« […] je me souviendrai peut-être de cet instant comme l’un de ces fils minuscules, une fragilité suspendue à une toile d’araignée, un grand écart entre deux pans de vie, la jambe droite allongée pour gagner une rive alors que la gauche ne parvient pas à quitter l’autre, un millimètre qui nous sépare de l’ici et de l’ailleurs, une fraction de temps dans l’angle mort du monde. »
Un corps carbonisé dans un vieux phare du cap Fréhel. Une course à la mort... >Voir plus