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Clarisse Crémer (Scénariste)
EAN : 9782413048169
216 pages
Delcourt (25/10/2023)
4.54/5   68 notes
Résumé :
87 jours pour boucler son tour du globe en solitaire ont fait de Clarisse Crémer « la femme la plus rapide du monde » mais l'album raconte avant tout une incroyable aventure humaine loin des récits de mer héroïques.
Avec Maud Bénézit (Il est où le patron ?), elles embarquent dans leur sillage les voileux comme les néophytes qui ont suivi ses aventures et les tempêtes qu'elle a traversées...
Que lire après J'y vais mais j'ai peur : Journal d'une navigatrice (BD)Voir plus
Critiques, Analyses et Avis (26) Voir plus Ajouter une critique
4,54

sur 68 notes
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J'ai du rater quelque chose :-(
Quand je vois la moyenne des notes sur cette BD, je me dis que ça doit être moi, mais j'ai eu beaucoup de mal à m'y intéresser.

Et pourtant, plus jeune j'étais passionnée de voile et je suivais les courses au large avec beaucoup d'intérêt, notamment ce Vendée Globe mythique. En plus, il s'agit ici d'une navigatrice. Cela aurait du me plaire.

Hélas, trois fois hélas, cela n'a pas fonctionné
Je n'ai pas aimé le graphisme, que j'ai trouvé trop fouillis, trop fourni aussi. Beaucoup d'informations sur certaines pages qui me décourageait quand je tournais la page pour les découvrir. Les couleurs ne m'ont pas particulièrement séduite, non plus, un peu toujours les mêmes, un peu ternes Sur un roman graphique aussi long, j'ai trouvé cela lassant.

Quant au fond, j'ai aimé certains aspects, notamment tout ce qui se passe avant la course sur le parcours de la navigatrice, et comment elle a réussi à prendre ce départ. Sur la course elle-meme, j'espérais plus d'originalité, plus de découvertes. Je n'ai pas trouvé grand chose en plus par rapport à mes lectures précédentes sur ce sujet.

Et puis, je ne vous cache pas que la polémique sur une triche possible de la navigatrice n'a pas contribué à développer mon empathie pour cette femme.
Je tiens à vous signaler que le jury réuni pour examiner le dossier a conclu que Clarisse Crémer n'avait pas triché (mis à jour le 5/3)

Surtout, si vous avez envie de lire cette BD, ne vous arrêtez pas à cet avis. Allez lire les autres, beaucoup plus enthousiastes. Un rendez-vous manqué pour moi, pas pour les autres lecteurs sur Babelio.

Merci à NetGalley et aux éditions Delcourt pour ce partage #Jyvaismaisjaipeur #NetGalleyFrance
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Ce roman graphique aurait pu aussi s'intituler : "La course du Vendée Globe pour les néophytes "...

De son enfance au début de sa vie d'adulte, Clarisse se laisse porter par les vagues d'indécision et les avis des autres . Puis le ciel s'éclaircit lorsqu'à l'occasion de ses escapades bretonnes, elle remporte un trophée de voile et elle rencontre Tanguy ,un navigateur qui part faire des transats .

Le virus est installé et fait son chemin jusqu'à ce que Clarisse décide de quitter Paris direction la Bretagne avec, elle doit bien le reconnaitre, l'envie de se retrouver seule en mer avec un bateau . La première course ancre sa décision :

"Ce temps en mer a été comme une révélation . J'étais à ma place . Pourquoi chercher ailleurs "

L'aventure commence et elle va être magnifique puisqu'elle va entrainer Clarisse quelques années plus tard à participer à cette course mythique : le Vendée Globe en 2020-2021 à bord de l'imoca "Banque Populaire ".

Tout n'arrive pas tout cuit bien entendu, entre les hésitations qui assaillent la jeune femme, elle est volontaire, courageuse mais il a toujours une petite voix qui vient insinuer le doute et qu'elle doit combattre . "J'y vais , mais j'ai peur "

La recherche des sponsors, la préparation du bateau avec une équipe de spécialistes est aussi une grosse entreprise , un défit avant même de partir en mer .

La principale partie de ce roman graphique après tout ce cheminement y conduisant concerne la course en elle même et là , on ne peut qu'admirer sa détermination, on vibre avec son bateau, on tremble face aux coups de vent, on est fier avec elle lors du passage du Cap Horn et aussi , on découvre l'ampleur de l'exploit , on l'encourage comme on peut lors de ses moments de doutes, on admire à coté d'elle les couchers de soleil ...

Cette forme choisie avec les nombreuses illustrations de Maud Bénezit permet au lecteur de mieux appréhender un bateau de ce type de course, toute la préparation autour, l'équipement à emporter, les manoeuvres à faire , les décisions à prendre pour choisir la bonne route et puis la vie à bord avec ses moindres détails : un énorme travail visiblement .
Clarisse exprime aussi ses états d'âme , les moments de déprime comme ceux d'euphorie.

L'arrivée est à la fois espérée mais également redoutée, la vie en solitaire en pleine mer transforme le marin , le met dans une bulle dont il est difficile de s'extirper , on peut même dire douloureux .

Et le retour à terre apporte aussi son lot de surprises , une tournure qui va déranger Clarisse ... elle est une femme !
La BD s'arrête là mais l'histoire continue racontée dans les dernières pages .
Lâchée par "Banque Populaire " pour cause de grossesse , elle compte bien participer à nouveau au Vendée Globe 2024 , elle aura une fan de plus car je suivrai attentivement le parcours de cette femme déterminée et qui m'a touchée .

Un grand merci à Masse Critique et aux Éditions Delcourt/Encrages
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Voici mon retour de lecture sur la bande dessinée J'y vais mais j'ai peur : Journal d'une navigatrice de Clarisse Crémer et Maud Bénézit (illustrations), que j'ai eu la chance de lire en avant-première.
Clarisse Crémer est navigatrice, elle participe à des transats en solitaire.
Un jour, on lui propose de participer au Vendée Globe 2020. le célèbre tour du monde à la voile en solitaire, rien que ça !
Un rêve, souvent impossible, pour de nombreux navigateurs et de nombreuses navigatrices.
Car, pour faire une telle course il faut du talent, de la volonté et.. de l'argent.. ou des sponsors !
Clarisse accepte de participer à l'édition 2020-2021, une année particulière car la covid-19 s'est invitée à la fête.
Malgré tout la jeune femme s'accroche. Et, non seulement elle va aller naviguer, mais en plus elle va terminer cette course mythique.
J'y vais mais j'ai peur : Journal d'une navigatrice est une excellente bande dessinée où Clarisse Crémer nous raconte l'avant course, comment elle en est venue à être navigatrice.
Puis, bien sur, la préparation et la course en elle-même.
Etant sablaise (née aux Sables d'Olonne) je connais bien la course du Vendée Globe.
Comme de nombreux écoliers, collégiens ou lycéens j'ai moi même étudié sur la course, crée en 1989. A l'époque j'avais 15 ans, on avait regardé le parcours, appris le nom des participants et j'étais allé sur les pontons. Comme mon fils des années plus tard :)
C'est une institution chez nous, il est rare qu'aucun sablais ne soit allé au moins une fois sur les pontons ; voir le départ ou l'arrivée de la course ; ou ne la suive à la télé.
Ce qui m'a plu avec cette bande dessinée, c'est le ton employé ici. Clarisse est heureuse, elle va le faire. Soyons honnête, une telle opportunité ne se refuse pas.
Mais, elle, elle ne cache pas sa peur !! Et ça, c'est rare de l'avouer.
J'ai aimé sa franchise, comment elle s'ouvre à nous.
Elle explique toutes les étapes et j'ai eu l'impression d'être réellement avec elle sur ce voilier, pendant sa course. J'ai vécu les bons et les mauvais moments.
Comme je le disais plus haut, cette course était différente car nous n'avons pas pu allé sur les pontons, le village du Vendée Globe est resté ouvert peu de temps. Interdiction d'aller voir les bateaux partir. Année 2020, une année difficile à oublier.
Pourtant la course a eu lieu, avec des temps incroyables.
A sa création il y a 35 ans, personne n'imaginait qu'un tour du monde en solitaire pourrait durer moins de 90 jours ! Une femme, faire seulement 87 jours ; à l'époque cela en aurait fait rire beaucoup ;)
Mais de nos jours les bateaux sont ultra connectés et les navigateurs maitrisent parfaitement leurs outils.
J'ai adoré cette bande dessinée. Il est vrai que je manque peut-être un peu d'objectivité car j'aime cette course. Et j'apprécie énormément la navigatrice Clarisse Crémer. Cette année, j'espère qu'on pourra aller sur les pontons avant la course et qu'elle sera sur son voilier :)
Sa collaboration avec Maud Bénézit, que je découvre avec cet ouvrage, est une réussite. J'ai beaucoup aimé les illustrations et la colorisation.
J'y vais mais j'ai peur : Journal d'une navigatrice est une très bonne surprise que je vous invite à découvrir et note cinq étoiles.
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J'ai vogué, j'ai navigué, j'ai éprouvé la solitude avec bonheur, j'ai pleuré… de joie et de colère, j'ai eu des doutes, des moments de frayeur mais surtout surtout beaucoup de plaisir à accompagner Clarisse CREMER lors de sa course autour du monde en solitaire, la plus mythique de toute : le Vendée Globe.

Cela ne s'est pas fait sans mal. Déjà il fallait y penser, puis y croire, puis trouver des sponsors, puis le Covid est arrivé, puis puis puis… enfin le départ tant attendu.

Les dessins de Maud Bénézit accompagnent superbement bien les états d'âme de Clarisse CREMER à chacune de ses étapes, ses manoeuvres, réussies ou pas, les réparations, ses états psychologiques, son mental, avant et lors du départ, lors de sa navigation au long court, et lors de son arrivée. Toute cette aventure y est décrite par le menu et avec beaucoup d'humour aussi. On est avec Clarisse CREMER tout au long de son parcours.

Puis une fois revenue sur terre, il a fallu reprendre pied, se réhabituer aux autres. Se cabrer, car on est considérée comme « une femme qui a réussi » alors que l'on est avant tout un MARIN. Pourquoi faire une différence ? Une course est une course : « Dans notre sport, il n'y a pas de classement féminin. C'est un des rares sports mixtes. Et pourtant il semble exister à chaque arrivée de course un classement féminin officieux et parallèle. Je me retrouve recorwoman car on prend comme caractéristique principale le fait d'être une femme ».

Il reste bien du chemin à faire encore avant d'être considérée non pas comme « femme » mais pour nos performances au même titre que les « hommes », sans qu'on nous rappelle sans cesse que nous sommes « une femme ».

Clarisse CREMER s'interroge également sur la pollution en mer, des OFNI, déchets en mer, des problèmes des bateaux sur les cétacés qui rentrent en collision avec eux et qui sont blessés. Elle est consciente de tout cela et culpabilise parce qu'elle participe à cet état en partant sur la mer avec un bateau fait de matériaux énergivores. Cela fait réfléchir et peut être aussi une avancée pour les prochaines courses et l'amélioration que l'on peut apporter aux compétitions.

Superbe BD à mettre dans toutes les mains des futures aventurières d'aujourd'hui et de demain.
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Ce roman graphique, dans son organisation, absence de cases délimitées, sans véritables bandes, avec dessins et plans légendés, est en tout premier lieu le journal de bord, le carnet de voyage , le journal intime de la navigatrice Clarisse Crémer.
Clarisse va s'associer à la bédéaste Maud Bénézit pour nous raconter son parcours, celui d'une jeune femme devenue marin au long cours. Elle nous propose ici un récit au ton très personnel, loin des stéréotypes.
Nous la rencontrons pour la première fois en 1999, elle a neuf ans et contrairement à ses camarades de classe, n'a aucune vocation particulière. Après une excellente scolarité, elle entre à HEC et diplôme en poche devient « Start Up Nation Communicante ». Mais cette vie ne lui convient pas et elle s'échappe autant que possible pour retrouver ses amis en Bretagne, dont Tanguy, avec qui elle découvre la voile. En 2015 elle quitte Paris et ce qui n'était qu'un hobby va devenir un travail à temps plein. Après de quelques « petites courses » qu'elle remporte telle la Mini-Fastnet en 2017 avec Erwan le Draoulec, puis la Transgascogne qu'elle remporte en solitaire, elle termine 2ème de la Mini Transat. C'est en 2019 qu' elle prend la barre de l'Imoca Banque populaire, avec lequel elle termine 12e au Vendée Globe 2020-2021 en 87 jours 2 heures et 24 minutes, signant ainsi la meilleure performance féminine de l'histoire de cette course, battant par là même Ellen Mac Arthur. En 2023, après sa maternité, son sponsor Banque populaire choisit de l'écarter. Après la polémique que cela soulève, Banque Populaire annonce le 17 février 2023 qu'il se retire du Vendée Globe . C'est grâce à ses sponsors actuels et en particulier l'Occitane en Provence que Clarisse peut aujourd'hui encore rêver du Vendée Globe 2024 et avoir un regard apaisé sur cette aventure.
Cet album retrace essentiellement les circonstances qui l'amènent à participer au Vendée Globe 2020-2021, prestigieuse course en solitaire. C'est véritablement son journal de bord qui est mis en dessins par Maud Bénézit qui a su retranscrire avec sensibilité le quotidien à bord de Clarisse durant ces 87 jours de lutte contre les éléments, les avaries à réparer seule, les choix cruciaux à faire, le manque de sommeil, les moments de doute ou de tristesse mais aussi les moments d'euphorie, de communion avec son bateau et l' immensité bleue. Cette course au long cours est un défi physique qui est également propice à l'introspection, à un voyage intérieur que Clarisse nous livre ici. Elle se livre avec humour, honnêteté et une humilité permanente qui confine au syndrome de l'imposteur, comme si elle s'excusait d'être là alors qu'elle n'a pris la place de personne.
Clarisse détaille sa préparation physique, mentale et l'apprentissage de la navigation sur ce géant des mers, commencés plus d'un an avant la course. Elle évoque également la pollution des mers et des océans par ces OFNI ( Objets Flottants Non Identifiés) qui sont de véritables dangers pour les bateaux et pour la faune marine.
Une belle place est faite en fin d'album concernant le regard sur les femmes dans ce milieu encore majoritairement masculin. Chaque interview évoquait son sexe et non pas ses qualités de navigatrice. Elle aurait aimé un traitement identique à celui des hommes et ne pas être la première femme à passer la ligne d'arrivée mais un marin comme les autres à franchir la ligne à la douzième place. En 2023 sa grossesse lui a montré qu'un évènement n'a pas du tout les mêmes conséquences pour les hommes que pour les femmes !
Avec une narration fluide, un dessin épuré et l'utilisation de l'aquarelle qui sublime la beauté des océans et des couchers de soleil, on a vraiment l'impression d'être embarqué avec Clarisse sur cette coque de quelques centimètres au milieu des océans comme le résume très bien la couverture de l'album.
Nous avons ici un récit authentique et prenant. L'arrivée de Clarisse aux Sables d'Olonne après toutes les épreuves qu'elle a vécu et son étonnement de voir qu'elle est attendue par une foule immense est vraiment un moment de lecture émouvant qui nous fait monter les larmes aux yeux tellement on a l'impression d'avoir vécu tout cela avec elle.
« J'y vais mais j'ai peur » plaira aux passionnés de la mer comme aux curieux qui voudront découvrir la mythique course du Vendée Globe vécu de l'intérieur.

« Lu dans le cadre du Prix Orange de la BD 2024. Je remercie Lecteurs.com ainsi que les Editions Delcourt/ Encrages pour cet envoi. »
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critiques presse (2)
LigneClaire
13 février 2024
On apprend, on découvre que la voile c’est bien à l’arrivée mais que c’est un sport de très haut niveau où le mental est primordial plus le côté Mac Gyver en prime. Un bonne dose d’humour, d’autodérision, de franchise et de simplicité, il faut monter à bord avec Clarisse.
Lire la critique sur le site : LigneClaire
BDGest
02 février 2024
Cette visite dans les coulisses de cette discipline est, en général, très intéressante et instructive. Malheureusement, de nombreuses longueurs alourdissent également l'ensemble et il est probable que quelques coupes sur les deux cents planches auraient été bénéfiques.
Lire la critique sur le site : BDGest
Citations et extraits (6) Voir plus Ajouter une citation
Si on y pense très fort, on arrive un tout petit peu à appréhender l'infini. En général, ça nous file les chocottes ou un immense vertige ! Mais quelques minutes après on revient sur Terre et on recommence à vivre comme si de rien n'était. La peur fait partie de l'aventure, elle est là en toile de fond... Mais on la laisse planer un peu plus loin !
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« Comment est-ce possible que je sois là ? Emmenée si loin de tout, dans cette contrée extraordinaire, par la force du vent, la robustesse de mon bateau et la volonté de mon esprit. Je trouve cela merveilleux et absurde. »
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On ne peut pas rajouter de jours à sa vie mais on peut rajouter de la vie à ses jours !
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J'étais dans un équilibre parfait entre moi, mon bateau, la mer, et j'oserais même dire...l'univers
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Quand je serai grande, je serai adulte ! Et là je saurai ce que je veux faire. Logique.
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Videos de Maud Bénézit (3) Voir plusAjouter une vidéo
Vidéo de Maud Bénézit
Avec un grand sens de l'engagement et beaucoup d'autodérision, Clarisse Crémer raconte l'aventure de son record lors du Vendée Globe 2020, sans rien cacher de ses doutes, ses efforts et de ses joies ! 87 jours pour boucler son tour du globe en solitaire ont fait de Clarisse Crémer « la femme la plus rapide du monde » mais l'album raconte avant tout une incroyable aventure humaine loin des récits de mer héroïques. Avec Maud Bénézit (Il est où le patron ?), elles embarquent dans leur sillage les voileux comme les néophytes qui ont suivi ses aventures et les tempêtes qu'elle a traversées...
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