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EAN : 9782260005087
221 pages
Julliard (30/11/-1)
4.2/5   5 notes
Résumé :
Jean Cau (1925-1993), romancier couronné par le prix Goncourt (La Pitié de Dieu, 1961), polémiste étincelant, journaliste et portraitiste inspiré jusqu'à devenir le peintre de son époque, laisse éclater dans cette déclaration d'amour une passion infinie pour une ville, Séville, diamant brut d'une Andalousie violente et sauvage.
Un voyage en Semaine Sainte, les larmes des hommes et les rires des femmes, la plus envoûtante des Ferias, des ombres du flamenco, le... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (2) Ajouter une critique
C'est une véritable déclaration d'amour que Jean Cau fait à l'Espagne, l'Andalousie et plus précisément Séville, sa feria, la tauromachie. Connaître Séville, son atmosphère ses corridas est forcément un plus pour apprécier pleinement les envolées lyriques de Jean Cau. Je précise une fois de plus que je ne suis pas une "aficionados" mais les descriptions sont tout simplement belles, poétiques et même grandioses. On ressent avec une grande force sa passion pour ce monde si particulier et même si je n'adhère pas à cet univers je dois dire que j'ai été par moment emportée par cette passion. Je regrette toutefois que ce livre tourne principalement autour de ce monde de la tauromachie, je pensais que le flamenco, la vie à Séville, en Andalousie seraient également à l'honneur. Je mets 4 étoiles et non pas 5 pour cette raison mais je ne me sens pas légitime pour faire une critique sur ce livre, seuls les Espagnols les Andalous peuvent à mon avis comprendre réellement ce que ressent Jean Cau.
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Citations et extraits (3) Ajouter une citation
" on dit que je suis superstitieux mais ce n'est pas vrai. A preuve, quand je vois entrer dans l'arène un toro à cinq pattes, je n'ai jamais peur..." On riait mais le maestro ajoutait :" Si, si, ça existe les toros à cinq pattes mais pour les voir il ne faut pas être superstitieux"
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Vous pourriez ne pas goûter à l’Espagne, à l’Andalousie, à Séville. Le flamenco,, la corrida et les espagnolades de toutes sortes vous seraient démodées pour ne pas dire méprisables.
Vous pourriez même ne pas aimer Jean Cau, l’homme, ses idées, sa trajectoire.
Et pourtant, Sévillanes sera parmi vos heureuses lectures ; d’ailleurs, c’est certain, vous aimerez Sévillanes, puisque la littérature et vous, c’est une histoire bien comprise.
«Trente kilomètres. Dans quelques instants, s’il me plaît et une fois encore, je mangerai Séville. La Giralda, la plus belle glace à la pistache du monde, je la lécherai. Ce sera mon dessert mais, auparavant, j’aurai dévoré la Maestranza et mon visage heureux en sera barbouillé de crème rose et blanche."
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Réédition fin Mars aux Editions Atlantica www.atlantica.fr
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Videos de Jean Cau (5) Voir plusAjouter une vidéo
Vidéo de Jean Cau
Radioscopie : Jacques Chancel reçoit Jean Cau
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