Un joli livre pour les ados, un peu long toutefois lors de certains passages que l'on peut trouver trop "innocents" et éloignés des préoccupations actuelles de nos jeunes.
Mais il est intéressant de le lire avec en arrière-pensée le développement de l'adhésion de nombreux jeunes perdus à des doctrines religieuses extrêmes.
Ce livre peut être l'occasion d'ouvrir le dialogue sur l'embrigadement religieux qui pousse à agir au-delà du bon sens, simplement dans la perspective de suivre un meneur, un "chef spirituel".
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Pour moi ce n'est pas un livre jeunesse, il est poignant mais trop cru et paradoxalement abstrait. Il aborde le thème de la religion de façon objective mais aucunement d'actualité.
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Comment avons-nous pu croire que des massacres nous rendraient meilleurs?
Evariste Galois fait partie de ces êtres qui ne s'apprivoisent pas. Mathématicien de génie, provocateur irrésistible, républicain militant, il a traversé le début du XIXe siècle telle une comète. Flamboyant, éphémère. Mort à vingt ans pour une querelle de pacotille, il aura malgré tout eu le temps de d'être arrêté deux fois, jugé, incarcéré en prison pour crime politique, et, bien sûr, de marquer l'histoire des mathématiques. Evariste a mené, à cent à l'heure, une vie digne d'un roman. Jacques Cassabois nous livre ici le récit de ses dernières années, dont il nous lit le premier chapitre.