L’Histoire de l’humanité est la somme des reflets de nos histoires humaines.
Qui contrôle les hommes et les victoires contrôle l’Histoire.
Les vainqueurs sont ceux qui écrivent l’Histoire.
L’Histoire a cessé, depuis longtemps, d’être la somme des humanités ; aujourd’hui elle n’appartient qu’à une poignée d’individus. A nous de savoir lire entre les lignes,
bien plus préoccupées à survivre qu’à remettre en cause leur condition
les rouages, c’est nous !
croyant « coïncidence » lorsqu’il s’agit de « manipulation ».
Pensons. C’est déjà ça
Quelque chose avait bougé.
Dans le sol.
Elle n'avait pas rêvé. Ça s'était passé dans la périphérie de son regard. Un mouvement, sous le sol.
C'est impossible, je me fais une frayeur toute seule... il y a quinze mètres de vide sous cette plaque de verre...
Elle contractait les muscles de ses bras pour se relever quand les 2 taches blanches apparurent.
Deux mains vinrent se poser tout près des siennes, de l'autre côté du verre. Deux paumes à la peau blanche, presque transparente.
Yael bondit en arrière.
Puis une face blafarde émergea des ténèbres pour venir se coller contre la plaque. Un homme aux yeux écarquillés, bouche ouverte. Yael n'y lut d'abord aucune angoisse, rien que de l'incompréhension. Qui se mua aussitôt en colère. En rage.
Et le visage spectral se mit à hurler.
Yael hurla à son tour, raide de terreur, sans quitter le spectre des yeux. Déjà, il redescendait pour disparaître dans l'opacité du gouffre qui s'enforçait sous elle.
L'Histoire de l'humanité est la somme des reflets de nos histoires communes.
Je suis d’une génération éduquée par les mythes romanesques, la poésie et surtout le cinéma. L’amour, c’est une sorte de course au Prince Charmant. Jamais on ne m’a dit que l’amour était la résultante chimique de tout un tas de facteurs qui m’échappent, comme la compatibilité des gènes !
L'alcool, c'est comme le chocolat.
Un faux ami.
Un traître.
« Bien vieillir »c’est être capable de ne pas garder en soi trop d’épines, trop d’aspérités sur lesquelles se blesser l’ame. Et pas pour dorer son image aux yeux des autres où se mentir à soi même, mais parce que niveler ses blessures était le meilleur moyen d’accepter de vieillir
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Montesquieu :
« La liberté est le droit de faire tout ce que les lois permettent. »
Savez-vous quelle est l’essence du pouvoir ? La démagogie.
Pour régner, pour gouverner, il faut plaire au peuple. Lui mentir si nécessaire. Mais dire ce que les gens ont envie d’entendre. Le faire est secondaire. On calme la colère, les déceptions, par encore un peu plus de démagogie. Puis vient le moment de tourner, de laisser sa place au parti d’en face, une fois que le peuple en a marre d’entendre trop de mensonges.
Alors le parti opposé prend les commandes et fait la même chose.
Exactement la même chose : il exerce son pouvoir. Par la démagogie. Avec plus ou moins de sincérité selon les uns et les autres.
Jusqu’à devoir laisser sa place au parti précédent qui revient faire ce qu’il a déjà fait, et ainsi de suite...
« Les vainqueurs sont souvent ceux qui écrivent l’histoire »
L'hospitalité est une vertu séculaire dans ma culture, et elle commande parfois des sacrifices.