#renaudleblond #lenageurdauschwitz #alfrednakache
LE NAGEUR D'AUSCHWITZ (L'INCROYABLE HISTOIRE D'ALFRED NAKACHE) - PRIX ANTOINE BLONDIN 2023 par Renaud Leblond -
L'HISTOIRE VRAIE DE L'HOMME QUI NAGEA EN ENFER.
Le Nageur d'Auschwitz est lauréat du Prix Antoine Blondin 2023 et du prix « Sport Scriptum » du meilleur ouvrage littéraire sportif.
Il est également finaliste du grand prix littéraire de la société des membres de la Légion d'Honneur
« La nageur d'Auschwitz, un livre important ! »
Michel Drucker, Vivement Dimanche
« Un roman poignant »
Télé 7 jours
"Renaud Leblond signe là un puissant ouvrage, sans jamais tomber dans la facilité ni dans le pathos. Un livre pudique et respectueux...comme Alfred Nakache"
Sud-Ouest, Philippe Brégowy
Le livre : https://www.lisez.com/livre-grand-format/le-nageur-dauschwitz-lincroyable-histoire-dalfred-nakache-prix-antoine-blondin-2023/9782809844559
(c) France Info dans « Club Info », interview par Victor Matet et Laurie Delhostal, le 30/04/23
+ Lire la suite
Quand on meurt de faim, il se trouve toujours un ami pour vous offrir à boire.
- Le seul obstacle entre nous, disait-elle, c’est la boisson.
- Je boirai l’obstacle, répondais-je.
Aux signes extérieurs de richesse, je préfère certains signes de richesse intérieure.
La télévision fait disparaître beaucoup de choses. Les cafés existent de moins en moins. Quand on va dans un café, ce n'est pas vraiment pour boire. C'est pour aller à la rencontre de ses semblables. On ne lit plus tellement non plus. On regarde la télévision. C'est chacun pour soi et la solitude pour tous.
Antoine Blondin, Entretien avec Emmanuel Legeard, Paris Normandie, 1988
je vis au seuil de moi-même, à l'intérieur il fait sombre
Écrire me donne un mal de chien. Constamment, je fais un gros effort. Il y a des moments où, par éclair, cela ne m'ennuie pas trop, heureusement. J'ai le trac. Je n'aime pas écrire. C'est bon quand c'est fini. L'histoire du fou qui se tape sur la tête avec une brique et qui dit : "C'est bon quand je m'arrête", voilà exactement ce que j'éprouve.
Sait-on jamais ce que c’est. Ce va-et-vient aux abîmes est un trajet solitaire. Ceux qui remontent de ces gouffres se sont cherchés sans se rejoindre. Seule, la cruauté du jour rassemble leur troupeau errant. Ils renaissent douloureusement et se retournent : la nuit a effacé la trace de leur pas. Les ivresses, si contagieuses, sont incommunicables.
« Les bouteilles à la mer ne ramènent pas souvent les réponses. »
Un homme avec des fleurs, le plus empoté, c'est l'homme.
Je n'ai jamais osé être de gauche quand j'étais jeune, de peur de devenir de droite en vieillissant.