Livre trouvé en boite a livres et qui de part sa couverture m'a attiré, j'aime beaucoup trouvé d'anciennes éditions et Guy des Cars en plus cela m'a fait envie.
Donc voici cette invraisemblable histoire que l'auteur nous compte et qui se révèle vrai car il a connu le personnage qui a lui a livré toute l'histoire de sa vie.
Vie de monsieur Lucien, homme quelconque sans beauté majeure et assez simple dans sa vie tranquille. Il travaille avec son ami dans les meubles et un jour ce dernier lui propose de sortir afin de rencontrer des gens, de danser, bref de briser la routine.
Et c'est lors de cette sortie que Lucien va faire une rencontre , et quelle rencontre...
Elle se nommera Adrienne , femme dirigeante, maitresse qui va tout lui apprendre et qui va réussir a en faire "sa chose"
Elle va lui réserver un destin qui mon dieu fera de lui un homme effacé, fatigué, commandé et mème déshonoré.
Une histoire dramatique ou le gain de l'argent y aura toute sa place mais a un prix effroyable.
Une histoire de mari, de donneur, d'oubli de soi et de perdition, un livre que l'on garde en mémoire.
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Voila longtemps que je n'avais pas lu un livre de cet auteur. J'aime bien et contrairement à d'autres lecteurs ces livres me marquent et je m'en souviens longtemps…. Dans ce livre l'auteur nous fait le portrait d'un donneur de sperme qui à l'époque où le nombre de dons n'était pas limité a fait plus de 4000 dons durant 20 ans et qui pour la plupart ont donnés naissance à des enfants. Cette histoire est dite vraie et citée comme telle mais elle parait invraisemblable !
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Le "Donneur" de Guy des Cars est un roman captivant qui explore les thèmes de la passion et de la manipulation. L'intrigue est bien construite et les personnages sont profondément développés, ce qui rend leur histoire d'amour complexe et émouvante. L'écriture de Guy des Cars est fluide et immersive, transportant le lecteur dans le Paris des années 1950. Dans l'ensemble il plaira aux amateurs de littérature classique française.
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Les couples sans enfants sont voués au désespoir. Je suis bien placée, moi qui en vois venir au monde presque tous les jours, pour savoir ce que des enfants apportent à un foyer. Nous en aurons au moins deux. Un enfant unique s’ennuie, ou il est trop gâté…
Il est blond avec des yeux bleus, je suis brun – enfin je l’étais ! – avec des yeux foncés. Nous n’avons jamais eu, Blaise et moi, les mêmes goûts. C’est un passionné de boxe, de rugby et de cyclisme. Moi j’aime les chorales, le billard et les dominos. C’est un fonceur, je suis un calme. Il a toutes les audaces, je suis plutôt timide. Il m’arrive encore – c’est bête, je le sais – de rougir comme une jeune fille quand j’entends des propos inconvenants. Rien n’a jamais fait rougir Blaise !
L’amour, c’est beaucoup plus solide quand l’homme ne s’est pas galvaudé et a su attendre… Il existe une grande loi que trop de gens méconnaissent aujourd’hui : en amour, c’est l’homme qui donne, et c’est la femme qui reçoit.
Quand une femme idolâtre comme moi un mari qu’elle sait avoir un tempérament capable de satisfaire toutes les femmes, elle devient à moitié folle. Je t’ai dit que j’étais jalouse alors que toi tu as de la chance de ne pas savoir ce qu’est la jalousie. C’est terrible, Lucien ! Ça vous ronge… À un point tel qu’on est prête à tout permettre à son mari à l’exception d’une chose : qu’il vous trompe…
La première grande règle de l’insémination artificielle est que l’homme et la femme ne doivent jamais se rencontrer, ni se voir ! Sinon, cela créerait des situations impossibles… La plupart des clientes qui ont recours à ce procédé sont mariées et ne l’acceptent qu’avec l’autorisation formelle de leur époux.
"Le chateau du clown" (Plon) est le 40ème roman de Guy des CARS, dont il lit les premières lignes à Bernard PIVOT. L'écrivain définit ce qu'est un roman, alors que le personnage de son livre, lui, a existé. Au cours d'un séjour dans le Sud il visite le château de GROK, château monstrueux ou le clown est enterré. Guy des CARS raconte, comment, jeune journaliste, il a fait une tournée avec le Cirque Pinder. Dans son roman il raconte l'ascension et le déclin de GROK.PIVOT lui parle de sa "pas bonne" réputation dans le milieu littéraire, celui-ci dit qu'il est "lu". Il a des lettres de grands écrivains, GIDE, VALERY, CARCO, COLETTE qui l'ont encouragé. Il parle du seul prix littéraire qu'il ait eu dans sa carrière, du Goncourt qu'il n'a pas eu, et de la bataille que ça a suscité à l'époque. De noblesse authentique, il est fier des militaires de sa famille, notamment celui de l'Algérie. Il se dit "heureux", entouré de gens intelligents...ne se voyant pas d'ennemis.Mot de la langue française qu'il n'aime pas : valableMot que vous aimez bien : l'amitié
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