Robinson Crusoé

Robinson Crusoé, un grand classique international.
Satisfaite de l'avoir lu car c'est un classique et je n'en connaissais que les grandes lignes.
Cependant je me suis ennuyée quasiment tout du long. Je trouve que c'est mal raconté, c'est très factuel et un peu décousu.

Le titre complet, traduit en français, de l'ouvrage est « La Vie et les Aventures étranges et surprenantes de Robinson Crusoé de York, marin, qui vécut vingt-huit ans sur une île inhabitée sur la côte de l'Amérique, près de l'embouchure du grand fleuve Orénoque, à la suite d'un naufrage où tous périrent à l'exception de lui-même, et comment il fut délivré d'une manière tout aussi étrange par des pirates. Écrit par lui-même ».

C'était un classique que j'avais peur de découvrir ; cependant, les premières pages m'ont immédiatement rassurées. Daniel Defoe ambitionne en effet dès le départ de proposer un roman d'aventure mettant en exergue le sens pratique d'un jeune anglais de son époque incapable de savoir ce qu'il a vraiment envie de faire de sa vie. Ainsi, quoi de mieux que se perdre pour se trouver ?
Je ne me suis pas ennuyée une seconde en découvrant ce roman culte, même si j'aurais aimé davantage de profondeur quant à l'exploration de la psychée de Robinson sur son île, face à la solitude.
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Dans ce livre on trouve beaucoup d'aventures et de mystères. Il y a plusieurs personnages ,comme Robinson Crusoé, Vendredi son serviteur, et ses animaux. Cette aventure se passe sur une ile. Mais bien avant d'arriver sur l'ile, Robinson Crusoé est sur un bateau, et son bateau fait naufrage. Alors Robinson Crusoé essaie de survire sur l'ile. Mais il fait plusieurs découvertes en marchant : il voit des traces de pieds se demande ce que c'est. Il décide de les suivre et trouve vendredi. Il lui donne a manger, l'habille et Vendredi devient son serviteur. Mais un jour , des bateaux arrivent sur l'île pour les libérer...
L'intéret de ce livre est qu'il est très émouvant je pense que si vous aimez les d'aventures c'est fait pour vous!

Robinson Crusoé est un jeune garçon qui habite au Nord de l'Angleterre. Il est né en l'an 1632. Il est rebelle et ne veut pas écouter les paroles de ses parents. Il monte alors sur un bateau ( celui de son copain ), puis part en direction de Londres. Sur la route, une tempête s'abat sur sur le bateau, mais ils arrivent finalement à destination. Il repense alors aux paroles de ses parents. Quelques années plus tard dans un voyage pour la Guinée il y a une nouvelle tempête, mais le vaisseau ne résiste pas et s'échoue sur un banc de sable. Non loin de là il y a une île . Ses compagnons veulent l'accoster. Seul Robinson survit à la traversée. Les années passent et il s'adapte à l'île, il construit plusieurs demeures dont un "château fort". Ensuite plusieurs canoë abordent l'île de Robinson. Les sauvages veulent manger 4 prisonniers. L'un d'eux a réussit a s'échapper.
Robinson l"'adopte" et le nomme Vendredi , Robinson lui apprend donc à fair toutes les choses utiles. Lors d'un nouvel abordage par d'autres sauvages, Vendredi retrouve son père.

En résumé, ce livre parle d'une aventure mais j'ai trouvé ce livre très ennuyeux car il n'y a, a mon gout , pas assez d'action.
Bonne lecture !

Quasiment trois décennies seul sur une île, à douter de tout sauf de Dieu, à finalement avoir trouvé la plénitude et le bonheur qui seraient complètes s'il avait de la compagnie, et à la première occasion le voilà qui se barre massacrer des indigènes sans le moindre état d'âme. Que lui faut-il, pour apprendre ? Que lui aurait-il fallu, pour arriver à la sagesse d'un prince exilé Sibérien, qui refuse lui de revenir aux frasques du monde car il sait avoir trouvé la paix dans son exil ? Quelle cohérence, même, dans les réflexions de Robinson, stoïque et laborieux 30 années sur son île, se refaisant colonisateur, orgueilleux et indolent pour les 30 suivantes ? La première partie du roman, celle passée à la postérité, n'était donc qu'une vaste hypocrisie ?

Incroyable, ce livre dépeint à lui seul, l'essor de la civilisation. On passe du chasseur-cueilleur à l'élevage à l'esclavage. On y côtoie un homme plein de doutes sur sa foi, prenant son éducation religieuse à bras le corps, sans l'aide de l'église. Un homme qui finit par avoir un empire, celui-ci ne l'intéresse guère car il a compris que plus, n'est pas toujours mieux. Une leçon de vie.

Quasiment 30 ans sur une île, à douter de tout sauf de Dieu, à finalement avoir trouvé la plénitude et le bonheur qui seraient complètes s'il avait de la compagnie, et à la première occasion le voilà qui se barre massacrer des indigènes sans le moindre état d'âme. Que lui faut-il, pour apprendre ? Que lui aurait-il fallu, pour arriver à la sagesse d'un prince exilé Sibérien, qui refuse lui de revenir aux frasques du monde car il sait avoir trouvé la paix dans son exil ? Quelle cohérence, même, dans les réflexions de Robinson, stoïque et laborieux 30 années sur son île, se refaisant colonisateur, orgueilleux et indolent pour les 30 suivantes ? La première partie du roman, celle passée à la postérité, n'était donc qu'une vaste hypocrisie ?

Un mythe à lire au moins une fois. Bémol: les péripéties de Robinson avant et après son séjour sur l'île sont plutôt ennuyantes.

une de mes 1ères lectures forcément génial