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3,78

sur 1572 notes
Un thriller psychologique glaçant traduit dans 37 langues et bientôt adapté au cinéma… Ca faisait longtemps que je n'avais pas lu ce genre de livres que je n'affectionne pas plus que ça mais j'avoue avoir eu du mal à le lâcher avant la fin. le récit est basé sur une alternance de chapitres intitulés : « Avant : Emma » « Maintenant : Jane ». On suit l'histoire croisée de ces deux jeunes femmes à quelques années d'intervalle. Leur point commun est la maison qu'elles louent, le One Folgate Street, qui est très particulière. Elle a été créée par Edward Monkford, un célèbre architecte minimaliste qui a voulu un intérieur totalement épuré, très peu de meubles, des placards invisibles, très peu de cloisons, le tout entièrement informatisé et géré par une application nommée « housekeeper » (un bracelet permet par exemple à la maison de reconnaître la locataire et déclenche automatiquement la douche à la bonne température quand elle y entre). Mais pour louer cette maison il faut répondre à un questionnaire très long et très intrusif puis plaire à l'architecte car n'importe qui ne peut pas avoir le privilège de vivre dans un tel lieu. Cet architecte est à la fois très séduisant et très inquiétant, comme sa maison, et les deux jeunes femmes vont tomber sous son charme. Assez vite Jane comprend qu'Emma a connu une fin tragique au One Folgate Street et l'angoisse commence à monter chez le lecteur qui se lance avec elle dans une enquête sur cette mort troublante : qui était Emma ? S'est-elle vraiment suicidée ? La maison et son architecte ont-ils joué un rôle dans son décès ? Autant de questions qui vont vous tenir éveillés très tard si vous avez le malheur de le commencer un soir…
Lien : http://monpetitcarnetdelectu..
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Une adresse : One Folgate Street, à Londres. Une construction très particulière, l'oeuvre d'un architecte aussi mystérieux que séduisant, qui recrute ses locataires sur tests et photos.
Le roman suit les destins croisés de deux recrues, qui pour le meilleur et surtout pour le pire ont gagné le droit d'occuper la maison.
Alternance de chapitres, à la première personne malgré l'alternance des voix :
Avant : Emma.
Maintenant: Jane.
Les deux jeunes femmes sont à la fois semblables et différentes. le quotidien de Jane, qui prend une tournure inquiétante, la conduit à enquêter sur la vie de sa prédécesseur. le lecteur découvre donc simultanément les deux expériences, l'une marchant dans les pas de l'autre, jusqu'à un certain stade.
Malgré l'asynchronie, cette construction du roman rappelle entre autres celle du best-seller de Gillian Flynn, Les Apparences. Pour les amateurs du genre le suspense et les surprises sont au rendez-vous.
S'il ne s'agit pas d'un huis clos au sens strict du terme, la quasi-totalité de l'action se déroule dans la maison, sorte de bunker au confort dépouillé truffé de domotique, un cadre original qui fait la particularité du roman.
Même si cette lecture ne me laissera pas un souvenir “impérissable” je dirais que l'auteure a réussi son pari, et je recommande la lecture de la Fille d'Avant.
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"La fille d'avant" de JP. Delaney est un thriller, écrit sous un pseudonyme, par un Britannique. L'histoire se passe à Londres, dans une maison originale conçue par un architecte aux idées très personnelles.
Une jeune femme emménage dans une maison et s'aperçoit rapidement des similitudes entre elle et une ancienne occupante, pour ne pas dire deux. On ne peut pas en dire plus sans spoiler, sinon que les chapitres alternent entre les deux personnages et les pages se tournent très vite, tant on a envie de savoir la suite.
Le suspense est maintenu jusqu'au bout.
J'ai trouvé ce roman captivant et intéressant par beaucoup de côtés.
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Dans ce thriller on suit la vie de deux jeunes femmes, Emma et Jane, qui vivent à tour de rôle dans une maison ultra-moderne "One Folgate Street". Pour habiter cette maison il faut accepter de se plier aux règles strictes imposées par l'architecte, Edward Monkford.

Jane voit dans cette maison une opportunité de tourner la page après la perte de son bébé. Heureusement pour elle, elle réussira les tests d'entrée et pourra y habiter à condition de se tenir aux règles. Voilà qu'elle marche dans les pas d'Emma qui quelques années auparavant avait également réussi les tests. Comme Jane, Emma avait choisi cette maison comme nouveau départ après un moment difficile dans sa vie. Enfin Emma ne profitera pas longtemps de sa maison car elle y trouvera la mort.
Une chute dans les escaliers: accident ? ou meurtre?
Jane découvrira vite le passé de cette maison et sera déterminée à jouer les détectives pour découvrir la vérité.

L'auteur passe du présent au passé. Des chapitres courts s'alternent en nous faisant découvrir une fois l'histoire d'Emma, la fille d'avant, puis l'histoire de Jane, la fille de maintenant. On comprend vite que Jane s'engage pour de nombreuses choses sur la même voie qu'Emma. Doit-elle aussi craindre sa vie comme Emma ?

Si au début j'ai été complètement happé par ce scenario, j'ai été un rien déçue de la fin. L'intrigue était tellement bien construite que j'ai trouvé le dénouement un peu "simple". Enfin si vous aimez les thrillers (psychologiques) je vous le conseille bien évidemment.
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Ce roman a suscité un engouement unanime à sa sortie… des avis très positifs, voire dithyrambiques! Toujours dubitative devant ce genre de phénomène, je m'attendais tout de même à passer un bon moment…

Mais non…
Je ne signe pas le bail du One Folgate Street…

Je me suis ennuyée devant un mélange dilué de 50 nuances de-la-couleur-que-vous-voulez et d'un thriller pseudo-psychologique.

« Vous qui entrez ici, abandonnez tout… » non pas espoir mais vie privée!

Déjà, le concept de base est totalement tiré par les cheveux. Une maison minimaliste ultra-connectée dont vous aurez la jouissance à petit prix si vous passez les tests!
Et quels tests!
Un questionnaire hyper indiscret et personnel, des directives draconiennes à l'image d'un proprio rigide et maniaque, et des contrôles imposés!
Un décor aseptisé de chambre d'hôpital (d'ailleurs je suis étonnée que les murs soient en pierre et non pas capitonnés!) ou de cellule de moine, pas de couleurs, pas de chaleur, pas de vie. Et surtout cette intrusion permanente dans l'intimité et la liberté de l'occupant! Autant tendre les poignets pour boucler les menottes ou enfiler la camisole!

Et puis une maison sans livre? Ça va pas la tête? Où va-t-on? Et pas de coussins pour se vautrer dans sa lecture? Naaan!

Inconcevable! Absolument inconcevable pour moi! D'où certainement le fait que je ne suis pas entrée dans l'histoire!

Emma et Jane sont certes fragilisées par un événement traumatique mais il faut dire qu'elles ne sont pas bien nettes dans leur tête bien avant cela! Pas étonnant qu'elles soient volontaires pour un lavage de cerveau à la Javel pour se fondre dans le décor!
Elles sont victimes dans les faits mais perso, je n'ai ressenti aucune compassion pour l'une comme pour l'autre. Un méchant sentiment m'a suivi tout le long de ma lecture, du style « cocotte, tu l'as bien cherché! ».

Décrire Edward, le propriétaire, comme un mâle alpha m'a bien fait rire! Une petite greffe de neurones s'impose pour ces dames!
Edward est maniaque, obsessionnel et manipulateur. Il choisit ses partenaires comme sur un catalogue et les modèle selon son bon vouloir. Il débarque quand ça lui chante, il dirige à la baguette et se barre dès sa partie de jambes en l'air expédiée!
Il est somme toute assez pathétique dans son besoin maladif de domination et sa recherche pathologique de la perfection. Il a besoin de contrôle, d'une totale main-mise sur ses femmes comme il le possède sur ses oeuvres architecturales.
C'est un grand enfant qui a troqué ses petites voitures pour les femmes et dont l'assurance lui procure l'illusoire image d'un mâle alpha aux yeux d'Emma et Jane.
Entre elles et lui, je ne sais qui est le plus pathétique en fait!

L'alternance de chapitres très courts entre passé et présent, entre Emma et Jane, donne du rythme au roman mais ôte toute profondeur à l'intrigue. Ça bouge, ça remue mais le lecteur est prisonnier de ce mouvement incessant et superficiel.
Le caractère des personnages n'est que très peu fouillé et le suspens supposé n'est induit que par l'ambiance anxiogène de cette maison nue et vide, vivante par la domotique intrusive, et l'attitude d'Edward, détachée, clinique et froide.

Le style de l'auteur n'est pas désagréable, fluide et simple, mais décidément, je ne déménage pas! Peut-être pour le prochain!
Mais pour celui-ci, une pincée de sophistication illustrant l'ascétisme d'Edward, un écho du Sieur Hitchcock pour trembler un brin, l'inévitable sexe pour le côté pseudo-canaille-glamour n'auront pas suffit à me convaincre!

Mon avis est à l'image du One Folgate Street: minimaliste, dépouillé et sans émotion.
Lien : http://livrenvieblackkatsblo..
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(...)
Autant vous le dire tout de suite, la lecture n'est pas mauvaise. Mais alors de là à crier au chef d'oeuvre il y a un gouffre que je ne saurais franchir.
J'ai trouvé ce livre totalement plat, sans surprise. On m'avait promit un thriller psychologique. Bah je suis passée à côté. Je n'y ai vu qu'un livre calibré pour faire des ventes, plein de ventes.
(...)
Vous avez donc une écriture à la Gillian Flynn dans Les Apparences (alternance des points de vue à chaque chapitre), une intrigue à la Paula Hawkins dans La fille du train (une maison qui est très présente, une folie qui semble monter chez les héroïnes, distillée par un personnage masculin), et puis alors le must, c'est qu'on a même quelques petites scènes un peu chaudes pour titiller les clitoris gonflés par E.L. James dans Cinquante Nuances (un homme riche, viril et puissant qui dit "Je veux te baiser" et qui te prends même quand tu n'en n'a pas spécialement envie et qui t'impose toutes ses règles pour ses petits jeux érotiques. Mais un homme qui a quand même ses failles et ses blessures parce que sinon ce serait juste un gros con psychopathe. Ah bon il ne s'appelle pas Christian Grey?). Voilà, voilà... Vous passez le tout au mixeur, vous versez votre soupe dans un mug blanc et sans âme et vous avez La Fille d'avant. Tout est fait pour que vous aimiez. Les chapitres sont courts, l'écriture est fluide, il y a beaucoup de dialogues, et le tout se lit avec une grande facilité.
(...)
Pour résumé, je ne dirais pas que ce livre est mauvais mais je dirais juste que l'on est sur un produit littéraire totalement formaté, calibré, fabriqué pour devenir un best-seller. C'est propre, c'est pro, tout est prêt pour l'adaptation au cinéma (parce que oui il y a une adaptation en cours).Rien d'original, rien de transcendant, mais de quoi faire plaisir à tous les lecteurs qui aiment lire pour se détendre. Un véritable "page turner" qui ne casse pas 3 pattes à un canard.
Lien : http://110livres.blogspot.fr..
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Une très bonne lecture qui nous offre un scénario intéressant dans lequel nous suivons deux jeunes filles, Emma et Jane, à deux époques différentes.
Ces deux jeunes filles ont loué la maison d'Edward Monkford, un architecte plutôt intrigant. Celui-ci, impose un questionnaire assez curieux et déstabilisant aux locataires potentiels afin de trouver la personne digne de louer sa demeure.
J'ai trouvé très intéressant cette alternative de point de vue, tour à tour Emma et Jane évoquent les mêmes questionnements, les mêmes rapports avec l'étrange propriétaire des lieux.
L'intrigue est bien posée, la plume est fluide, on se laisse happer par l'atmosphère pesante et secrète de cette maison, en essayant de démêler le vrai du faux, jusqu'au dénouement assez surprenant. Je ne m'attendais pas du tout à ça, et je dois dire qu'Edward Monkford reste encore bien mystérieux à mes yeux, il a un profil quand même assez flippant.
La fille d'avant a donc été une très bonne lecture, l'auteur a réussi à me captiver jusqu'à la dernière page.
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Chaque été, j'apprécie de plus en plus me tourner vers une lecture haletante, au rythme effréné. Thriller psychologique, La fille d'avant me faisait de l'oeil depuis sa sortie (en 2017), et je suis ravie d'avoir croisé sa route au hasard d'une boîte à livres. Les références à Hitchcock et au Manderley de Daphné du Maurier ne pouvaient que me mettre l'eau à la bouche… Si j'ai passé un bon moment en sa compagnie, j'ai malheureusement été un brin déçue de ce côté-là. C'est toujours le risque lorsque des monuments de la littérature sont annoncés sur une quatrième de couverture. Malgré tout, La fille d'avant reste un page turner efficace. J'ai adoré frissonner à ses côtés.

Ce roman est avant tout centré sur deux femmes : Emma et Jane. Elles emménagent à quelques années d'intervalle dans une maison chic, ultramoderne : le One Folgate Street. Tout y est blanc, immaculé, minimaliste. Mais surtout, la domotique règne. Alors que Jane place en ce déménagement tous ses espoirs pour recoller les morceaux avec Simon (son petit ami), Emma se surprend à tomber sous le charme de l'architecte qui a pensé cette maison : Edward Monkford, un homme au passé sombre. Lorsque Jane apprend qu'Emma a vécu l'enfer dans cette maison, elle ne peut s'empêcher d'enquêter. Que s'est-il réellement passé ? Pourquoi se sent-elle de plus en plus proche d'Emma ? Cette maison est-elle si rassurante qu'elle le semble au premier abord ? Mais il est peut-être déjà trop tard pour le savoir…

Autant vous l'avouer tout de go, La fille d'avant est un roman que j'ai dévoré en l'espace de quelques jours. Les chapitres sont courts, mais surtout découpés en fonction du point de vue des deux héroïnes. Tout est fait pour que le lecteur frissonne, se questionne… et ça marche ! Ce roman explore la psychologie de personnages tourmentés, qui ont vécu des drames et tentent de tourner la page. La manipulation, le contrôle de l'autre sont également des thématiques qui sont abordées. Et j'ai adoré ne plus savoir qui mentait, qui disait la vérité… Les pages auront filé à une vitesse folle !

J'ai malgré tout eu un peu de mal avec les personnages. Edward Monkford en tête, que j'ai trouvé détestable du début à la fin. Je n'ai pas réussi à éprouver une once d'empathie pour lui. le final de ce roman est quant à lui pour le moins inattendu. C'est un énorme point positif, mais je me suis surprise à rêver une fin différente. Ces quelques points font que je n'ai pas ressenti le coup de coeur tant attendu. Je ne sais pas si ce thriller fera date dans ma mémoire, reste que j'ai passé un très bon moment en sa compagnie et que je ne regrette pas sa lecture.
Lien : https://labibliothequedebene..
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LONDON
WELCOME TO Ze « ONE FOLGATE STREET » Minou.
Un bijou architectural minimaliste & design conçu par le célèbre architecte Edward Monkfort.
Blanche. Epurée. C'est une maison hyper connectée.
Grâce au HouseKeeper & à un bracelet connecté, la maison détecte ta présence. Pas de clés. Sous la douche, elle déclenche l'eau à la température idéale, Pas de rideaux. Les vitres s'adaptent en fonction de la luminosité & de ton humeur.
Et le tout pour un Loyer hyper abordable pour Londres.
Bref le top !
Ah. Par contre. j'ai oublié de te dire, pour y vivre il faut répondre à un questionnaire assez …. Particulier et le bail comporte une centaine de clauses (cheloues).

Emma passe le test haut la main. de même pour Jane, 3 ans plus tard.
Deux femmes. Deux époques différentes.
Toutes les deux veulent un nouveau départ, peu importe les conditions, elles foncent.

Mais Jane va vite découvrir que la locataire d'avant (Emma) a été retrouvée morte dans la maison.
Hein ? Quoi ?
Assassinat ? suicide ? L'affaire n'a jamais été résolue.
Jane décide d'en savoir plus …

Bienvenu dans un huis clos addictif. Dès les premiers chapitres tu vas être embarqué dans l'histoire, Minou.
Des Chapitre courts. Une alternance AVANT – MAINTENANT.
La lecture est tellement rythmée qu'on lit l' histoire de manière linaire et les deux filles ont tendance à ne faire qu'une.
J'ai beaucoup aimé cette construction.

Entre chaque chapitre, tu as droit aussi à un extrait du questionnaire auquel elles ont du répondre. Et bé…

Le mystérieux personnage d'Edward te donne aussi envie d'en savoir plus.
Ok. Il m'a quand même fait penser à Christian Grey version Design ( 50 nuances de blanc ~nuancier de mondial moquette ahah)
Un homme riche. Froid. sûr de lui. Très perfectionniste. (tu te crois maniaque, Minou ?!? T'inquiète, face à Ed, tu ne fais pas le poids. Que dalle) Un mode de vie sans encombrement.
Un passé assez flou et mystérieux.
LOUCHE quoi !

Un thriller psychologique que j'ai dévoré d'une traite.
MAIS (ben oui) j'ai été déçue par la fin.
Dommage, le soufflet est retombé. RooooOh.
Tout ca pour ca !?!?! Wé bof quoi.
Je voulais un truc glauque. Un truc horrible.
Ben nan... J'ai trouvé ça trop facile.
Gné.

Tu l'auras compris, Minou : une lecture ternie par la fin. Mais beaucoup apprécieront je pense.
Ah, et sinon, la fille d'avant ne s'appelle pas Sophie et ce n'est pas le livre DELANEY
[OK▪️ sorry▪️EXIT]

* A TANTOT ~ BISOUS LES MINOUS *
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Il a fallu une dizaine d'année à l'auteur (c'est lui qui le dit) pour trouver la meilleure façon de raconter cette histoire que l'on peut qualifier d'excellent thriller psychologique (avec un léger débordement vers une science fiction qui n'en est plus une aujourd'hui). Une construction littéraire chiadée où l'on voit chacune des deux femmes évoluer dans un espace commun quelque peu futuriste, mais dans une temporalité différente. Un bouquin qui trompe les prévisions du lecteurs. Par moment, on croit qu'on sait ce qui va se passer (où ce qui s'est passé) mais non, l'auteur nous embarque toujours ailleurs qu'à l'endroit où on pensait arriver. La résolution de l'énigme est inattendue. Un moment de lecture qu'on ne lâche pas facilement.
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