Vernon Subutex, tome 1

Virginie Despente a osé ... écrire des portraits de personnages aux histoires et origines diverses, sans nuance, sans enjoliver leur situation : on est facho jusqu'au bout des ongles, on consomme des drogues (dures de préférences), on ne fait pas l'amour mais on baise, on suce, on sodomise, et on cogne, on descend les artistes, on dénigre... et Vernon dans tout ça ? Un fil conducteur reliant ces gens, absent sur de longs passages et pourtant omniprésent… Réussite de l'auteure. C'est sans doute le point positif que j'ai réussi à noter.

Par ailleurs, des portraits, des parcours, des histoires personnelles durant pratiquement l'intégralité de ce premier tome, c'est ce que j'ai malheureusement perçu, ressentant un ennui profond à la lecture de cette histoire. Cette littérature n'est pas pour moi, trop trash, Trop de vécu qui ne me parle pas, trop peu d'attachement de ma part à ces individus censés représenter une France qui dégringole... A lire cet écrit, j'ai eu l'impression que la société tout entière était plongée dans la précarité qui génère ces déviances. Je trouve cela déprimant.
Vernon Subutex, j'ai essayé, j'ai échoué ... Je me félicite malgré tout d'être parvenue jusqu'au bout du premier tome. Je ne poursuivrai pas cette lecture.

Je referme ce livre à la 70ème page.
Je n'accroche pas, je ne vois pas où veut en venir l'auteur.
Ce n'est pas que je n'aime pas, mais je ne rentre pas dans ce roman.
Ma PAL est tellement haute que je ne souhaite pas insister sur les livres pour lesquels je ne vibre pas un minimum.

Deuxième livre que je lis de Virginie Despentes après "Apocalypse bébé" mais cette fois-ci, ce n'est pas moi qui avait fait le choix du sujet. Cet ouvrage m'ayant été offert pour mon anniversaire, je me plongeais ainsi dans un monde totalement inconnu, et que je n'aurais peut-être jamais eu envie de découvrir si le destin n'en avait pas décidé autrement. Comme quoi, ce dernier fait parfois bien les choses puisque, bien que n'ayant pas réussi à me couler facilement dans ce monde assez glauque, j'ai tout de même envie de poursuivre avec le deuxième tome qui ne devrait pas tarder à sortir en librairie (début avril si mes sources sont bonnes).

Ici, l'auteure nous entraîne plusieurs quartiers de Paris, dont certains sont assez mal famés alors que d'autres resplendissent de richesse. Vernon Subutex est un homme proche de la cinquantaine, célibataire et sans enfant. Anciennement disquaire, spécialisé dans le monde du rock, il voit un beau jour tout son monde s'écrouler le jour où il est à la fois obligé de fermer sa boutique et où il se fait expulser de chez lui. Commence alors pour lui une interminable déambulation dans les rues de Paris, à la recherche de contacts susceptibles de pouvoir l'héberger - d'anciennes et de nouvelles maîtresses ayant encore un peu de compassion pour lui ou alors des anciens clients avec qui il était resté plus ou moins en contact. Son ancienne vie, ses passion comme le monde de la musique par exemple...tout cela n'existe plus et Vernon, bon gré mal gré, va tenter de se reconstruire dans un monde de requins qu'est le show-bizz puisqu'il aurait filtré certaines rumeurs comme quoi il serait en détention de précieuses cassettes concernant Alexandre (appelé Alex), un "dieu" pour certains dans le monde de la musique qui faisaient craquer toutes les femmes mais qui était aussi un peu trop souvent défoncé (drogue, alcool...bref, vous voyez de quoi je parle).

Ici, le lecteur croise un peu toutes sortes de personnages : mecs mariés avec enfants, lesbiennes, actrices porno, transsexuels...femmes qui osent encore croire à l'amour et qui à chaque fois se font avoir, SDF...mais qui tous ou toutes ont un rapport avec Vernon Subutex ! Excusez-moi de ne pas tous les appeler par leurs prénoms mais j'avoue m'être plusieurs fois un peu mélangée les pinceaux en essayant de me rappeler qui est qui !
Un roman très bien écrit (cela va sans dire) mais dans lequel les protagonistes sont donc un peu trop nombreux à mon goût (comme je viens de vous l'expliquer) et dans lequel tout le monde a un peu trop tendance à coucher avec n'importe qui (et ceux et celles qui me connaissent, dès qu'il y a un peu trop de détails savent que je n'aime pas cela) ! Voilà la raison pour laquelle je n'ai probablement pas jugé ce premier tome à sa juste valeur et ne peux que vous inciter à venir découvrir cet ouvrage par vous-mêmes ! Je reprends cependant ce que j'ai dit en introduction, je ne compte cependant pas m'arrêter là et suis bien décidée à lire le deuxième tome.

Je n'avais jamais entendu parler de ce livre avant qu'on me l'offre et malheureusement j'ai trouvé ce roman sans consistance. Impossible pour moi de m'intéresser à l'histoire. Trop de personnages qui rend la lecture compliquée et de clichés sur le monde artistique. Tout est dans l'excès la drogue, le sexe ... Enfin bref une mauvaise surprise. J'ai le tome 2 et 3 à lire mais je crois que je vais attendre.

Non, vraiment, je ne comprends pas ce que ceux qui l'adorent lui trouvent. Tant de vulgarité, d'accumulation de clichés sur les riches, les hommes, les paumés, les prostitués, les stars... sur tout le monde en fait. C'est à ce demander ce qui trouve grâce à ses yeux.
Je ne lirai pas le tome 2.

Après tout le tapage médiatique à la sortie de cet ouvrage je me suis naturellement méfiée ; pour autant, les avis des uns et des autres étant positifs, je me suis lancée.
Un monde de parisiens, de riches, de paumés, de drogués, de bobos qui gravite autour du personnage central, l'ancien disquaire Vernon Subutex. Une succession de personnages pas très attachants, quelques scènes un peu trash et crues, un fil conducteur ténu... bref je n'ai pas adhéré et je ne lirai pas les deux autres tomes.
En un mot : très déçue.

On suit la lente descente d'un homme en région parisienne. Il passe par différentes phases pour terminer par ce que l'on pourrait considérer par « le bas de l'échelle ». Entre ce début et cette fin l'auteur nous décrit différentes phases dont de nombreux délires sexuels qui n'apportent rien (enfin à mon sens) à l'histoire. Et j'avoue je les ai lus en diagonales.
Si on persiste dans la lecture c'est que le roman est bien construit dans la progression de la dégringolade et on a quand même envie de savoir ce que ce Vernon va devenir, s'il va réussir à réussir à placer ou pas son « trésor ». On a parfois envie de « sauter » dans le livre pour venir en aide à Vernon. On aimerait qu'il aboutisse dans son projet.
Médailleurs on aimerait que le livre se termine autrement. Sans vouloir dévoiler quoique ce soit on est quelque peu interloqué et frustré par une fin abrupte.
Si je n'ai pas pris un réel plaisir à lire ce livre (sélection prix des lecteurs livre de poche, j'ai donc consciencieusement été jusqu'au bout) on peut toutefois reconnaître que l'auteur aborde des sujets intéressants : le chômage, l'exclusion/rejet par la société de ceux qui ne vivent pas comme nous, l'extrémisme et sa violence

Bien assaisonné par la campagne pub, j'avais une grande attente, c'était mon premier Despentes.
J'ai acheté ce bouquin.
Après 50 pages, le subterfuge apparaît clairement : un processus répétitif au fur et à mesures des pérégrinations du héros, avec quelques réparties rigolotes, l'évocation d'un peu de sexe, voilà, voilà.
D'accord, c'est très professionnel. Point final.

Je connaissais Virginie Despentes uniquement par "Apocalype bébé", roman que je n'avais pas aimé. J'ai récidivé avec le tome 1 de ce livre, paru plus récemment. J'en ai lu environ 150 pages, puis – chose très rare – je l'ai abandonné. Toutefois, je me permets de poster un commentaire sur ce livre. Voici ce que je retiens de son début.

Un disquaire au chômage, Vernon Subutex, est un admirateur d'Alex Bleach, un chanteur atypique et richissime qui, généreux, payait son loyer. Alex venant de mourir, Vernon se retrouve à la rue. Il se fait héberger par ses ancien(ne)s ami(e)s, qui étaient comme lui des fanatiques de musique. Ces rencontres sont pour l'auteure l'occasion de faire toute une galerie de portraits et une description au vitriol de la société actuelle…

En fait, je suis convaincu que Virginie Despentes est une romancière très douée.
Pourtant, arrivé au tiers du livre, je me suis rendu compte que le fond de l'histoire ne m'intéressait pas: je me fiche de ce que deviendront les cassettes d'Alex, détenues par Vernon. De plus, j'ignore tout du milieu particulier où évoluent les protagonistes et... je ne désire pas le connaître. Enfin, le roman s'applique à décrire une société décadente, ce qui tend à me déprimer. Sans doute l'auteure a-t-elle un regard plus juste et plus précis que le mien sur le monde actuel, mais ça me débecte…

Vernon Subutex est un mec lambda, la quarantaine, qui se retrouve au chômage et dont la vie se délite peu à peu. Ce pourrait être notre voisin d'en face ou notre collègue. Despentes nous offre un portrait de la société actuelle, avec une plume résolument moderne, mais un peu vulgaire à mon goût. le sexe, l'alcool et la drogue occupent une place importante dans l'histoire. Beaucoup de personnages gravitent autour de Vernon et j'ai eu du mal à raccrocher tous les wagons à certains moments. Je ne peux pas dire que ce livre m'ait déplu, je dirai plutôt qu'il ne m'a pas beaucoup touchée et que je n'ai pas partagé l'engouement général. Je suis tout de même curieuse de connaître la suite, je ne sais pas si elle sera aussi sombre que ce premier tome.