La vérité était bien qu'il n'y avait rien à quoi j'étais plus opposé que la peine de mort (...) C'était tout simplement que je croyais à l'idée qu'une société éclairée ne tue pas ses enfants.
Tout ce que Jessup a établi avec l'aide du GJP est que ce n'est pas son ADN qu'on a retrouvé sur la robe de la victime, dit-il. Et ce n'est pas au plaignant d'établir à qui appartient cet ADN.