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sur 897 notes
On ne peut pas réduire un livre qu'on a lu à un objet doté d'un nombre de pages données, à du papier sur lequel on a jeté des symboles tracés à l'encre ; un livre lu, c'est le souvenir d'émotions, parfois agréables, parfois désagréables… Bref, un livre, ce n'est un objet que quand on ne l'a pas lu ; lorsqu'on l'a lu, l'objet n'est plus simplement un objet ; il évoque une expérience de lecture.
Quelle expérience de lecture évoquera, pour moi, "Player one" ?... Je m'en souviendrai sans doute comme un livre qui, pendant deux jours, m'a fait vibrer, intensément. Certes, je ne m'attendais pas à un livre comme celui-là, qui me ferait ainsi vibrer pour ses personnages, m'inquiéter pour leur sort…
J'ai beaucoup aimé "Player one". Dès la première page, dès l'incipit, j'ai su, que j'allais aimer. J'ai tout de suite accroché à cette chasse au trésor, j'ai tout de suite aimer les personnages ( ou, du moins, ceux qui sont aimables ), j'ai tout de suite adoré découvrir cet univers très complexe et très développé.
Cette aventure m'a emporté et je n'ai pas pu lâcher ce livre. J'ai été plongé dans cet univers ; je me suis soucié du sort des personnages ; ce n'est pas rien que tout ça…
Qui plus est, en plus du caractère addictif, on trouve dans cette oeuvre quelque chose qui parle à beaucoup d'entre nous ( je crois ) : l'affrontement entre un petit nombre d'individus, seuls ou presque, et une grande multinationale, disposant d'énormément de moyens, humains et financiers…
J'ai tout de suite aimé et j'ai tout de suite su que j'allais aimé ; et je regrette déjà d'avoir quitté cet univers, alors que ça fait si peu de temps que je l'ai quitté…
Un livre addictif, une lecture intense qui ne laisse pas indifférent !...
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J'ai eu un vrai coup de coeur pour ce roman qui nous plongent dans un univers futuriste foisonnant, tout en jouant la carte nostalgie en évoquant les années 80, principalement au travers des films et des jeux vidéos de l'époque. Ajouter à cela une histoire vraiment intéressante, un rythme soutenu, des personnages attachants, et on se retrouve avec un livre difficile à lâcher jusqu'au dénouement.
J'attends maintenant avec impatience le prochain roman de Ernest Cline, mais aussi l'adaptation de Player One par Steven Spielberg.
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C'est l'histoire d'un grand moment de solitude :
- Moi : ‘Dis, je viens de finir un livre sympa ! J'ai trouvé l'idée sur Babélio, tu connais ‘Player One' ?
- Lui : ‘Ahaha'
- Moi : ‘Ben quoi ?'
- Lui : ‘C'est un peu comme si tu me demandais si je connaissais La guerre des étoiles…'
- Moi : ‘Mmm' …dépitée je suis.
Bon, OK, j'ai quelques années de retard sur lui dans le monde de la SF, et visiblement c'est irrattrapable, il faut m'y faire…
Tout ça pour dire que j'ai bien aimé Player One, contre toute attente : je ne suis pas une assidue des jeux vidéo – pour tout dire, jusqu'à très récemment, WoW était pour moi l'interjection version anglophone de Ouahou : il y a un peu de boulot pour me mettre à niveau. Par conséquent, même si cette lecture a été l'occasion de combler -très partiellement- le tonneau des danaïdes de mes lacunes en la matière, une bonne moitié des allusions du bouquin me sont passées au-dessus de la tête. Mais la moitié restante, référence à des années d'adolescence, ainsi que l'intrigue, m'ont bien accrochée.
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En 2045, le monde est proche de la fin, victime de centenaires d'abus en tous genres causés par l'Homme. le seul refuge de la population, c'est l'OASIS, un monde virtuel en 3D dans lequel on peut faire et être tout ce qu'on veut ou presque. Quand son ultra-célèbre et richissime concepteur Halliday meurt, tout le monde se met à chercher l'oeuf de Pâques qu'il a caché dedans et qui rendra le vainqueur non seulement immensément riche, mais également le maître du jeu. Or il n'y a pas que des personnes isolées qui se lancent dans la quête : la multinationale IOI est aussi sur les rangs, et pas qu'avec des moyens légaux. Wade, alias Parzival, est comme tout le monde sans succès depuis 5 ans sur la trace du Graal virtuel quand une succession d'évènements et révélations l'amènent enfin à découvrir un premier indice...

J'ai beau être née dans les années 80, je me suis sentie assez loin de toutes les références marquées et incessantes à cette décennie vu que je n'ai pris réellement conscience que j'existais qu'au milieu des années 90 (vous savez les boys bands... ou surtout girls bands... sacrées Spice Girls !). Cela ne m'a pourtant pas empêchée d'être totalement embarquée dans cette histoire geek mais entraînante. Je n'avais pas ressenti le besoin de rentrer chez moi pour lire un livre depuis longtemps, c'est dire !
On pourrait rattacher cette histoire à plusieurs genres, plusieurs catégories de lecteurs visées : les nostalgiques des eighties vont en prendre plein les mirettes et passer leur temps à dire "mais ouiiiiiiiii, c'est vraiiiiiii, j'adorais ce jeuuuuuhhhhhhhhh !!!", les geeks vont se retrouver pleinement dans leur univers alors que c'est pas souvent qu'un hommage pareil est rendu à leur monde peuplé de machines archaïques pour nous, de séries mangas cultes pour eux et de jeux vidéo primitifs pour le monde moderne, les amateurs de littérature Young Adult vont kiffer l'aspect dystopique fort couru ces derniers temps et les plus jeunes vont se laisser embarquer avec plaisir dans un rythme effréné et une histoire d'amour balbutiante tout à fait chaste. Y a avec ça de quoi couvrir un large panel de lecteurs, quand bien même pas mal pédalent dans la choucroute par manque de culture appropriée.
C'est sûrement pas le livre du siècle, il fait montre de quelques clichés du genre dystopique pour teens, mais ça reste une lecture super motivante et rajeunissante (enfin ça dépend pour qui !). L'univers est riche (comme notre monde qui a accouché de tous ces films, chansons, technologies et autres) et l'auteur en profite aussi pour développer le caractère des relations humaines et le risque de l'isolement récréatif virtuel. Et a posteriori, on se rend compte que ce livre mêle passé idéalisé et futur apocalyptique avec brio pour mieux réfléchir au présent menacé.
Un peu long par moments, des scènes souvent répétitives, mais le tout a de quoi valoir le détour, surtout si vous rentrez dans l'une des catégories pré-citées. Ready ?
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J'ai découvert cette histoire avec l'adaptation ciné sortie il y a quelques années que j'avais vraiment beaucoup aimé, du divertissement bourré de références comme j'aime. Je l'avoue, c'est avec un peu d'appréhension que j'ai commencé le roman, j'avais peur que tout ressemble au film. Eh bien surprise !! Et très bonne, c'est également bourré de références mais on remonte bien 10 voire 20 ans en arrière, car ici elles se situent toutes dans les années 80.
On va suivre Wade Watts en 2044 (eh oui ce n'est plus si loin), dans un futur assez moche il faut le dire. Il vit dans un espèce de bidonville chez sa tante. Son espace de liberté : l'OASIS, une immense simulation en ligne accessible grâce à une visière et des gants.
J'ai trouvé le déroulé du livre, beaucoup plus vraisemblable que dans le film, car les personnages vivent aux antipodes les uns des autres. La vie de Wade (alias Parzival) n'est pas rose qu'il soit ou non dans l'OASIS par manque de moyen. Il étudie films, séries, livres, jeux vidéos dans un seul but : trouver l'Oeuf de Pâques de Hallyday (fondateur de l'OASIS décédé qui a créé un jeu de piste dont le gros lot est son immense fortune). Les énigmes sont bien plus cérébrales et complexes que dans l'adaptation filmée et j'avoue que j'aurai aimé les voir adaptées.
Le style est celui d'un passionné, cela se sent. Et franchement, lire ce livre donne des passerelles pour aller découvrir tout un tas de livres, jeux, séries, films qu'on ne connaissait pas forcément avant. L'auteur arrive néanmoins à se pas noyer l'action sous ses références, même si l'enthousiasme et l'érudition de Parzival et ses compagnons frisent la surchauffe parfois.
L'intrigue : une chasse au trésor assez bien menée. Les personnages sont attachants et leurs caractéristiques sont bien plus atypiques que dans le film qui a, à mon sens, un peu trop lissé le truc, et passé sous silence certaines problématiques abordées dans le livre : notamment concernant l'avatar d'Haech.
Si vous avez la nostalgie des jeux de rôle sur table, des bornes d'arcade et des sitcom familiales comme des livres de SF des années 70-80, vous allez vous régaler. D'autant que l'aventure du fameux Top 5 s'avère bien plus mouvementée et dramatique que ce que le film en montre. Néanmoins, si le film vous tente je vous conseille fortement de le visionner avant de lire le livre, si vous faites l'inverse, le film risque clairement de vous décevoir.
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2045. Wade Watts, comme presque toute l'humanité, se connecte à l'OASIS, programme de réalité virtuelle mondial, pour fuir la misère et vivre la vie qu'il a toujours rêvé. Décédé quelques années auparavant, le créateur de l'OASIS James Halliday a caché un Easter Egg dans son monde virtuel. Celui qui le trouvera héritera de toute sa fortune. Wade s'est juré d'être le premier de cette "chasse à l'oeuf".

Les années 80 connaissent un regain d'intérêt depuis quelques années et Player One s'inscrit à fond dans cette mouvance nostalgique. Mais là où certains flattent le geek avec des références subtiles, Ernest Cline y va avec de gros sabots bien lourds. Son arme : le name dropping ; son objectif : citer un maximum de films, séries, chansons, jeux vidéos emblématiques des années 80.

Si vous êtes allergiques aux eighties, fuyez ! pauvres fous, car vous ne passerez pas.
En dehors d'une poignée, importantes et vraiment intégrées à l'intrigue, la grande majorité des références sont purement gratuites, du genre : "Il ressemblait à ce personnage du feuilleton Ricky ou la belle vie" ou "L'escalade des poutrelles des Piles me faisait penser aux anciens jeux vidéos de plate-forme, comme Donkey Kong ou BurgerTime". Si vous êtes trop jeune pour avoir connu les années 80, pas de panique, vous ne serez pas perdu pour autant. Ernest Cline n'oubliera pas de préciser que Dragon Magazine était une revue dédiée aux jeux de rôles et la Folle Journée de Ferris Bueller, un film de John Hugues décrivant la vie des adolescents... et tant pis si ça alourdit encore un peu plus le récit.

Pour vous donner une idée de la quantité, j'en ai listé une partie :

Je ne sais pas vous, mais moi j'ai frisé l'overdose. Surtout que cela sert essentiellement de cache-misère à une intrigue finalement pauvre. Une simple chasse au trésor à la structure répétitive : un message codé permet de découvrir une clef qui ouvre un portail qui renferme un message codé, and repeat it. Les rebondissements sont convenus et se voient venir de très loin. La troisième partie de l'histoire est truffée de facilités scénaristiques qui mènent à une fin attendue

Les personnages sont tout aussi convenus. Wade est un jeune ado introverti dans la vraie vie, mais qui devient un mec cool dans la peau de Parzival, son avatar. Idéal pour que l'identification du lecteur. Si tu es une fille, rassures-toi, Art3mis est exactement le même personnage, avec une paire de seins. Mais la palme revient au méchant.
Nolan Sorrento est le président d'IOI, un société de fournisseur d'accès Internet qui aimerait mettre la main sur l'OASIS pour en rendre l'accès payant et l'inonder de publicités. Sorrento vole, ment, tue, corrompt, triche aux jeux vidéos, bref, il ne lui manque que le rire maléfique dans sa panoplie de grand méchant de bande-dessinée caricatural.
À propos, j'aurais imaginé que n'importe quelle société dans le monde, quelle que soit son secteur d'activité, aurait forcément cherché à mettre la main sur l'héritage de l'homme le plus riche du monde, mais visiblement seul IOI semble intéressé. Peu crédible.

Finalement, seul la description du fonctionnement de l'OASIS recèle quelques bonnes idées. le système éducatif imaginé par Ernest Cline repose sur des règles crédibles et cohérentes. le monde réel, quant à lui, est une dystopie assez générique comme on en a lu milles fois. En gros, la Terre est polluée, les inégalités se sont creusés entre riches et pauvres, etc. On en saura pas plus, mais de toute manière, cela n'intéresse pas l'auteur qui privilégie l'OASIS et son étalage de pop culture.

Pour résumer, je dirais que Player One est un roman écrit pour les jeunes blindé de références pour les vieux. Je n'ai pas aimé.
Lien : http://lenainloki2.canalblog..
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En voilà un bon livre pour commencer l'année ! le monde créé par Ernest Cline est tout simplement génial. En 2044, James Halliday, le créateur d'OASIS vient de mourir. OASIS c'est quelque chose d'énorme : un monde virtuel immense où il est possible d'aller à l'école, de mener des quêtes, jouer à des jeux vidéos… Chaque personne peut s'y connecter avec son avatar et y vivre sa petite vie virtuelle. C'est le cas de Wade Wyatts, jeune adolescent de 18 ans qui passe des journées entières dans l'OASIS. Il est un adorateur de James Halliday, il connait tout de lui, de son enfance à ses films, livres et jeux vidéos préférés. Quand il apprend la mort de son idole, il va se jeter dans la conquête de l'oeuf de Halliday et de la fortune qui va avec. Pour cela, il faut résoudre des énigmes à résoudre et 3 portails à ouvrir…
J'ai été époustouflée par ce livre. Quel génie, cet auteur ! Les références aux différents livres et films de science-fiction ou aux tout premiers jeux vidéos dans un monde virtuel qui parait infini, c'est tout simplement extraordinaire. J'ai aimé jouer aux consoles en son temps (Donkey Kong sur l'Atari ou Super Mario sur la Nintendo par exemple… oui Pacman aussi un peu), j'étais même passionnée, passant des heures à essayer d'arriver au boss final. J'ai un peu halluciné qu'il ait vu 5 fois tel film, joué des centaines d'heures à tel jeu…mais, c'est la parfaite définition du geek, non ?
Il m'a quand même fallu une bonne cinquantaine de pages pour vraiment apprécier Player One. Mais à la fin, je ne voulais pas en sortir. Et pourtant, le monde futuriste d'Ernest Cline n'est pas tout rose : l'humanité a privé la terre de ses principales ressources naturelles, les habitations sont des mobil-homes posés les uns sur les autres pour former des piles… Heureusement qu'il y a l'Oasis pour vivre une autre vie : une vie où il retrouve ses seuls amis, où on poursuit ses études et où il a un but. Ce livre m'a donné envie de ressortir la console, passer les niveaux consciencieusement les uns après les autres et de dézinguer quelques méchants pour délivrer la princesse.
Si vous aimez les romans d'aventures, les jeux vidéos, la science-fiction ou la fantasy ou un peu tout ça… Lancez-vous.
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Si vous ne comprenez rien aux mondes numériques, aux années 80 ou encore aux fameux oeufs de pâques dissimulés dans les jeux ou les films, passez votre chemin.
J'ai eu l'impression de lire une sorte de Neuromancien jeunesse (et avec une meilleure résolution) Je suis d'ailleurs étonnée qu'il n'en pas été fait référence à un moment du roman... Bref. C'est-à-dire que tout se déroule dans cet univers complètement virtuel qui a des impacts bien réels sur la vie des joueurs, et pas uniquement parce qu'ils ne sortent plus... Ce que comprend une firme totalitaire qui veut trouver ce fameux oeuf de Pâques caché par le concepteur du jeu, qui donne accès à l'héritage du concepteur. Beaucoup beaucoup d'argent, mais aussi la pleine maîtrise de cet univers, OASIS.
C'est une lutte contre la privatisation à outrance et la préservation de lieux de liberté et de respiration (imaginez si Lactalis voulait rendre payant tous les accès aux prés de vaches pour les promeneurs, avec en plus un peu de pubs. L'horreur, non ?) C'est une lutte pour se créer un autre monde, même si l'on sait qu'il est virtuel (cela dit, un roman aussi, non ?)
Ce n'est donc pas tant pour le style qu'il est intéressant, mais pour les messages qui y passent (un peu grossièrement parfois, certes), les réflexions qu'il peut susciter et son utilisation de la culture pop, qui est totalement assumée et plutôt bien faite.
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Enthousiasmée par le film de Steven Spielberg "Ready Player One", c'est naturellement que j'ai eu envie de découvrir le livre qui avait inspiré ce long-métrage. Et je n'ai pas été déçue.

Wade Watts, le héros adolescent de cette histoire, raconte un monde futuriste (2044) où la crise énergétique fait rage, et surtout dans lequel la majeure partie de la population vit dans une "réalité virtuelle", ou devrais-je dire "virtualité réelle" ? L'OASIS offre en tout cas l'illusion d'une vie meilleure dans ce monde sordide et permet à tout un chacun de se créer un avatar pour vivre toute sorte d'aventures.
James Halliday, créateur de cet empire, lègue à sa mort sa fortune - immense il va sans dire - à celui qui réussira à trouver un oeuf caché dans le jeu. S'ensuit la plus grande chasse à l'oeuf jamais vue, mêlant action, énigmes, tricheries et surtout énormément de jeux vidéos !
La culture geek des années 80 (décennie durant laquelle a grandi James Halliday) est vraiment mise à l'honneur et les "chassoeufs" (chasseurs d'oeuf) doivent la connaître sur le bout des doigts pour espérer progresser dans leur quête.

Non contente de m'amuser au jeu des différences entre le livre et le film (il y en a énormément, Spielberg a fait un film forcément très visuel alors que le livre est moins spectaculaire) et de me passioner pour les avancées des personnages et les retournements de situation, j'ai trouvé le concept de cette dystopie très intéressant et porteur de réflexion sur notre époque et la manière dont les réseaux sociaux peuvent empiéter sur nos vies, voire les remplacer... A méditer !
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Un vrai kif !! un pur plaisir concentré de revival de mes jeunes années (enfin plus ou moins jeunes), ce n'est pas une madeleine de Proust mais tout un paquet géant de madeleines.
Au-delà du plaisir procuré par cette liste de références culturo-geek, j'ai aussi beaucoup aimé l'histoire de cette course au trésor. Normalement je lis vite mais là j'ai été tellement emporté que je me suis rendu compte que j'avais le pied à fond sur l'accélérateur de ma propre DeLorean...
Un livre que je relirai un jour sans aucun doute, et je suis curieux et impatient de voir l'adaptation cinéma.
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