j'aime bien ce livre car ça parle d'aventure, mais pour moi il y a trop de pages (394pages)
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Un bon livre dans sa base, mais la progression du héros est un peu lente et ennuyeuse. J'adore les histoires de survie mais celui ci a été un epu pénible à avaler.
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Une lecture qui m'a beaucoup marquée dans mon enfance et dont le héros m'a inspiré de nombreuses rêveries d'autarcie.
Je ne suis pas sûre en le relisant adulte que j'y trouverais les mêmes choses.
Mais c'est une référence incontestable pour tous les récits de survie à venir par la suite !
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Alors que je m'attendais davantage à un roman d'aventure, j'ai été dérangé par le caractère désuet du personnage et des moeurs en cours à l'époque. Pourtant, l'ouvrage aborde des concepts qui méritent de s'y intéresser de plus près.
Finalement, j'en retiens surtout un panorama d'une époque de colonisation. Un roman qui a mon sens a mal vieilli.
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Je les priai de me dire, quant à eux, ce qu'ils avaient à alléguer pour que je ne les fisse pas exécuter comme des pirates pris sur le fait, ainsi qu'ils ne pouvaient douter que ma commission m'y autorisât.
Un d'eux me répondit au nom de tous qu'ils n'avaient rien à dire, sinon que lorsqu'ils s'étaient rendus, le capitaine leur avait promis la vie, et qu'ils imploraient humblement ma miséricorde. - « Je ne sais quelle grâce vous faire, leur repartis-je : moi, j'ai résolu de quitter l'île avec mes hommes, je m'embarque avec le capitaine pour retourner en Angleterre ; et lui, le capitaine, ne peut vous emmener que prisonniers, dans les fers, pour être jugés comme révoltés et comme forbans, ce qui, vous ne l'ignorez pas, vous conduirait droit à la potence. Je n'entrevois rien de meilleur pour vous, à moins que vous n'ayez envie d'achever votre destin en ce lieu. Si cela vous convient, comme il m'est loisible de le quitter, je ne m'y oppose pas ; je me sens même quelque penchant à vous accorder la vie si vous pensez pouvoir vous accommoder de cette île. » - Ils parurent très reconnaissants, et me déclarèrent qu'ils préféreraient se risquer à demeurer en ce séjour plutôt que d'être transférés en Angleterre pour être pendus : je tins cela pour dit.
Néanmoins le capitaine parut faire quelques difficultés, comme s'il redoutait de les laisser. Alors je fis semblant de me fâcher contre lui, et je lui dis qu'ils étaient mes prisonniers et non les siens ; que, puisque je leur avais offert une si grande faveur, je voulais être aussi bon que ma parole ; que s'il ne jugeait point à propos d'y consentir je les remettrais en liberté, comme je les avais trouvés ; permis à lui de les reprendre, s'il pouvait les attraper.
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je vais le lire mais je le pense facinant
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