L'auteur présente son livre comme un hommage aux films d'horreur comme ceux de
Wes Craven.
J'avais trouvé le résumé alléchant : trois ados, autour d'un feu de camp, racontent à tour de rôle chacun une version d'une légende du coin, celle de Spellman (littéralement : « Homme Sortilège »)... et une quatrième histoire conclut leur aventure nocturne dans la forêt.
Si les récits ne manquent certes pas de piment (je dirai même que D. Delight en tartine des couches), j'ai été rebuté par une (absence de) style d'écriture, bourré de fautes (conjugaisons de temps, syntaxes...) et la vulgarité excessive dans les deux premières histoires (l'auteur a également écrit des textes érotiques et ça « se sent »).
« Sanguinolences » et autres mucosités s'égaillent partout tout au long des pages -c'est le « propre » de ce genre de littérature-, mais j'aurais préféré un texte un peu plus subtil et/ou suggestif laissant une part d'imagination au lecteur.
Là, j'ai juste eu l'impression d'avoir regardé une mauvaise série B.