Sans intérêt, heureusement que je l'ai empreinté à la bibliothèque sinon j'aurais de quoi me mordre les doigts d'avoir payé pour une insulte pareille.
Sans intérêt car les dessins sont dignes d'un enfant de 10 ans qui s'essaye à la bande dessinée avec ses crayons de couleurs alors que le dessinateur à sûrement voulu donner un genre différent de ce qui se fait d'habitude mais pour le coup c'est loupé.
Sans intérêt car il n'y a pas un seul texte, pas une bulle rien qu'une petite explication en quatrième de couverture et qui ne reflète même pas ce que l'ont viens de voir.
Sans intérêt car on ne sait pas si l'auteur à voulu rendre cela drôle ou gore, au final c'est drôlement gore et je dirais même plus sale et un peu pipi caca, digne d'un mélange entre Freddy Krüger et les Barbapapa.
Sans intérêt car on se demande si c'est un mec rempli de coke qui a autorisé le financement pour publier ce torchon.
Je dit rarement beaucoup de mal d'une BD ou d'un livre, souvent bon joueur, j'ai même tendance à trouver des excuses à un auteur quand il dérape du moment que quelques bon côtés ressortent de son oeuvre, mais ici je me suis senti insulté qu'on ai essayé de me vendre ce truc, c'est d'ailleurs le but de l'auteur et de l'éditeur qui lance le concept génial de prendre les lecteurs pour des vaches à lait (ah bon cela existait déjà ? Oui bon autant pourr moi, mais ici c'est le pompon).
Et donc je fait un commentaire "sans intérêt" car c'est la seule chose que cette "chose" mérite.
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J'ai souvent entendu parler de cet auteur que l'on présente dans les milieux comme le prodige de la bande dessinée de ces dernières années. J'avais déjà lu une de ses oeuvres qui ne m'avait guère convaincu. Voilà que j'ai l'occasion d'essayer de comprendre ce qui fait de lui un auteur exceptionnel avec ce nouveau one-shot au titre déjà bien pompeux.
Ma conclusion: c'est certainement un auteur exceptionnel dans la manière dont il dessine et met en oeuvre son histoire. Ici, il n'y a pas le moindre dialogue. C'est au lecteur d'imaginer. Or, c'est un exercice qui se révèle fort difficile lorsqu'on rencontre un univers absurde. C'est déjà ce qui m'avait rebuté quand j'ai découvert Là où vont nos pères. Pour moi, cela ne le fait pas, d'autant que la description de ce monde est plutôt brutale.
Un album mûr par un auteur au sommet de son art pour certains quand d'autres passeront complètement au travers. Je suis dans la seconde catégorie. Bref, ce n'est manifestement pas mon style de bd, ni d'auteur.
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La dernière bande dessinée Nicolas de Crécy dépeint un monde très noir, où le Prosopopus, créature baroque et joyeusement terrifiante, s’invite chez les désespérés. Et cette histoire muette nous laisse sans voix.
Lire la critique sur le site : Bedeo
En 1999, au milieu des clips au budget faramineux qui mettent des stars devant et derrière la caméra, une petite vidéo graphique s'échappe. Elle va à la fois définir l'ambiance visuelle de la French Touch électronique, alors en pleine ébullition, et donner le ton de la publicité pour la décennie à venir.
Dans une ville entièrement construite à l'aide de typographies mouvantes, le clip de “The Child”, du DJ Alex Gopher, réalisé par la jeune agence de pub parisienne H5, raconte une histoire visuelle et sonore, en s'inspirant de l'ambiance de l'époque. Celle de bidouilleurs d'électronique pour qui les aspects graphiques et musicaux vont de paire.
Des pubards qui clippent, des clippeurs qui réalisent des pubs, des pubs qui reprennent des concepts de clips… Qu'importe le support alors, l'idée prime et peut même être recyclée. Quelques années plus tard, “The Child” donnera “Logorama”, court-métrage d'animation sorti en 2011 et toujours réalisé par H5 : un petit film où se sont des logos de grandes marques qui forment une histoire. Une mise à jour – avec un ajout de message politique en prime – de leur concept de ville en typographie qui va rafler un oscar, un César et un prix à Cannes. Un peu comme si, finalement, c'est un clip français qui avait gagné de prestigieuses récompenses cinématographiques internationales.
La playlist YouTube des clips cités dans l'épisode 3 :
https://www.youtube.com/playlist?list=PLVqfjXoCgKbYpbasiEVulU18WbsVMISEG
Épisodes précédents :
1/ Comment un “Cargo” a placé la France sur la carte du clip
https://www.youtube.com/watch?v=isSA-gKlxmc&list=PLVqfjXoCgKbaRd0gJl2__TpyXBzCMBSSo&index=1&ab_channel=Telerama
2/ Comment un clip français a fait tomber toutes les frontières
https://www.youtube.com/watch?v=541NDNzYSTc&list=PLVqfjXoCgKbaRd0gJl2__TpyXBzCMBSSo&index=2&ab_channel=Telerama
Prochain épisode : jeudi 16 décembre, à 18h.
“Comment le clip de rap est passé du béton (des cités) au sommet (de la Tour Eiffel)”
LE CLIP FRANÇAIS
Une websérie de Télérama
ÉCRITURE ET NARRATION
Jérémie Maire
RÉALISATION
Pierrick Allain
TOURNAGE INTERVIEWS
Pierrick Allain
François-Xavier Richard
PRODUCTION
Basile Lemaire
Avec l'aide de
Thomas Bécard
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CLIPS et EXTRAITS
“Miami”, Will Smith, 1998, Wayne Isham
“La nuit je mens”, Alain Bashung, 1998, Jacques Audiard
“Ray of Light”, Madonna, 1998, Jonas Åkerlund
“The Child”, Alex Gopher, 1999, Antoine Bardou-Jacquet et Ludovic Houplain
“Logorama”, 2011, François Allaux, Hervé de Crécy et Ludovic Houplain
“Le patron est devenu fou”, Étienne De Crécy, 1996, Marie de Crécy
“Moon Safari”, Air, 1998
“Around the World”, Daft Punk, 1997, Michel Gondry
“Midnight Funk”, Demon, 1999
“The greatest album covers of jazz”, Earworm, 2018, Vox
“Une journée en enfer”, 1995, John McTiernan
“God Bless the Child”, Billie Holiday, 1956
“Flat Beat”, Mr. Oizo, 1999, Quentin Dupieux
“Night Owl”, Metronomy, 2016, Quentin Dupieux
“Flat Eric”, Levi's, 1999, Quentin Dupieux
“Crispy Bacon”, Laurent Garnier, 1997, Quentin Dupieux
“La Ritournelle”, Sébastien Tellier, 2005, Quentin Dupieux
“Party People”, Alex Gopher, 1999, Quentin Dupieux
“Commute”, Photoshop, 2020, Antoine Bardou-Jacquet
“Remind Me”, Royksopp, 2001, H5
“Expert en énergie”, Areva, 2004, H5
“Twist”, Goldfrapp, 2003, H5
“Touran train fantôme”, Volkswagen, 2007, H5
“Brainwashed (The Making Of)”, George Harrison, 2002
Cérémonie des César, 2011, Canal+
Cérémonie des Oscars, 2010
ANIMATIONS
Vecteezy
REMERCIEMENTS
H5
Translab Mastering Studios
Réalisé avec le soutien du CNC Talent
Télérama - décembre 2021
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