[...] Si nos criminels conservaient leur jugement et agissaient avec réflexion, comment réussirions-nous à les prendre ?
"il existe un proverbe anglais, mademoiselle, qui dit ...
- ... "Les amoureux se rencontrent au terme du voyage"," (p.221)
Je ne discute pas avec les hommes obstinés. J'agis malgré eux.
- Vous prétendez que ma fille vous a épousé pour votre titre et votre rang ?
Ketterring eut un rire sans joie.
- Vous ne pensez tout de même pas que nous avons fait un mariage d'amour ?
- J'ai le souvenir d'une gentille fille, poursuivit lady Tamplin, tranquille et réservée, pas spécialement belle, et qui ne cherche pas à mettre le grappin sur les hommes.
- Elle ne se jettera pas sur Loulou [ ton mari ], alors.
- Loulou ne ferait jamais... commença lady Tamplin.
- Non, dit Lennox [ la fille], je ne pense pas. Il sait trop bien de quel côté sa tartine est beurrée.
- Je m'appelle Hercule Poirot.
- Hercule Poirot ? balbutia le commissaire. Le vrai ?
- Lui-même.
- [...] Je suis Hercule Poirot.
- Monsieur?
- Vous ne connaissez pas ce nom?
- Je ne l'ai jamais entendu, dit Hippolyte.
- Permettez-moi de vous dire que vous avez reçu une mauvaise éducation. C'est celui d'un des grands hommes de ce siècle.
"chacun regarde de sa place le miroir, mais le miroir est le même, ainsi que les choses qu'il reflète ..." (p.202)
C'était une femme de grande expérience qui avait été mariée quatre fois. Son premier mari n'avait été qu'un péché de jeunesse et elle évitait d'en parler. Il avait eu le bon goût de mourir rapidement (...).
- Voilà, dit l'inconnu en se laissant tomber dans un fauteuil de bois. Je suis Hercule Poirot.
- Monsieur ?
- Vous ne connaissez pas ce nom ?
- Je ne l'ai jamais entendu, dit Hippolyte.
- Permettez-moi de vous dire que vous avez reçu une mauvaise éducation. C'est celui d'un des grands hommes de ce siècle.