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Critiques filtrées sur 1 étoiles  
Après « Cosmopolis » que j'avais lu avec un effort soutenu, « L'homme qui tombe » a été une nouvelle fois pour moi, une vraie torture. Celui qui est adulé, vénéré comme un des grands auteurs de son temps m'est complètement indifférent.
L'écriture sublime semble être là, le choix de déstructurer son récit évident, pourtant je n'y arrive pas. Blocage pur et dur, c'est surement formidable, mais pour moi c'est un supplice. Tandis que Don DeLillo fait avancer son histoire, moi je fais de constants retours en arrière pour tenter de m'y retrouver. Pourtant le sujet était tentant, je me suis accroché (comme pour « Cosmopolis ») mais ma volonté à des limites. Je les ai malheureusement trouvées avec Don DeLillo.
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Arg ! Quelle lecture éprouvante ! J'ai tout bonnement détesté ce livre que j'ai parcouru en diagonale de chez diagonale sur plus de la moitié tellement c'était chiant (j'ose le dire !). Je ne m'attendais absolument pas à ça, la prochaine fois je ne me force même plus à finir… Ah ben non, y'aura pas de prochaine fois, je vais immédiatement me débarrasser de la chose ! Je ne sais pas si l'auteur a voulu montrer la désorientation et le n'importe quoi des jours d'après le 11 septembre, mais l'écriture est floue, on ne comprend rien et surtout, on n'a pas envie de comprendre. Rien ne vient titiller ni notre imagination, ni notre corde sensible, les personnages sont insipides, rien n'accroche le lecteur. Bref, il est temps d'oublier tout ceci…
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Ce n'était plus des rues, mais un espace de pluies de cendres et de fumée, dans une nuit en plein jour. Des gens saignaient de partout cherchant un abri. D'autres tombaient des fenêtres brisées. L'odeur de kérosène envahissait l'air. Des cris et des sirènes incendie interrompaient ce triste silence. Il y avait aussi tous ces gens qui sortaient des rues, qui découvraient l'horrible spectacle. Et ceux qui allaient au devant de ceux qui sortaient de cette fournaise, en leur donnant des bouteille d'eau ...
C'était ce que vivait Keith, un homme que l'auteur nomme, enfin, après avoir lu plus de 50 pages.

Livre non fini, arrêté à la page 50, car vraiment épuisant à lire. Ce qui je n'aime pas du tout faire. Quand je lis un livre, mon but et d'aller jusqu'au bout, afin de cerner le style de l‘auteur. Et bien souvent, c'est ce qui me fait aimer un nouvel auteur. La découverte d'un nouveau style littéraire peut être amusante, mais dans ce roman, le style littéraire est très difficile à suivre, avec de longues phrases et peu compréhensibles. Dès les premières pages, j'ai dû relire plusieurs fois les phrases pour essayer d'en comprendre le sens.
L'histoire de ce livre est comme le style littéraire, très décousu. Beaucoup de paragraphes parlent d'un personnage sans nom, que l'on a dû mal à associer dans les autres paragraphes. Il y a aussi beaucoup de personnages dont on a beaucoup de mal à suivre et à associer avec les paragraphes.
Désolée pour l'auteur qui avait choisi un thème très sensible sur cette terrible journée du 11 Septembre 2001.
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Une fois n'est pas coutume, je ne donnerai pas d'avis. En effet, je ne pense rien de ce livre, parce que je n'y ai rien compris. Il ne m'a ni plu ni déplu. Je n'ai pas compris ce que l'auteur voulait dire, et de quoi il voulait parler.

C'est bien écrit, mais tellement déstructuré qu'on ne comprend rien. Les personnages arrivent comme ça, sans crier gare. On ne sait que tardivement qui ils sont et ce qu'ils font…ce qui obligent à retourner inlassablement en arrière pour tenter d'y voir clair.
C'est le chaos, le désordre…et je ne m'y retrouve pas, je perds pied.
J'en ai lu 130 pages…presque la moitié, et je suis incapable de dresser une trame à ce que j'ai lu.
En somme je n'ai pu qu'aligner des mots les uns derrière les autres sans pouvoir y donner un sens.
Dommage, j'y ai mis du temps, et de l'énergie.

Lien : http://leblogdemimipinson.bl..
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Keith marche dans les rues de New York, une mallette à la main. Il vient de quitter son bureau situé dans l'une des tours du World Trade Center, qui n'est plus qu'un tas de cendres, de métal et de chair. Keith avance tel un robot, en état de choc, s'accrochant à cette mallette qui ne lui appartient pas. Ses pas le mènent chez sa femme dont il est pourtant séparé, et pour cette dernière le choc est double de voir son mari trouver refuge chez elle après être sorti vivant de cet enfer.

Nous sommes le 11 septembre, et pour tous les protagonistes de ce roman, le temps va se figer durablement à cette date. Keith, son fils, son épouse et les malades d'Alzheimer pour lesquels elle anime des ateliers d'écriture… tous sont choqués et expriment à leur manière ce traumatisme.

Malheureusement, après un premier chapitre saisissant où l'écriture mécanique rend à la perfection l'état de stupeur du héros, l'action se fige et ne progresse pas. le temps s'écoule entre les parties de poker de Keith, les ateliers d'écriture de son épouse et les jeux du fils avec ses copains. L'homme qui tombe - qui donne son titre au livre - est un artiste de rue qui n'intervient que très peu. Mais il n'est pas le seul à tomber…tous ces hommes et ces femmes sont en chute libre et font penser à des zombies. Pas tout à fait morts mais plus complètement vivants.

D'où une impression de lenteur, de léthargie, qui m'a envahie dès le second chapitre et ne m'a plus quittée avant le dernier, où le lecteur se retrouve plongé dans l'avion juste avant qu'il ne percute la tour dans laquelle travaille Keith. Comme le premier, ce chapitre est saisissant… et m'a d'autant plus fait regretter la lenteur de l'ensemble.
Lien : http://tassedethe.unblog.fr
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Prsentation du livre dans l'émission un livre un jour http://www.ina.fr/art-et-culture/litterature/video/3636914001/don-delillo-l-homme-qui-tombe.fr.html
Lien : http://www.ina.fr/art-et-cul..
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Abandon! Trop décousu à mon goût.
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