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4

sur 1910 notes

Critiques filtrées sur 2 étoiles  
Médiocre, c'est le mot qui me vient à l'esprit pour qualifier ce roman qui m'a fortement ennuyée.
Au début, pourtant, une once de suspense m'a incitée à poursuivre la lecture malgré la banalité du style .
Mais, très vite, le mystère s'estompe laissant place au voyeurisme.
Les scènes de tortures se répètent au fil des descriptions d'un quotidien fort haletant !...le potager, la coupe du bois...Pourtant, la nature omniprésente aurait pu au moins étoffer le récit en y glissant une petite touche de "nature writing", mais non ! On doit se contenter de descriptions aussi insipides que répétitives.
L'auteur s'en explique car il s'agit de la retranscription du journal du héros , Théo:
" j'ai respecté autant que possible la trame de son journal et j'ai retranscrit sa lente descente aux enfers. Ses doutes, ses tentations.
Bien sûr il aurait fallu qu'il relise, qu'il corrige.
Mais tout ceci n'est pas possible. "
Dommage pour le lecteur donc.
Pourquoi fallait-il retranscrire un journal de piètre qualité ? Remanié, il y avait matière à faire un excellent thriller !
J'ai aussi attendu une analyse de caractères plus étoffée concernant Théo et sa famille.
Le héros , pourtant , évoque un vécu récurrent de victimisation, un sentiment d'infériorité inhérent selon lui à sa place de cadet dans la fratrie, mais à part une ébauche de la personnalité de son frère Max, on n'ira pas beaucoup plus loin.
On devra se contenter des multiples allusions aux conséquences de l' alcoolisme congénital de ses ravisseurs.

A la fin cependant, l'auteur va parler plus en détail des séquelles du traumatisme de Théo.

Déçue donc car je découvre l'auteure par ce livre qui ne m'a pas plu.





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un bon livre mais qui ne restera pas longtemps dans ma mémoire. Il est vrai que l'auteur parvient à distiller la terreur au fur et à mesure du roman et la fin de l'histoire est très fidèle à ce que pourrait être la réalité. Mais je m'y suis un peu ennuyée, j'aurai aimé que l'auteur développe l'enfance des protagonistes pour connaitre les raisons de toute cette haine.
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Peut-être ai-je attaqué ce roman au mauvais moment?
Non pas que la période était mal choisie, mais il y a quelques semaines j'avais refermé "les morsures de l'ombre" de Karine Giebel avec une excellente impression, et avec ce roman de Sandrine Colette, je retombe en gros dans la même histoire, mais en nettement moins captivant, à mon avis, bien sur.
Il s'agit d'une séquestration, un huis clos oppressant. La victime est prise au piège par deux vieillards au fin fond de la campagne française. Il va y avoir un déchaînement de violence ininterrompu, et, non pas que je sois un petit être très sensible, cet épisode est beaucoup trop long.
Tout se passe dans cette maison abandonnée, et à la fin c'est redondant.
Oui, on peut se prendre au jeu et se mettre facilement à la place de la victime, qui n'a pas toujours été victime dans sa vie d'avant la séquestration.
Oui, on peut également se lasser rapidement de la répétition des actes de violence omniprésents.
Personnellement, je me suis ennuyé rapidement, tout en poursuivant la lecture, car la fin d'une histoire se trouve généralement à la fin d'un livre, c'est pourquoi la curiosité m'a emmené au bout.
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Je me suis cruellement ennuyée ! C'est long (pourtant le livre fait moins de 300 pages) et sans grand intérêt.
Si une histoire fictive de séquestration vous tente, je vous recommande vivement Séquestrée - Chevy Stevens. Et si vous souhaitez des témoignages bouleversants de séquestration, vous avez l'embarras du choix avec Michelle Knight, ou Natasha Kampusch par exemple.
Ici Théo ne m'a inspiré ni peine, ni compassion, ni même pitié. Son calvaire était chiant à lire, chiant à mourir j'ai envie de dire, et la fin était prévisible, creuse. J'ai perdu mon temps.
Théo s'en sort mais il reste prisonnier dans sa tête, en mode survivant et non conquérant, et ça m'a énervée. J'ai lu des témoignages de gens ayant vécu bien pire et pourtant s'étant reconstruit pierre après pierre.
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Quel pouvait bien être l'objectif de l'auteure en écrivant ce livre ? Ce n'est pas un thriller policier, ni même un thriller psychologique, les sentiments des vieux ne sont jamais décrits et ceux de Théo sont réduits au minimum.. Ecrire un roman d'épouvante à la Stéphane King ? malheureusement, cela n'est pas à la portée de tout le monde. Il ne se passe pas grand chose et il y a même quelques incohérences. Par exemple, un homme totalement épuisé qui tire la charrue à la place du cheval. N'importe quoi. Peut-être un roman philosophique ? Pour montrer que l'homme préfère vivre quelque soit sa vie ? Bof, La Fontaine a eu assez de quelques vers pour dire la même chose. Le mythe de Sysiphe ? Mais même si Théo tire parfois plaisir de quelques rares moments, ce n'est pas trop le sujet. Et la fin qui reste d'une banalité navrante. Théo n'est pour rien dans son sauvetage et il ne se passe rien une fois qu'il est sorti de l'enfer. Ceci dit c'est un premier roman, et le livre laisse deviner un certain potentiel alors je vais essayer un autre livre de cet auteure.
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Théo est un jeune quadra, parti se mettre au vert après quelques mois d'emprisonnement. Un coin perdu du Jura va lui permettre de se ressourcer en effectuant des randonnées sur des sentiers isolés. Au détour d'une balade, il croise 2 vieux campagnards qui l'invitent à boire un café et qui vont le séquestrer. Commence alors une véritable descente aux enfers. Théo est enfermé dans la cave, sous alimenté, battu et corvéable tel un esclave.
On assiste alors à son inéluctable déchéance physique et psychologique.La résignation sonne sa défaite.

Comment un tel roman a-t-il pu obtenir un prix littéraire ?
Il ne se passe strictement rien à l'exception de l'horreur de la déchéance de Théo.
260 pages de descriptions monotones.
Certes, il nous tarde de connaitre le dénouement mais le tout est d'une fadeur déroutante.
Autant j'avais adoré " Il reste la poussière", autant ce livre m'est tombé des mains.
A oublier au plus vite !
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 : Prenant certes mais un gros manque d'imagination et de style qui.rendent ce roman noir assez prévisible au final. Mais j'avoue que l'intrigue est efficace malgré son air de déjà-vu.
Moyen, donc. Je m'attendais à beaucoup mieux.
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Après avoir apprécié "On était des loups", j'ai voulu lire un autre roman de cette auteur, mais cette cruelle intrigue ne m'a pas convaincu, ni ému. C'est vraiment "too much", heureusement il y a la lecture rapide pour aller plus vite au dénouement ! Comme dit précédemment par un lecteur Babelio, n'est pas Stephen King qui veut !
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Livre simple à lire mais les actions sont prévisibles et un peu « too much ».

Il est court donc en petite lecture secondaire ça passe mais ce n𠆞st pas à un grand thriller, malheureusement malgré la petite taille du livre les passages sont long étant donné que ça ce passe dans un espace clos ce qui est dommage.
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déçue par ce texte beaucoup trop gore et violent pour moi ...dommage, j'avais adoré les autres romans
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