Nous voilà en Suisse, nous enquêtons aux côtés de
Joël Dicker pour comprendre le drame qui s'est déroulé, plusieurs années plus tôt, au sein du Palace Verbier et sa chambre 622, lors du Grand Week-End de la banque Ebezner, à laquelle tout est lié.
L'auteur mélange sa propre histoire au récit, sa propre histoire qui est plutôt un hommage à son éditeur
Bernard de Fallois, décédé en 2018.
Le roman se déroule donc en trois histoires: la vie de l'auteur; la semaine précédent le meurtre; et la même période quinze ans plus tôt.
Me voilà, pour une fois, légèrement déçue par ma lecture…
L'hommage à
Bernard de Fallois, qui aurait pu être touchant, m'a un peu mise mal à l'aise et je l'ai trouvé déplacé (il n'apporte rien au livre non plus).
C'est aussi agaçant qu'il ne se fasse appeler que « L'écrivain » ça fait un peu arrogant.
Je n'ai pas adhéré aux personnages, que je n'ai pas trouvé attachant tout comme toutes ces manipulations et ce triangle amoureux à deux francs.
L'intrigue m'a tout de même intéressée, et c'est peut-être le seul point positif, quoique la fin était un peu trop tirée par les cheveux.
D'ailleurs le mystère est entier puisqu'on ne sait pas qui est la victime avant la fin du livre (c'est probablement pour ça que j'ai continué à tourner les pages d'ailleurs)
Vais-je abandonner
Dicker pour autant? Certes non ! Il reste un de mes auteurs chouchou.
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