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4,2

sur 4835 notes

Critiques filtrées sur 3 étoiles  
C'est avec plaisir que je me suis replongée dans l'univers de Marcus Goldberg & co' ! D'autant plus que cette fois-ci c'est avec le passé tortueux de Perry que nous menons l'enquête.

J'ai apprécié retrouver les personnages et surtout l'ambiance, que sait toujours aussi bien dépeindre Joël Dicker. C'est bien là, la force du roman. On se sent vraiment comme chez soi, comme si on connaissait tout ce petit monde depuis toujours.
Cependant petit bémol. le roman est toujours un page-turner et j'ai aimé mené l'enquête mais j'ai trouvé la résolution prévisible et tirée par les cheveux. A vouloir impressioner son lecteur pour le laisser pantois, Dicker passe un peu à côté de son méchant.

Roman à lire pour retrouver nos chers personnages de la Vérité sur l'affaire Harry Québert et conclure (ou pas ?) cette "saga".


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Une déception de plus dans la production de Dicker. Après le mystère de la chambre 632, je me suis laissé aller, séduit par la critique. Peut être allais je retrouver le génie de l'affaire quebert. Que nenni.
Un récit invraisemblable, aussi touffu et mal torché que ses trois précédents...c'est truffé de répétitions, ca n'a aucune saveur.
Bref, Dicker passe de la gastronomie à la malbouffe. le succès ne lui réussit pas.
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Je ne sais pas comment expliquer le fait que j'aime cette saga tout en détestant à ce point le personnage principal Marcus Goldman et sa vie sentimentale insipide. J'apprécie vraiment l'intrigue et les personnages "secondaires" particulièrement Perry Gahalowood que j'avais déjà adoré par son humeur gentiment grincheuse dans La Vérité sur l'affaire Harry Quebert. J'aimeégalement ces allers-retours entre présent et passé, la voix narrative donnée à chaque personnage qui donne à chaque fait une interprétation multiple. Je déplore par contre les erreurs d'impression qui décorent le texte (fins de phrase oubliées, mots absents, etc.) mais aussi les accords de temps pas vraiment respectés qui me font grincer des dents. Pour la chute, rien de très original. J'avais des soupçons depuis l'entrée en scène de ce personnage et j'avoue que l'explication donnée quant au meurtre me laisse perplexe. La motivation à tuer est complètement loufoque selon moi. Il me reste maintenant à lire le troisième volet de cette trilogie et la boucle sera bouclée.
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Un vrai plaisir de retrouver Marcus Goldman et Harry Québert qui hante ces pages, une intrigue palpitante qui provoque une lecture assidue, mais… Parce que oui, il y a un mais. D'abord, j'ai eu un gros problème d'adaptation à la construction narrative. Il y a énormément de retours en arrière, ce qui n'est pas du tout un problème sur le fond, c'est la forme qui m'a posé souci. À mon avis, ces retours pouvaient être inclus dans la narration et auraient évité des répétions, donc suscité un rythme plus fluide. Ensuite, sur la recherche du probable tueur d'Alaska, trop trop trop de twists. Quasiment tous les personnages sont suspectés à un moment ou à un autre. Les deux cents dernières pages sont une succession d'hypothèses, d'accusations et de retournements de situation, pour un final qui ne m'a pas laissée ébahie. Si vous n'êtes pas un gros lecteur de polars, vous pouvez y trouver un vrai plaisir sans être gênés par ce que je viens d'évoquer. Pour les autres, tentez-le, dans le but de vous faire votre propre avis. En ce qui me concerne, les 3/4 du roman ont été vraiment agréables à lire, mais la dernière partie m'a excédée et malheureusement, je reste sur ce sentiment d'exaspération en pensant au roman.
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Quand il n'y en a plus, il y en a encore! de quoi? du Harry Quebert!
Joel Dicker, qui se lance dans l'édition, nous ressort une enquête de son alter ego Marcus Goldman, sur un meurtre non élucidé.
Comme d'habitude, c'est confus, complexe, perdu dans des temps multiples..
Joel Dicker atteindra-t-il un jour la confusion d'un Modiano... ?
Heureusement, malgré toutes ces complications, malgré les références récurrentes à des épisodes de livres précédents, Joel Dicker arrive encore à accrocher le lecteur...
Pour combien de temps...?
J'ai arrêté de lire Modiano après une dizaine de romans, quand il n'a plus rien raconté du tout.
Pour Dicker, je m'accroche encore....
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J'ai lu chaque livre de Joel Dicker peu après leur sortie, car ils sont l'assurance d'un bon moment de lecture.
Celui-ci n'échappe pas à la règle, la lecture est addictive, facile, l'épilogue étonnant... On pourrait s'agacer des nombreuses digressions qui constituent le récit car à bien y regarder, chacun y va de sa petite histoire, de son anecdote, de son souvenir, mais c'est finalement de là que nait l'enquête - et ce qui fait le style de l'auteur.
Cependant, à la lecture de ce nouvel opus, j'ai réalisé que ces récits composés des anecdotes peinent visiblement à marquer mon esprit. Je ne me souviens absolument pas du fameux Drame (avec une majuscule) des Baltimore, auquel Marcus fait ici de nombreuses références (l'Affaire Alaska Sanders prend chronologiquement place après l'Affaire Harry Québert mais avant le livre des Baltimore), je n'ai aucun souvenir des cousins ou de la fabuleuse Alexandra, et en fait je peine même à me souvenir de l'histoire de Harry Québert. Cela me fait réaliser qu'à construire un récit qui se veut très alambiqué, ou multi-couche pour le dire autrement, Joel Dicker construit un roman faussement complexe, dont le dénouement est simple et pourrait rester dans les esprits, mais qui fait dire au lecteur "tout ça pour ça?". Et au final, les souvenirs s'embrouillent et ne reste que l'impression d'avoir passé un bon moment, sans plus.
Le souvenir qu'il laisse, c'est finalement ce qui distingue un bon livre d'un grand livre. Et donc, l'Affaire Alaska Sanders est un bon livre.
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Ecoute du livre audio. La voix du lecteur est agréable.

Début peu intéressant pour moi surtout en ce qui concerne la partie de l'écrivain. Il faut peut être avoir lu le livre "la vérité dans l'affaire Harry Québert" pour y voir un intérêt.

Une fois que le livre se focalise sur l'affaire Alaska Sanders, il est très prenant. Cette partie est très bien écrite. On se fait mener en bateau tout au long du récit. L'histoire va de rebondissement en rebondissement : c'est ce qu'on attend d'une bonne enquête.
Petit bémol : Il y a beaucoup d'aller et venues temporels. On peut parfois s'y perdre surtout avec l'audio car on fait souvent autre chose en écoutant le livre. A noter que ces sauts temporels permettent de bien comprendre les événements.
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On peut reprocher à Joël Dicker des tics d'écriture horripilants comme la multiplication des personnages et des sauts incessants dans le temps. Force est de constater aussi un talent certain chez le Suisse dans la gestion méticuleuse du suspens. Ainsi, son roman de 569 pages se dévore non sans déplaisir, même si l'excitation initiale se délite quelque peu au fil de révélations de plus en plus invraisemblables. Avec ce livre, le Suisse clôt plutôt habilement une série débutée avec l'immense succès de Harry Québert. Une trilogie « méta » qui a su trouver son public.

Sous la forme d'un haïku :

Alaska Sanders.
Il est temps de dire adieu
à Harry Québert.
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Pour ma part il y a un rebondissement en trop qui n'est pas crédible !!! Difficile d'en dire plus sans divulguer le coupable.
Mais nous avons la solution dans les dix derniers pourcents du livre.
Donc pour ma part, on peut se contenter des cent premières pages et des cent dernières...
Ensuite, on parle d'une suite à l'affaire Harry Québert. ce pourquoi j'ai hésité à le lire. mais rien à voir.
Joël Dicker parle de Harry, revient sur ses cousins de Baltimore, mais aucun lien avec Alaska Sanders!
En conclusion je ne trouve pas que ce livre mérite 4,15.


Je trouve que l'auteur
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Le dernier roman de Joël Dicker est palpitant et agréable à lire. On tourne les pages sans pouvoir s'arrêter, car on aimerait bien savoir ce qui est arrivé à cette fameuse Alaska Sanders ! Toutefois, il manque quelques indices avant-coureurs qui auraient pu nous mettre sur la voie. Certains éléments sortent du chapeau comme par magie. Et les paragraphes s'enchaînent malgré tout un peu trop rapidement, mettant le lecteur face à une succession d'événements sans profondeur. Dommage.
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