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Queen Betsy - Intégrale tome 1 sur 3
EAN : 9782811212056
540 pages
Milady (22/05/2014)
4.2/5   5 notes
Résumé :
Livre 2 en 1 : 1er et 2e tomes de la série de Queen Betsy

À son réveil à la morgue, Betsy Taylor, fashionista addict aux chaussures, découvre qu'elle est un vampire. Mais en plus de devoir s'habituer à son régime à base de liquide, elle va devoir expliquer à ses nouveaux amis nocturnes qu'elle n est pas leur reine !
Entre son job de vendeuse chez Macy's et son statut de reine des vampires, Betsy n'a plus une minute à elle. D'autant qu'une série... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (2) Ajouter une critique
Qu'est-ce que j'ai ri ! A haute voix la plupart du temps d'ailleurs, avec des passages qui m'ont emmenée au bord du fou rire ! A ne pas lire dans les transports en commun si on ne veut pas attirer l'attention…

Queen Betsy est un savant mélange de bit-lit et de chick-lit. Pour faire plus simple, c'est comme si L'accro du shopping était devenue vampire.

L'écriture, résolument moderne, nous dévoile la vie et les pensées de Betsy, diminutif d'Elizabeth (Taylor, oui oui, ça ne s'invente pas), devenue vampire à la suite d'un accident. Tout cela pourrait être anecdotique si Betsy ne se réveillait pas d'entre les morts avec des facultés incroyables qui correspondent à une vieille prophétie la désignant comme la reine des vampires…

J'ai vraiment adoré ce roman que j'ai dévoré aussi rapidement que Betsy avale ses repas. C'est dynamique et très drôle (je l'ai déjà dit non ?), même si l'intrigue n'est pas très fouillée et qu'il est facile de deviner la suite, je me suis laissée emporter dans cet univers original à l'héroïne aussi agaçante qu'attachante.

Je suis contente d'avoir eu entre les mains ce volume double réunissant les tomes 1 et 2 car il est vraiment facile d'enchainer les deux. Et maintenant, il me faut la suite !

Une belle découverte !
Lien : http://dorisbouquine.canalbl..
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C'est sympa à lire. le personnage de Betsy est complètement déjantée et cela donne des situations parfois assez risible.
C'est une histoire de vampire pas trop sanglantes, pas trop méchantes. C'est rigolo et cela peut parler à un public féminin jeune.
C'est distrayant et cela fait son office.

Lien : https://letmentertainyou.com..
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Citations et extraits (5) Ajouter une citation
Le jour de ma mort commença mal et empira dans la foulée.

Comme j’avais un peu trop appuyé sur le bouton de rappel de mon réveil, je fus en retard au boulot. Après tout, qui ne serait pas tenté par neuf minutes de plus de sommeil ? Personne. C’est la raison pour laquelle je me réveille pratiquement toujours en retard. Stupide bouton de rappel !Pas le temps de prendre mon petit déjeuner. Du coup, j’engloutis deux barres de céréales au chocolat en attendant le bus. Miam-miam… du chocolat ! Ma mère aurait approuvé (de qui pensez-vous que je tienne cette satanée dépendance ?), mais un nutritionniste m’aurait assommée avec sa bible des calories.Le bus était, bien évidemment, en retard. Les transports en commun du Minnesota sont fabuleux ! Six bus pour une zone de deux cent cinquante mille habitants. Lorsqu’ils ne sont pas en retard, ils sont en avance. J’ai cessé de compter le nombre de fois où je suis sortie de chez moi juste à temps pour le voir disparaître au coin de la rue. Des horaires ? Quels horaires ?Lorsqu’il arriva enfin, en retard comme toujours, je montai à l’intérieur pour m’asseoir… sur du chewing-gum ! À la réunion de 9 heures (à laquelle je me pointai à 9 h 20), j’appris que la récession (celle-là même dont les économistes avaient refusé d’admettre l’existence pendant des années) m’avait touchée entre les deux yeux : on m’avait virée. Ce n’était pas inattendu (les derniers profits de ces chers vieux Hamton et Fils remontaient à mes années de lycée), mais ça faisait mal. Perdre son boulot est la pire chose qu’il puisse vous arriver. Parce que ça veut dire qu’on ne veut pas de vous. Peu importe que les raisons soient personnelles, financières ou même pratiques. On ne veut pas de vous, point final. Après s’être rendu compte environ un an trop tard qu’ils devaient réduire leurs dépenses, Hamton et Fils avaient décidé que la solution à leur problème était de licencier le service administratif, et non pas, par exemple, de baisser les salaires à cinq zéros des cadres supérieurs : ainsi, les employés de bureau et les secrétaires n’avaient pas été jugés indispensables. Mais nous aurions notre revanche ! Sans nous, ces imbéciles n’auraient même pas été capables d’envoyer un fax, et encore moins de diriger une entreprise.
Sur cette pensée agréable, je vidai mon bureau en faisant semblant de ne pas remarquer les regards fuyants de mes collègues. Puis, je me dépêchai de rentrer chez moi, non sans m’autoriser un détour par le Dairy Queen pour commander un milk-shake à la myrtille. Rouges-gorges, herbe fraîche, réouverture saisonnière du Dairy Queen… Aucun doute : le printemps était bien là ! Alors que je franchissais le pas de ma porte, paille à la bouche, je m’aperçus que le témoin lumineux de mon répondeur me faisait de l’œil, comme l’aurait fait un petit dragon noir. C’était un message de ma belle-monstre et, à en croire le raffut en bruit de fond, elle appelait du salon de beauté :

— Ton père et moi, nous ne pourrons pas venir à ta fête ce soir… J’ai commencé un nouveau traitement et je… On ne peut pas. C’est tout. Désolée. (Bien sûr, comme si j’allais croire ça ! Sale garce !) Amuse-toi sans nous ! (Aucun problème.) Peut-être que tu rencontreras quelqu’un ce soir…
Traduction : peut-être qu’un bon à rien acceptera de t’épouser.
Depuis notre première rencontre, ma belle-monstre ne m’avait jamais considérée que d’une seule façon : une rivale à l’affection de son nouveau mari. Pire, elle n’hésitait pas à jouer la carte de la dépression pour ne pas participer à ce qui me tenait à cœur. Cela avait cessé de me tracasser une semaine après notre rencontre, je supposai donc que c’était aussi bien ainsi. Comme j’allais à la cuisine pour nourrir ma chatte, je me rendis compte qu’elle s’était encore échappée. Ah ! Ma Giselle (enfin, je suis plutôt sa Betsy à elle) ! Toujours en quête de nouvelles aventures ! Je jetai un coup d’œil à l’horloge. Oh ! là, là ! Même pas encore midi ! Bon, il ne me restait plus qu’à faire la lessive et à pleurer toutes les larmes de mon corps, et la journée serait parfaite !

Joyeux anniversaire moi-même !
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- Avant toute chose, me coupa-t-il avec un sourire d'une insolence féline, rappelle-toi ce dont je t'ai parlé au café l'autre jour.
J'avais un mauvais préssentiment. Je m'approchai d'une commode près de la fenêtre. Elle était plus grande que moi.
- Qu'est-ce que c'était?
Il me suivit.
- Je t'avais promis de t'aider... à condition que tu me laisses mettre quelque chose dans ta bouche. (Il me saisit par les épaules pour me forcer à lui faire face.) Tu as le choix, bien sûr, mais j'espère que... Qu'est-ce que c'est?
- Un de tes mouchoirs, répondis-je en le sortant du tiroir du haut. (Je le fourrai dans ma bouche avant de l'avaler.) Où est la salle de bains? articulai-je difficilement. Je vais être malade.
Il m'observa un long moment avant d'éclater de rire. Il étais tellement secoué de spasmes qu'il eut du mal à m'indiquer la direction de la salle de bain, si bien que je faillis ne pas arriver à temps.
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- Et maintenant, j'ai des devoirs ! S'il te plait, laisse-moi lire tout ça. Je reviendrai demain soir. Tu auras le droit de me poser des questions !
- Vraiment ? Et à chaque faute, quelle sera ta punition ?
- Euh...
- Un baiser ?
- Seulement en rêve.
- Je savais que tu rêvais de moi.
- Arrête de frimer ! Je m'en vais, rétorquai-je sèchement avant de me diriger vers la porte.
Je lui donnai un coup d'épaule pour qu'il me laisse passer, mais Sinclair ne bougea pas d'un millimètre, même quand je m'appuyai contre lui de tout mon poids. Alors, je dus me faufiler entre le mur et lui, sachant pertinemment qu'un sourire moqueur illuminait son visage.
- Oh ! et je t'emprunte une voiture ! lançai-je par-dessus mon épaule.
Son expression s'assombrit. Bien fait !
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-Leçon n°1: les vampires n'existent pas.
- Eh bien la leçon n°1 est complètement stupide!
-Ca signifie simplement que nous devons tenir nos agissement secrets.
-Pourquoi ?
-Parce que c'est la règle.
-Pourquoi ?
Il s'arrêta, exaspéré.
-Vraiment, Elizabeth, j'ai l'impression de m'adresser à une enfant de maternelle.
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- Tu es superficielle, tu ne penses qu'à ton propre plaisir, tu aimes tes précieuses possessions, tu ne saurais te passer de confort...
- C'est toi qui dis ça ? Monsieur Je-dors-dans-des-draps-de-satin ?
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