La fille d'avant

J'ai au début été emballé par ce thriller psychologique qui alterne entre le passé avec Emma et le présent avec Jane, ces deux femmes ont en commun leur lieu d'habitation une maison construit par une architecte renommée.

Les personnes qui habitent cette maison sont très peu nombreuses, sélectionnées sur un questionnaire et de nombreuses règles régissent leur vie dans celle-ci, en contrepartie elles ne payent qu'un loyer réduit.

Des choses m'ont gênées dans ce livre j'ai parfois eu l'impression d'un croisement entre Les Apparences de Gillian Flynn et Fifty Shades of Grey.

La tension monte crescendo mais la force d'un thriller psychologique repose sur la fin et celle-ci n'a pas été à la hauteur pour moi d'où ma note.

Cependant pour un premier livre c'est plutôt réussi je note donc le nom de l'auteur pour plus tard.

Jane et Emma ne se connaissent pas. Elles ont par contre toutes les deux habité le même endroit, une maison particulière très minimaliste et épurée, et contraintes d'obéir à une longue série de règles imposées par le propriétaire. Toutes les deux ont avant d'emménager au One Flogete Street, connu un événement dramatique dans leur vie et toutes les deux ont fréquenté le même homme, le dit propriétaire, Edward Monkford. Emma a perdu la vie dans un accident, au sein même de la maison et progressivement Jane se demande si elle même ne se trouve pas en danger..
Chaque chapitre du roman est consacré alternativement à Emma et Jane. On peut suivre leur histoire dans la maison en parallèle. L'idée est intéressante, l'atmosphère de la maison assez étouffante (quoique familière si on connait un peu le domaine de la science fiction) mais elle ne tient pas vraiment la longueur et l'alternance des chapitres devient assez rapidement monotone. Les rebondissements sont peu surprenant et la fin semble très artificielle. On ne s'immerge pas vraiment dans l'histoire, on ne s'inquiète pas vraiment non plus.. Peu original en résumé et pas assez abouti.

C'est la Masse Critique de Babelio qui m'a envoyé ce roman... Ravi, je suis.
Tu vas me dire que j'ai de la chance.
Ce bouquin, il sort en mars 2017, et je l'ai déjà lu.
Ouais. J'ai de la chance. D'autant que les enquêtes policières, ça va un moment et que j'avais envie d'autre chose. Je t'ai dit, les flics, attachants ou pas, j'en ai un peu marre, pour ne pas dire franchement assez.
Donc, La fille d'avant.
On est pas du tout dans l'enquête avec des flics, des sirènes, des flingues, des kebabs parce qu'ils ont pas le temps de se faire un repas normal avec des légumes et tout et tout, on est dans un vrai roman noir, avec tout ce que ça implique.
Le pitch, vite fait.
C'est la chance de leur vie. Elles vont pouvoir emménager dans la maison que tout le monde veut. Ultra-moderne, et dessinée par un architecte qui est une énigme pour ses contemporains. le pied, quoi. En plus, le loyer est tout petit, eu égard aux règles draconiennes qui permettent de valider le bail. Les règles, il y en a 200. Tu vois l'idée ?
Pas de bouquins, pas de photos, pas de vêtements partout, pas de bordel, en quelque sorte.
Voilà. J'en ai dit assez.
La suite de la chronique sur mon blog, va voir, il y en a plein d'autres...





Lien : http://leslivresdelie.org/la..

Une maison d'architecte incroyable, le One Folgate Street, mais des règles a respecter, tout aussi impressionnantes pour pouvoir y vivre. Jane tente le pari, et réussit. Maintenant locataire, elle apprend qu'avant elle, une fille y vivait aussi, Emma. Mais elle a suivi un destin tragique. Jane découvre peu à peu les similitudes entre elles, et s'apprête à faire les mêmes choix.
Ce huis-clos dans une maison haute technologie est intéressant à première vue. On alterne entre le passé (Emma) et le présent (Jane), les chapitres sont courts, ce qui permet une certaine fluidité, malgré qu'on puisse s'emmêler les pinceaux parfois.
Par ailleurs, l'histoire n'est pas telle que je l'avais imaginée.
Mon avis est mitigé. J'ai trouvé l'ambiance glauque, malgré la pureté des lieux. La relation qu'entretien Jane et le propriétaire est malsaine, et je n'ai pas aimé lire ces passages. L'impression de lire une nouvelle version un Fifty Shades of Grey.
Je n'ai pas aimé les héroïnes de ce roman, l'une comme l'autre me semble fade, malgré les rebondissements, et leurs personnalités.
Jane « tente » d'enquêter sur le drame qu'a vécu l'ancienne locataire, mais j'aurai aimé que cela soit plus poussé. L'impression qu'elle entend ce qu'on lui annonce, sans vraiment écouter.
Pour autant on veut savoir ce qu'il s'est passé. C'est la raison pour laquelle j'ai terminé le livre.
Mais la fin m'a déçue. En fait j'ai l'impression qu'il n'y a pas de fin et certaines questions restent en suspens

J'ai aimé ce livre, l'intrigue était très... intrigante justement! Malgré les va-et-viens entre passé et présent, l'histoire était très claire et agréable à lire. J'ai apprécié les émotions transmises par l'auteur car j'ai versé de véritables larmes dès le début du roman! Cependant, je n'ai pas réussi à comprendre le personnage d'Edward, version édulcorée du célèbre Christian Grey 😉. Un très bon moment de lecture tout de même!

La fille d avant....
Je tiens avant de critiquer cette histoire... a remercier avant tout babelio et particulièrement Marie Delphine Roux Jean qui m a interpellé par mail pour que je participe à cette nouvelle édition de masse critique Mon alerte téléphone n a pas résisté à renvoyer par la positive une réponse.
Je remercie JP DELANEY pour m avoir permis de plonger dans son univers...
L objet reçu dans ma boîte était superbe...
Je fus interpellée par cette tranche rouge vif sur une couverture rigide Blanche immaculée.. un thriller bien mis en valeur et qui donne envie de connaître l histoire qu' elle renferme...

Et puis cette écriture écrite elle même en rouge...la l auteur charme son lecteur....bravo!!!
Et nous debutons cette lecture par une liste de questions disséminées entre les chapitres qui alterne entre l'histoire de Jane et l histoire d Emma....
1.dresser la liste de tous les objets qui vous semblent indispensables...
c'est une histoire de maison diabolique orchestrée par son propriétaire....qui met en scène ses désirs...et qui fait de one folgate street un petit théâtre de marionnettes...

Un thriller bien commun...pour un objet (livre) bien esthétique.

En fait je pense avoir été un peu déçue l histoire m a perdue entre les personnages du au fait que les chapitres soient courts et qui facilitent l avancée de la lecture mais...je me suis demandée de quelle fille on parlait une fille riche et belle (forcement) habite dans la maison ou la fille d avant a été tuée et elle ressemble beaucoup a la fille d avant....
En fait sans dévoilé toute l histoire j ai trouvé que ce livre répondait aux codes d un thriller bien commun.. et c est dommage...
Revenons sur ce questionnaire qui invite le lecteur a participer activement à l histoire ? Et je salue JP DELANEY qui inscrit le lecteur également dans un futur acheteur ou locataire potentiel. . . et cela est plutôt fort !!!!

Peut etre en ai je lu d autres qui m ont plus bousculés?
Peut etre que je n ai pas été conquise...tout simplement.
C est pourquoi il me reste encore une bonne centaine de pages avant de terminer ce livre dans ce temps imparti...
Alors rien de grave... la couverture immaculée blanche est devenue plus sombre pendant ma lecture au fil des changements de sacs successifs...la preuve que ce livre réussit malgré tout à difusser une certaine malédiction.

Résumé de LA FNAC :

Après un drame éprouvant, Jane cherche à tourner la page. Lorsqu'elle découvre le One Folgate Street, elle est conquise par cette maison ultra moderne, chef d'oeuvre de l'architecture minimaliste, parfaite. Mais pour y vivre, il faut se plier aux règles draconiennes imposées par son architecte, Edward Monkford, aussi mystérieux que séduisant. Parmi celles-ci : répondre régulièrement à des questionnaires déconcertants et intrusifs. Peu à peu, Jane acquiert une inquiétante certitude : la maison est pensée pour transformer celui qui y vit. Or elle apprend bientôt qu'Emma, la locataire qui l'a précédée et qui lui ressemble étrangement, y a trouvé une fin tragique. Alors qu'elle tente de démêler le vrai du faux, Jane s'engage sur la même pente, fait les mêmes choix, croise les mêmes personnes et vit dans la même terreur que la fille d'avant. JP Delaney est le pseudonyme d'un écrivain qui a publié plusieurs romans à succès sous d'autres noms. « La Fille d'avant » est sa première incursion dans le thriller psychologique.


Mon avis :

Tout d'abord, je remercie Babelio et Audiolib de m'avoir sélectionnée pour écouter le roman « La fille d'avant » de JP Delaney. Ce fut une belle surprise : j'avais déjà repéré ce titre et j'étais tentée de tester une version audio.

Je vais commencer par les points positifs :
- le rythme lent d'une version audio invite au calme
- la musique intermédiaire est agréable
- le scénario est intrigant, avec des rebondissements et du suspens
- la construction est intéressante : deux histoires (avant Emma, maintenant Jane) qui s'alternent, tout en étant liées. D'ailleurs, on n'est absolument pas perdu.
- les thèmes des maisons ultra-connectées et de l'architecture sont enrichissants

Le bilan semble ainsi très positif et non cohérent avec ma note. Voici donc les points négatifs qui ont gâché, à mon goût, le potentiel de ce roman audio :
- je ne supportais plus la répétition des verbes introducteurs de paroles (« dis-je », « dit-il »…)
- les scènes sexuelles m'ont dérangée ; n'appréciant pas ce type de lecture, j'ai sauté plusieurs passages…
- l'intonation m'a parfois gênée : soit étrange par rapport aux paroles du personnage, soit non conforme à mon imagination, soit monotone
- le temps d'écoute est important (9H22) alors que ma vitesse de lecture est très rapide (si le roman m'avait plu, j'aurais peut-être apprécié cette lenteur qui invite au calme)
- les personnages ne sont pas attachants
- l'atmosphère générale m'a mise mal à l'aise

Bref, je suis heureuse d'avoir testé une version audio, je recommencerai sans doute ; par contre, je suis déçue par « La fille d'avant », roman qui avait pourtant un énorme potentiel à mes yeux.

La maison connectée qui a des yeux.
*
C'est un thriller qui a fait bcp parler dans la sphère des réseaux sociaux.
J'ai donc voulu - par curiosité et appréciant ce genre littéraire - le lire pour savoir ce qu'il en est.
La couverture est déjà intrigante. Presque monochrome, la couleur de la police rouge (sang), une porte.
Le ton est donné.
*
L'action se situe essentiellement dans une maison d'architecte londonienne, cyberconnectée (domotique) créée par un visionnaire (ou technophile).
Deux femmes (Jane et Emma), deux lignes temporelles différentes, deux vies, mais 1 maison.
Un huis-clos, une intrigue policière.
Les chapitres sont découpés par alternance des deux histoires de ces 2 femmes.
Parfois on a du mal à savoir qui est qui....
Les actions s'enchainent, il faut bien suivre.
Je ne dévoilerais pas plus.
Puis la fin , un peu baclée il me semble, peut-être que j'attendais une chute plus spectaculaire.
J'ai passé un bon moment mais pour moi ce n'est pas le thriller de l'année.

Après un drame éprouvant, Jane cherche à tourner la page. Lorsqu'elle découvre le One Folgate Street, elle est conquise par cette maison ultra moderne, chef d'oeuvre de l'architecture minimaliste, parfaite. Mais pour y vivre, il faut se plier aux règles draconiennes imposées par son architecte, Edward Monkford, aussi mystérieux que séduisant. Parmi celles-ci : répondre régulièrement à des questionnaires déconcertants et intrusifs. Peu à peu, Jane acquiert une inquiétante certitude : la maison est pensée pour transformer celui qui y vit. Or elle apprend bientôt qu'Emma, la locataire qui l'a précédée et qui lui ressemble étrangement, y a trouvé une fin tragique.
Alors qu'elle tente de démêler le vrai du faux, Jane s'engage sur la même pente, fait les mêmes choix, croise les mêmes personnes… et vit dans la même terreur que la fille d'avant.

Tenté par quelques phrases accrocheuses du genre TRADUIT DANS 37 PAYS ET BIENTÔT PORTÉ SUR GRAND ÉCRAN ou encore UN DES MEILLEURS THRILLERS QUE VOUS LIREZ EN 2017 !, je me suis donc lancé dans la lecture de la fille d'avant de JP Delaney.

L'histoire se déroule à travers les yeux de deux femmes – Emma, la locataire précédente, et Jane, la locataire actuelle. Les chapitres sont courts assurant du rythme au récit, et alternent les deux périodes, les deux narratrices. L'intérêt est de suivre en parallèle leurs histoires, de voir à quel point elles se répètent, mais au risque de créer de la confusion dans la lecture. Plus d'une fois j'ai dû revenir en début de chapitre pour me resituer dans le temps et me recentrer sur le personnage concerné.

J'ai aussi été dérangé par le manque de crédibilité du concept initial. Imaginez-vous pouvoir trouver en location un appartement de style minimaliste, avec un grand espace, hyper-connecté et équipé d'une technologie de pointe, pour un loyer assez bon marché ?
De plus, l'attribution se fait sur base d'un questionnaire comportant 200 critères de sélection, avec obligation de respecter une multitude de règles établies par un propriétaire maniaco-perfectionniste – pas d'enfants, ni d'animaux domestiques, pas de rideaux ou de tapis, tout doit être rangé en permanence, que ce soit la vaisselle, les vêtements, pas de livres abandonnés sur une étagère, obligation de garder le même service de nettoyage, d'accepter les visites d'architecture, ...
Quelle personne raisonnable accepterait de vivre dans cette situation, avec un style de vie imposé, sans possibilité d'y ajouter sa note personnelle ?
Cette maison parfaite est sensée aider les gens à atteindre des niveaux de perfection qu'ils n'ont jamais imaginés.

L'histoire est aussi parsemée de quelques scènes de sexe dont j'ai un peu de mal à saisir leur intérêt dans celle-ci, si ce n'est nous faire comprendre à quel point le sexe peut créer une dépendance entre deux personnes ou faciliter l'emprise par un manipulateur, et ajouter de la longueur au récit.

Malgré quelques twists inattendus, la fin n'a pas atteint le niveau espéré. Décevant !

📚Après un évènement dramatique, Jane cherche un nouvel appartement. Pas facile de trouver la perle rare entre critères sélectifs et budget serré. Da façon inespérée, se présente le One Foolgate Street, une maison ultramoderne, un joyau de l'architecture à un prix dérisoire. Mais pour y vivre, il faut se plier à des règles strictes... Au fil des jours, Jane apprend qu'Emma, sa précédente locataire y a trouvé une fin tragique.

💭 Je ne vas pas y aller par quatre chemins, ce roman a été une grosse déception. Je n'ai pas du tout été embarquée par cette histoire qui m'a paru très longue par moments.

Alors oui, le concept de base est vraiment très intéressant mais j'ai eu du mal à savoir où l'auteur voulait en venir. Vous savez, cette sensation de lire quelque chose et de vous dire : "oui et... ?"

Au delà de cela, les personnages, notamment Emma m'ont profondément agacée. Et surtout, ce statut de femme objet dressé par l'auteur m'a gênée. Pour terminer, le dénouement ne m'a pas convaincue non plus. Il n'est pas ce à quoi je m'attendais et par dessous je trouve que la quatrième de couverture dresse un portrait assez trompeur du roman.

Bref, je m'attendais à tout autre chose et vous l'aurez compris, j'ai été déçue. 💔

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