
Vague à l'âme soeur- Vanessa Paradis-2019-
l'Adversaire-Chevalrex-2018-
---------🌫🌫🌫🌫-♫-♪-♫-🌫🌫🌫🌫-----------
D'abord, l'abord d'âge
Bord de plage, un car nage
l'Epouvante surnage
Une VAGUE à lame du fond -tsunami- le Néant
perdre une maman, un enfant
2004- Sri Lanka, ex-Ceylan
m'héritera mes 5* et tous mes compliments....

ensuite
Appel vers un VAGUE à LAME DE FOND
Ainsi les trèfonds font font !!
https://www.babelio.com/groupes/769/la-LAME-Ligue-Anti-Marionnettes-Epouvantables
Peurs qui ne sont pas les miennes
s'écrira, s'écriera à Ligne pour qu'elles adviennent
Prendre les devants pire homéopathétiques
Perdre deux Juliette, prothèse en plastic , sainte Ethique
L'ADVERSAIRE par derrière, de moins en moins Romand tique....
Tout comme Chevalrex, preux chevalier
Ecrivain du réel est son métier,
L'animal qui épouvante notre auteur
C'est un renard qui le ronge de l'intérieur.
Comme il nous le racontera Plutarque
"Le petit spartiate avait volé un renard qu'il gardait caché sous sa tunique. Devant l'assemblée des Anciens, le renard s'est mis à lui mordre le ventre. le petit spartiate, plutôt que de le libérer et ce faisant d'avouer son larcin, s'est laissé dévorer les entrailles jusqu'à ce que mort s'ensuive, sans broncher" p135
Ici c'est pas le Roman de RenarT
ni le récit d'un Renard appelé RomanD

Chronique d'une mort annoncée
Constat d'échec et Pat aux logiques
VAGUE à l'âme de sa belle SOEUR
"Histoire de deux juges boiteux et cancéreux qui épluchent des dossiers de surendettement au tribunal d'instance de Vienne. Ils ne couchent pas ensemble et à la fin elle meurt" P120
J'suis ta béquille chronophage
T'es le renard de mes pages...
Un pont branlant, dangereux,
on pose un pied,
on voit que ça tient alors on pose l'autre
Imagine ou rappelle-toi naguère
petit pont ou jambe de bois
la meilleure façon de traverser la rivière ?
Evangile, Lao tseu, le Yi-king
Vs maladie de Hodgkin
Une tragédie Racine Thérapie sans lit
Le renard qui lui dévorait les entrailles est parti...
J'hurry pudiquement, je dis 'Magistral'!!!
Ô combien j'apprécie ton code Peinal..... 😁

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Notre dernière heure nous est cachée ; ainsi en est-il de notre finitude livrée aux caprices du destin !
Qu'elle soit brutale ou non, la perte d'un être cher réveille tant de sentiments contradictoires qu'il n'est jamais facile d'extérioriser son chagrin, de commencer la période de deuil. Le témoignage d'un écrivain est à cet égard infiniment précieux, surtout lorsque la réalité dépasse la fiction.

Alors qu'ils se trouvent en vacances au Sri Lanka le le 24 décembre 2004, Emmanuel Carrère, sa compagne Hélène et les enfants échappent de peu au plus grand tsunami de l'histoire. Ils reviennent à Paris profondément affectés par le décès de la petite fille d'amis rencontrés là-bas.
Hélène apprend quelques semaines plus tard qu'une de ses soeurs, Juliette, est atteinte d'un cancer du sein. Les métastases trouvées au niveau des poumons laissent craindre le pire...
La quasi-simultanéité de ces deux événements est le point de départ “D'autres vies que la mienne”, un livre-témoignage d'Emmanuel Carrère particulièrement poignant sur la précarité de la vie et sur la dignité humaine.

Les principaux protagonistes de ce drame familial sont extraordinaires de naturel et de générosité. Même au plus fort de la désespérance, l'amour de ses proches illumine la toute fin de vie de Juliette.
Son mari Patrice ainsi que son ami et collègue de travail Étienne se sont confiés longuement et sans tabou à l'écrivain. A travers le parcours de vie de chacun d'eux, le lecteur découvre peu à peu la personnalité attachante de Juliette : la joie de vivre qu'elle communique au quotidien à son époux et leurs trois petites filles mais aussi l'aura qu'elle dégage au tribunal à son poste de juge d'instance responsable des dossiers de surendettement.

L'auteur s'est bien gardé de tout pathos et pourtant, sans tarder, l'émotion brouille la vue. Mais si les larmes coulent d'elles-mêmes c'est avant tout parce que la brève existence de Juliette est un formidable témoignage de vie réussie.


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Une vague d'espoir m'a envahie en lisant ce très beau texte, véridique. le tsunami ? La perte d'un enfant ? Oui…mais la vie, avec l'acceptation des horreurs subies, reprend ses droits et ça, chapeau ! le cancer plie l'être humain, l'handicape avant de le tordre dans des souffrances indicibles ? Oui, mais l'homme, la femme décrits dans ces lignes s'adaptent, au prix d'une volonté, d'un amour, d'un désir de vivre malgré tout, même diminués.
Pour tout ça, pour ces valeurs positives, je dis oui ! Oui à ce livre plein d'humanité, oui à cet auteur franc et honnête. Oui à ces "autres vies que la mienne" !
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C'est un titre porteur et tellement évocateur... Emmanuel Carrère nous parle d'autres vies, de la vie des personnes qu'il croise sur sa route, des amis intimes ou non mais qui ont tous laissé leurs empreintes à un moment donné.
Ces autres vies, ce sont celles de Jérôme et Delphine, les parents de la petite Juliette emportée par le tsunami, au Ski Lanka en décembre 2004. Emmanuel Carrère, en gage d'amitié envers ce couple les aidera autant qu'il le pourra à surmonter ce deuil, autant que cela puisse être possible.
Ces vies, ce sont celles de Juliette, la soeur de la compagne d'Emmanuel Carrère, magistrate. Atteinte d'un cancer à l'âge de 18 ans, elle s'en remettra mais la maladie, sournoise, reviendra quelques années plus tard.
Ces vies, ce sont aussi celles d'Emilie, de Clara et de Diane, les trois petites filles de Juliette qui devront apprendre à vivre sans leur maman.
Ces vies, ce sont celles aussi d'Etienne, ami et collègue de Juliette. Réunis dans le même drame de la maladie puisqu'il est amputé d'une jambe, ces deux êtres vont défendre de manière féroce et terriblement efficace les couples surendettés, les situations précaires dans lesquelles ils se sont engouffrés et dont ils n'arrivent plus à sortir.

Emmanuel Carrère décrit avec justesse et énormément d'émotion tous ces destins croisés. Il y a à la fois plusieurs livres dans ce même ouvrage, on y parle de tsunami, de mort, de cancer, de surendettement, de justice, d'amour, d'amitié... Autant de sujets qui ont marqué l'auteur au cours de ces quelques années et qui nous prouvent, à travers ce récit, l'importance des gens qui nous entourent, leur interaction sur notre propre destin. Un peu comme un journal, il raconte d'une façon si passionnée, émouvante et parfois terrible, tout simplement, la vie. Avec justesse et sobriété, il s'est mis à l'écart pour nous montrer au grand jour les héros du quotidien.

D'autres vies que la mienne, si cela m'était possible...
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C'est ma première rencontre avec Emmanuel Carrère.

L'écrivain fait preuve de beaucoup de tact et d'une grande sensibilité pour évoquer ces moments de vie éprouvants dont il a été témoin.
Il est toujours difficile de se mettre « dans les chaussures « d'un autre, d'imaginer que chaque personne a son lot de difficultés, de souffrances et des épreuves. Il est nécessaire parfois de percevoir derrière les carapaces les tragédies et traumatismes qui traversent nos semblables.

Les tragédies racontées par Emmanuel Carrère nous secouent particulièrement car nous avons tous vécu « en direct » via des centaines d'images la dévastation provoquée par le tsunami et nous avons tous perdu un être cher d'une maladie grave.

L'auteur plonge sa plume fine et intuitive dans l'encrier des jours pour livrer un mélange de scènes tendres, drôles, dramatiques et mélancoliques.
Mais le message voulu et qui persiste après la dernière page tournée, c'est la question du courage, de la difficulté à se reconstruire et de continuer à avancer malgré les coups durs du destin.

Délicat et bienveillant comme un baume !


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Il est toujours assez difficile pour moi de parler de mon ressenti à la lecture d'un livre d'Emmanuel Carrère.

J'aime ses livres, j'aime leur sujet, j'aime beaucoup son style d'écriture, les sentiments qu'il fait passer au lecteur mais je pense que c'est l'homme lui-même que je n'aime pas. le fait qu'il ait toujours besoin de parler de lui, avec une assez haute opinion d'ailleurs, de ramener tout à lui, me le rend...pas antipathique, non... Disons, c'est plus juste, qu'il me met mal à l'aise.

Par contre, comme nous sommes ici pour parler d'ouvrages et non d'hommes, c'est bien cinq étoiles que lui mets parce que j'aime vraiment ses livres.

J'étais un peu inquiète au début, ça parlait du tsunami de 2004. Je me suis dit non...pas encore...
Et non! Pas du tout!
Mais c'est bien à partir d'un évènement qui a changé la vie de milliers de personnes, sans toucher la sienne, qu'indirectement, il a changé aussi la vie de l'auteur.
Et c'est à partir d'un autre évènement qui ne le touche pas directement non plus, la mort de sa belle-soeur qu'il ne connaissait pas, qu'il va changer sa façon de voir la vie, son bonheur, l'importance de certaines choses qu'on pourrait croire anodines. Tout en nous racontant la vie d'autres personnes, il insinue la sienne dans l'histoire et c'est là qu'il est excessivement intéressant finalement!

C'est pour tout ça, pour tout ce qu'il fait passer dans ses livres, toutes ces émotions, que j'aime Emmanuel Carrère,
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Ce roman autobiographique m'a beaucoup touchée. Emmanuel Carrère y parle avec beaucoup de sensibilité de la mort, du deuil, de la douleur, de la maladie. Ce n'est jamais larmoyant, toujours digne. La première partie concerne Juliette, une fillette disparue dans le tsunami. L'auteur raconte ses démarches et celles de sa femme Hélène, afin d'assister Philippe et sa famille. Il admire la capacité de son épouse à s'oublier pour aider les autres, tandis qu'il se fait petit et préfère observer.

Ensuite, la deuxième partie parle du cancer et du handicap d'une autre Juliette et d'Etienne, tous deux magistrats, et des rouages de la justice dans les Commissions de surendettement. L'auteur s'est beaucoup documenté et familiarisé avec le sujet et rend ainsi presque passionnants des sujets légaux qui au préalables ne sont pas séduisants. Il souligne que les juges sont influencés par leur orientation politique. Il aborde aussi les combats pour une justice plus égale. Il rend hommage à des femmes et des hommes blessés, malades, qui se mettent du côté des plus faibles, et non pas des plus puissants, et rendent donc ainsi une justice plus digne des hommes. De belles pages sur la maladie/cancer sont bouleversantes. Elle est envisagée soit comme une partie de soi "la maladie c'est moi, je ne peux pas la haïr" - soit comme extérieure à soi. Entre Étienne et Juliette, existe un rapport que nulle part ailleurs ne pourrait exister, puisqu'il partagent le même passé, les mêmes sensations.

La photo de couverture de Chris Friel me paraît tellement emblématique des thématiques de ce roman. On y voit la fillette perdue dans le tsunami, l'autre Juliette, magistrate, handicapée motrice et atteinte du cancer. Et ce bâton, représentant aussi le marteau des juges.

Une lecture riche et généreuse.

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Témoin du tsunami en Décembre 2004, E. Carrère rentre à Paris avec sa compagne Hélène, avec l'intention d'écrire sur le drame. Quelques semaines plus tard, la soeur d'Hélène est emportée par un cancer. Juge spécialisée dans les affaires de surendettement, elle partageait l'expérience de la maladie et la passion de son métier avec son collègue de travail Etienne.Mêlée à celle du tsunami, E. Carrère raconte l'histoire de ces deux juges qui ont passé leur vie à combattre maladie et pauvreté.
Un récit autobiographique superbe de sobriété, de puissance, de retenue.On en déguste les phrases mesurées, simples et lumineuses, les laissant retentir au plus profond de soi. Livre de l'intime: l'intime des autres, celui de l'auteur et le nôtre car chacun peut y déceler quelque chose qui le renvoit à lui, à ses troubles, ses peurs, sa vie. Livre d'amour, de maladie, de deuil.Livre du tragique...sans pathos. Livre de la vie...sa dureté et parfois sa douceur.Tout simplement beau et poignant.
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À quelques mois d'intervalle, la vie a rendu l'écrivain Emmanuel Carrère témoin de deux événements qui n'ont rien à voir l'un avec l'autre, hormis celui de la mort et hormis celui d'être un proche des deux familles concernées par ces deux drames : d'un côté la mort d'une petite fille emportée dans le tsunami qui a dévasté un endroit de la côte Pacifique de l'Asie du Sud Est et de l'autre celle d'une jeune femme dans la force de l'âge, terrassée par la récidive d'un cancer...
Est-ce une commande, est-ce une demande ?
« Quelqu'un m'a dit alors : tu es écrivain, pourquoi n'écris-tu pas notre histoire ? »
Ces proches l'ont donc non seulement autorisé à écrire ce livre, mais ce fut plus qu'une invitation, quelque chose qui tient à la fois de l'injonction et de la délivrance...
Le récit que nous restitue Emmanuel Carrère est empreint d'empathie et d'humanité.
Disons-le, Emmanuel Carrère m'agace autant qu'il m'émeut. Forcément il se met parfois un peu en scène dans le texte, parlant de la vie, des siens, dévoilant en creux l'insatisfaction, la tension perpétuelle, son impuissance d'aimer, les blessures de son existence, sa fragilité de vivre...
Écrire, c'est peut-être pour un écrivain courir sans cesse après des chimères.
Le titre est sans doute une ironie à cela : D'autres vies que la mienne...
Écrire, c'est forcément un acte à la fois prétentieux et vain. Un acte d'amour aussi. Être aimé et ne pas savoir aimé.
Mais il y a son écriture, médiatrice entre les vivants et les morts. Les mots trouvent grâce sous sa plume. C'est une plume fine, délicate, intuitive.
Écrire, c'est se résoudre à ne plus rien savoir de ces personnes dont il parle, dont il nous invite à découvrir leur histoire comme si nous devenions brusquement proches d'eux.
Je reconnais que parfois l'exercice a suscité un certain malaise en moi, celui d'être voyeur d'une histoire qui ne me concernait pas. Cependant, de ce récit intime il ressort quelque chose d'universel évoquant la mort qui nous touche, celle de nos proches, celle qui adviendra de nous, ceux qui resteront après nous.
Faire le deuil, c'est être survivant. Survivre à la mort d'un enfant, survivre à la mort de sa compagne...
C'est aussi ne pas se détourner du malheur qui touche leurs proches.
Brusquement, les verbes se conjuguent au passé, l'imparfait commence à ronger les mots, comme un cancer, une vague a emporté l'avenir. Il n'y aura plus d'après.
Écrire, c'est effleurer la vie de ceux qu'on aime. C'est admirer, envier l'amour des autres, cet amour qui les tient encore debout.
Emmanuel Carrère dit quelques jours fragiles, suspendus au-dessus du monde, où l'on pense à ceux qui peuvent encore serrer un enfant dans leur bras, étreindre quelqu'un qui n'est pas touché par la maladie.
J'ai l'impression qu' Emmanuel Carrère écrit des livres où prend forme la vie qui nous ressemble, ce que nous sommes.
La pire des souffrances, c'est celle qu'on ne peut pas partager, l'expression ultime de son malheur et de son désarroi face à la vie qui étreint et qui broie.
Je découvre dans les mots de cet écrivain que notre condition humaine comporte d'insondables détresses. Non, plutôt je le savais déjà, mais il a une manière indicible de me le dire.
Emmanuel Carrère, forcément parlant de lui, des autres qu'il aime, qui lui ont demandé d'écrire ce livre, nous rappelle nos chagrins et nos défaites.
Mais la pire défaite, ne serait-ce pas celle d'oublier ? Alors, écrire...
Écrire, c'est prendre le risque de réveiller des chagrins.
Peut-être faire du bien à ceux qui restent, plus tard...
Ceux qui restent, ce sont des personnages qui nous paraissent familiers, se reconnaissent, traversent les mêmes souffrances, Emmanuel Carrère nous invite à les rencontrer.
Parce qu'ils viennent du même monde que nous, parce qu'ils nous ressemblent.
Être là après, porter l'autre, vivre ce qui peut être donné de vivre ensemble en pensant le moins possible au moment où cela prendra fin.
Faire l'amour peut-être la dernière fois avec la personne qui s'éteint. Ne pas savoir que c'est la dernière fois. Se dire à chaque fois que c'est la dernière fois.
Non, il y a bien une différence entre ces deux morts, celle qui fauche par une vague et sidère et celle qui éteint la vie à petits feux chaque jour qui passe.
L'écriture d'Emmanuel Carrère est immédiate et intime.
Prendre une photo de celle qu'on sait qui va mourir, avant que la maladie n'entame son cruel labeur, prendre cette photo c'est déjà accepter qu'elle va mourir...
Le deuil, c'est ce à quoi on n'est jamais préparé, même lorsqu'on s'y attend.
Les moments de joie, les derniers instants qui précèdent...
Vouloir continuer de raconter, sans pathos, sans concession, vivre après.
Emmanuel Carrère dit cela, ce qui doit être dit avec justesse et sincérité.
C'est un livre qui a dû faire du bien aux personnes qui l'ont lu plus tard, des enfants peut-être qui ont grandi. Je n'en sais rien, j'aimerais que ce soit comme cela.
Peut-être qu'écrire ce livre a fait du bien aussi à Emmanuel Carrère. Il invite sans cesse dans ces pages cette vie fragile, presque illusoire, mais qui nous permet de tenir debout.
Emmanuel Carrère le dit avec justesse, sensibilité, émerveillement. Pour cela je trouve qu'il est un auteur essentiel.
Ce livre m'a fait du bien, me retrouvant parfois dans les mots de l'auteur, plus près avec mes proches qui ne sont plus là. Plus près encore avec ceux qui sont vivants et que j'aime.
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Il m'est difficile de décrire toutes les émotions qui m'ont traversées en lisant ce magnifique roman où "tout est vrai".Le style en est tellement vivant que l'on ressent comme si on était à leur place,la détresse,la joie,la tendresse,la peur.......de chaque personnage..Quel écrivain!!
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