L'affaire Alaska Sanders

J'attendais avec impatience la sortie de ce nouveau roman de Joël Dicker, dont l'intrigue se situe entre La vérité sur l'affaire Harry Quebert et le livre des Baltimore. Après avoir moins apprécié L'énigme de la chambre 622, le charme a de nouveau opéré avec L'affaire Alaska Sanders puisque j'ai adoré ce roman !
Nous retrouvons Marcus Goldman, qui après le succès de son dernier livre sur Harry Quebert, erre de ville en ville, à la recherche d'un sens à sa vie. Il rend notamment visite à son ami le Sergent Gahalowood, dont l'existence est également chamboulée, personnellement mais aussi professionnellement puisqu'une enquête qu'il a élucidé il y a 11 ans, le meurtre d'une femme de 22 ans, est remise en cause. Une fois encore, l'écrivain et le sergent vont faire équipe pour découvrir ce qui s'est réellement passé en avril 1999.
J'ai adoré être de nouveau aux côtés de Marcus Goldman dans ce roman qui reprend un peu les mêmes ingrédients que dans l'Affaire Harry Quebert : le jeune écrivain vient en aide à un ami pour faire le jour sur une histoire du passé. L'enquête nous tient en haleine, en alternant entre passé et présent, avec de nombreux personnages, qui tous pourraient être coupables. Dès les premiers chapitres, je me suis laissée menée par la plume de l'auteur et avait du mal à refermer le livre !
J'ai donc passé un excellent moment de lecture et j'ai déjà hâte de me plonger dans le prochain roman de l'auteur !

« La suite de Harry Quebert Avril 1999. Mount Pleasant, une paisible bourgade du New Hampshire, est bouleversée par un meurtre. le corps d'une jeune femme, Alaska Sanders, est retrouvé au bord d'un lac… » Comme d'habitude du très grand Joel Dickers qui m'a donné envie de continuer à lire les ouvrages de l'auteur tant on a une facilité à plonger dans ses histoires et à les dévorer d'un trait !

Coup de Maitre ! presque aussi bon que la vérité sur l'affaire Harry Quebert!
j'aime lire les 120 dernières pages d'un livre d'un trait , sans pouvoir s'arrêter, cela ne m'était pas arrivé depuis longtemps!
merci monsieur Dicker!
on va donc logiquement enchaîner avec le livre des Baltimore…

Dommage qu'il ne fasse que 570 pages, j'aurai bien lu quelques chapitres de plus...
Comme une bêtasse que je suis parfois, quand cet opus est sorti, j'avais lu que c'était la suite des autres romans de Joel Dicker, romans que j'ai lu à chaque fois comme une dingue, mais qui ne me laissaient malheureusement aucun souvenir (Je lis beaucoup, donc j'ai une mémoire de poisson rouge genre Dory dans Némo, le dessin animé (ce sont les parents d'enfants nés vers l'année 2000 qui comprendront cette substile allusion au cerveau des poissons....)).
Donc je ne comptais pas le lire, ne me souvenant plus des romans précédents.
Et miracle, je tombe sur une critique d'un Babeliot qui précise dans son billet qu'on peut le lire indépendamment des autres. Quelle ne fut pas ma joie de l'apprendre !!
Mais bon sang de bois, LISEZ CE LIVRE !!
Après quelques déceptions littéraires, j'ai pris comme un bain de mer vivifiant avec ce dernier opus.
Tout est réussi ; l'intrigue, les rebondissements, la description des personnages, les fausses pistes.... Bref, ce livre est une tuerie (c'est le cas de le dire..).
Ne passez pas à côté, ce serait vraiment dommage de ne pas lire ce thriller-policier qui vous mettra en transe et que vous ne pourrez pas laisser sur la table ou le canapé, non non non, vous y reviendrez encore et encore.
Très bon livre, très bien écrit, avec des rebondissements à foison, l'auteur nous ballade gentiment et ce fut un plaisir sans nom que j'ai lu cette grosse pépite.
J'espère que mon enthousiasme touchera certains lecteurs à commencer ce livre d'une rare qualité.
Lisez-le petits veinards, je vous envie car vous ne l'avez pas encore lu....
Pour moi, un chef d'oeuvre littéraire.

Cet auteur est un mystère. Un premier (en fait le deuxième) roman prometteur (La vérité sur l'affaire Harry Quebert), le suivant qui se tenait encore (le livre des Baltimore), puis une vertigineuse descente aux enfers jusqu'à toucher le fond avec « l'énigme de la chambre 622 », intrigue aussi invraisemblable que plombée et sans intérêt.

« L'affaire Alaska Sanders » relève légèrement le niveau, mais on a la triste impression que la flamme est éteinte. Une (re)mise en scène pénible et inutile de quelques personnages de « l'affaire Harry Quebert », comme si l'auteur ne s'était pas encore remis de ce succès et qu'il en avait la nostalgie, pour développer une énigme autour d'un assassinat qui s'avérera être un cold case appelant à une révision des faits 11 ans plus tard. Etrange nombrilisme de la part de l'auteur qui donne l'impression de se croire au centre du monde, et pas seulement du monde littéraire ! Fidèle à sa méthode, Dicker enchaîne les rebondissements, plus ou moins vraisemblables, mais ceux-ci finissent par laisser le lecteur incrédule et le lasser. Dans le monde Dicker, tout le monde ment, la vérité n'étant souvent que relative et transitoire, d'où les rebondissements ainsi orchestrés. Les ficelles sont trop grosses et trop apparentes, les sinuosités artificielles donnant l'impression d'une entreprise de tirage à la ligne. Sans ces artifices, l'intrigue des romans de Dicker se résumerait en cinq lignes et se révèlerait d'une grand pauvreté. le style est médiocre (une véritable édition de l'ouvrage aurait été indispensable), ce qui était (peut-être) le cas dès les premiers romans, sans que l'on y prête à ce moment attention, trop pris que l'on était par l'intrigue. Les caractères des personnages sont peu fouillés et très superficiels. En bref, une véritable déception, pour moi la dernière avec cet auteur.

Enquête, suspense et rebondissements.
Suite des aventures de Marcus Goldman, l'auteur à succès, célèbre depuis son best-seller « La vérité sur l'affaire Harry Quebert ».

Alors que notre personnage écrivain – rencontré lors de deux romans précédents – ne se remet pas de la fin abrupte de son amitié avec Harry, un fait divers sordide datant d'une dizaine d'année – le meurtre d'une jeune fille dont le corps fut retrouvé au bord d'un lac - va le rappeler dans la Nouvelle-Angleterre, et plus largement sur la côte Nord-Est américaine.

Alaska Sanders a été tuée à Mount Pleasant en avril 1999 – paisible bourgade du New Hampshire - l'affaire, rapidement bouclée et classée à l'époque, ressort alors en 2010.
Marcus Goldman raconte comment il fut impliqué dans cette enquête, et nous le retrouvons ici avec son ami, comparse enquêteur, Perry Gahalowood.

Enchaînement de chapitres d'époques différentes, protagonistes suspects, enquête haletante, énigmes, secrets dévoilés, rebondissements efficaces…
De quoi composer une recette que Joël Dicker maîtrise et ainsi éveiller la curiosité et capter mon attention de lectrice.
Analepses, mise en abyme, jeu du double littéraire, des procédés que l'auteur affectionne et qui réussissent leur effet, à mon humble avis.

Le roman est prenant avec une intrigue bien ficelée pour une lecture agréable et un moment divertissant.

Ce est la suite de la vérité sur l'affaire Harry Quebert.
J'ai eu beaucoup de plaisir à retrouver Marcus et le sergent Perry . Je les aime trop ces deux là !
Leur côté masculin pudique, leur simplicité, leur honnêteté réciproque ne peuvent qu'émouvoir les lecteurs . Malgré leurs manques de communication et d'expression naturelle, ils arrivent à se comprendre sans parler et malgré la distance qui les sépare ils arrivent à s'aider en cas de besoin et ils savent qu'ils peuvent toujours compter l'un sur l'autre .
Ceux ou celles qui ont aimé la vérité sur l'affaire Harry Quebert ne pourront qu'aimer ce livre où l'on retrouve la belle plume de l'auteur .
L'affaire Alaska est du même acabit, on y perd son latin, on a les idées qui s'embrouillent, des affaires parallèles se multiplient et se mêlent à l'enquête en cours, de l'adultère, des chantages, de la compétition enragée, des disparitions mystérieuses .
Bref comme à son habitude , on ne sait plus qui croire ni que penser jusqu'au dénouement final de l'enquête qui avec l'acharnement de l'Écrivain et du Sergent nous fera enfin connaître le vrai coupable ...
Une lecture agréable où se mêle suspens sensibilité humanité que je ne peux que vous conseiller .

C'est avec excitation que j'ai ouvert ce livre. L'histoire commence en avril 1999 à Mount Pleasant, le sergent Perry Gahalowood est alors nommé pour résoudre le crime d'une jeune femme nommée Alaska Sanders. A l'époque, l'affaire est rapidement résolue. Onze ans plus tard, un évènement survient et relance l'affaire. La construction de ce roman policier amène le lecteur à faire de nombreux sauts de le temps cela demande une lecture attentive pour mettre bout à bout tous les éléments de l'enquête. Ce livre est riche en rebondissements ce qui rend l'histoire addictive c'est mon coup de coeur 2022.

le premier tiers est addictif puis ça retombe on lit encore un peu en espérant que ça reparte et puis tout se ramolli tant et si bien qu'on laisse tomber ça comme un cake mal cuit. voilà. très déçue car j'avais adoré l'affaire Harry keber. je laisse tomber cet auteur. tant pis

Une jeune femme est trouvée morte dans une forêt du New Hampshire. le crime est rapidement élucidé, mais onze ans plus tard, de nouveaux éléments poussent la justice à rouvrir le dossier. Un roman où l'on retrouve les personnages de ”La Vérité sur l'Affaire Harry Québert”, les qualités de page-turner de l'auteur, mais également ses défauts : des personnages psychologiquement creux, des sauts chronologiques multiples et inutiles, des rebondissements en chaîne et des approximations syntaxiques. Un livre à lire pour ce qu'il est : un divertissement qu'on oubliera vite.