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3,64

sur 6729 notes

Critiques filtrées sur 2 étoiles  
Franchement, si nos banquiers Suisses sont aussi stupides que dans ce roman, on a du soucis à se faire ! Et je ne parle pas du style, on dirait un étudiant qui écrit son premier livre.
Les discussions et dialogues sont d'un neuneu désolant. le passé simple, utilisé lors de conversations avec Scarlett ou autre, passe assez mal. Je me demande si je vais avoir le courage de lire la fin.
L'histoire de Jean-Béné, (franchement ? Jean-béné??? mdr !!) et toute cette clique de nantis affublés de 3 neurones, c'est d'un lassant !
A se demander si les éditons ne l'ont pas édité par complaisance. Je trouve ce livre très mauvais. Désolée, mais tout "pue" la pédanterie, et cela m'a fortement ennuyée.
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Dicker bénéficie chez moi d'un grand capital sympathie parce que je lui dois de nombreuses heures de pur plaisir de lecture et parce que La vérite sur l'Affaire Harry Québert est certainement le livre que j'ai le plus conseillé à des non-lecteurs pour leur donner le goût de lire. En général ça fait mouche, ils adorent et m'en redemandent. Heureusement, je peux alors leur conseiller le livre des Baltimore tout aussi addictif. Mais après ça, ça commence à coincer. La Disparition de Stephanie Mailer, sorti il y a 2 ans, a commencé à accumuler les travers avec une intrigue montée en épingle et des rebondissements à ne plus savoir qu'en faire, susceptibles de décourager les lecteurs les moins motivés. Malgré tout l'ambiance du livre et les décors avaient un petit air d'Harry Québert qui rendait le tout assez agréable à lire.

Avec l'Enigme de la Chambre 622, changement de décor ! On part en Suisse enquêter aux côtés de l'auteur en personne pour comprendre ce qu'il s'est passé des années plus tôt dans la Chambre 622 de l'hôtel dans lequel il séjourne. Dit comme ça, ça a l'air assez simple à suivre mais c'est compter sans l'imagination hors normes de l'auteur qui n'hésite pas à mêler sa propre histoire à celle des protagonistes du drame. On assiste alors à un vibrant hommage rendu par Dicker à son éditeur mentor, Bernard de Fallois, décédé en janvier 2018, en plusieurs séquences disséminées ça et là au milieu d'une enquête sur un "cold case" pas franchement passionnant. Quelle mélasse à l'arrivée !

Dicker accumule les invraisemblances dans son roman, on a du mal à y croire, du mal à s'attacher aux personnages et du mal à s'intéresser à leur sort. Mais au lieu de travailler son entrée en matière pour nous créer un univers dont on ne voudrait plus s'extraire, Dicker nous livre un début de roman absolument catastrophique. Je n'ai jamais fait particulièrement attention à son style dans ses romans précédents car il parvenait de suite à m'embarquer dans son histoire mais là au bout de quelques pages je me suis sincèrement demandé si c'était bien lui qui avait écrit ce livre. C'est franchement mauvais, tartignolle au possible et en toute franchise, je n'aurais pas dépassé les 20 premières pages si ça avait été écrit par un auteur qui m'était inconnu. Etrangement, le style est un peu moins maladroit ensuite, une fois entré dans le vif du sujet mais là d'autres écueils sont à déplorer. Dicker use et abuse franchement d'effets cinématographiques pour révéler son histoire. C'était l'un de ses points forts sur ses premiers livres, ce qui parvenait à susciter la curiosité du lecteur mais ici il à trop forcé sur les ingrédients de ses succès passés, on est clairement dans l'overdose d'effets narratifs. On passe son temps à suivre trois histoires parallèles : l'enquête menée par Dicker en 2018, le déroulé de la semaine qui a précédé le drame et des scènes qui se sont produites 15 ans avant le drame. A chaque fois que l'on avance un peu dans l'enquête, qu'il y a une révélation susceptible de tout faire vaciller, l'auteur nous replonge dans un passé plus ou moins lointain pour illustrer son propos. En règle générale j'aime les romans qui guident le lecteur en lui expliquant précisément ce qu'il en est mais là on frise souvent le ridicule : chaque petit élément révélé par l'enquête est ensuite illustré par une scène qui s'est déroulée dans le passé. Voilà comment on arrive à écrire une telle brique pour un fait divers tout à fait banal. Ce qui l'est moins en revanche c'est tout le bazar qui s'organise autour du dénouement. Là on atteint des sommets d'invraisemblance. Soit Dicker n'était vraiment pas inspiré par son histoire, soit il l'était trop mais dans tous les cas ça ne fonctionne pas, on n'y croit pas, ça sonne faux, c'est naïf, tiré par les cheveux et totalement ridicule (aucune mention inutile n'est à cocher dans cette liste).

Et que dire du chemin pour en arriver là ! Des révélations et fausses pistes, vous en avez à peu près à chaque page parmi les 100 dernières. Peut-être que sur certains lecteurs ça aura l'effet escompté mais chez moi ça c'est plutôt transformé en mal de mer à force de me retrouver ballottée de droite à gauche en permanence.

Si vous aimez les intrigues palpitantes aux multiples rebondissements mais qui restent crédibles, je vous conseille plutôt d'aller voir du côté de Robert Goddard (L'héritage Davenall, le secret d'Edwin Strafford). Là vous en serez quitte pour vous faire des noeuds au cerveau à vraiment essayer de démêler le vrai du faux. C'est beaucoup plus subtil et plaisant à lire, je vous le garantis !

Lien : https://www.lettres-et-carac..
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Je ne suis pas fan de Joël Dicker, j'avais déjà lu La vérité sur l'Affaire Harry Quebert dont je ne garde qu'un vague souvenir, bien qu'il me semble, au fond, en avoir apprécié l'intrigue. Alors quand une collègue m'a proposé de me prêter L'Enigme de la Chambre 622, je me suis dit "pourquoi pas" ? Cependant, aux vues des nombreuses critiques mitigées sur cet ouvrage, j'avoue avoir commencé ma lecture avec une pointe d'appréhension, et d'y être allé à reculons... 

Et en effet, je ne suis pas fan. Ni du style, ni de la forme, ni du fond. 

Je n'ai pas adhéré aux personnages, peu crédibles et peu profonds, selon moi. J'ai d'ailleurs souvent eu l'impression de lire un roman pour adolescents tant les protagonistes m'ont semblé immatures. Leurs pensées, leurs actions, leurs modes de réflexions et tout ce qui les composent ne s'harmonisaient pas avec des adultes à l'aube de la quarantaine. Amourette, coups bas, chantage, égo mal placé, orgueil d'enfant gâté et/ou mal aimé... Bref, j'ai trouvé que tout cela s'apparentait plus à des enfantillages qu'à des actes réfléchis et muris, qui incomberaient à des adultes. Même si je ne nie pas qu'une certaine spontanéité ou naïveté puissent émaner chez des quarantenaires, j'ai trouvé que là, cette redondance au sein du caractère de tous les protagonistes était... trop. Et donc peu crédible. 

De plus, dans ce livre, les femmes sont belles, ravissantes, bouleversantes et les hommes emplis d'un charisme indéniable. J'ai du mal avec ce genre d'histoire où tout le monde est beau, sans aspérité ni relief. Les personnages m'ont vraiment paru creux, quel qu'ils soient. 

L'intrigue, en soit, a tout de même su piquer ma curiosité, me poussant à tourner les pages afin de savoir qui, comment, pourquoi ? Il y avait ce petit quelque chose qui a su m'intriguer. Malgré cela, j'ai trouvé l'enquête assez longue, tous ces aller/retour entre passé/présent, entre les divers points de vue et personnages, toutes ces sinuosités dans les vies de chaque protagoniste... C'est trop alambiqué pour moi et pour pas grand-chose, il n'y avait parfois aucun apport concret au récit, j'avais souvent l'impression de lire pour lire, sans attrait ni intérêt. Et puis, le tout est beaucoup trop rocambolesque (je n'oserai même pas évoquer le dénouement). Tous ces rebondissements, ces retournements de situations, m'ont amenée à me dire que, c'était too much. Heureusement que les nombreux dialogues ont permis de fluidifier un peu ma lecture.

En bref, je n'ai pas réellement apprécié ce roman que j'ai trouvé "trop" à bien des égards, et "trop, c'est trop".

Challenge Multi-Défis 2021
Challenge Les Globe-trotteurs
Challenge Pavés 2021
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Autant le dire d'entrée le dernier livre de Joël Dicker l'énigme de la chambre 622 m'a irrité  pour son manque de style, son manque de réalisme  et par son arrogance.
J'avais beaucoup aimé La vérité sur l'affaire Harry Quebert.  J'avais moins aimé  le livre des Baltimore et j'en étais resté là des romans de Joël Dicker.

Le libraire m'interpella et me dit : prenez le dernier Joël Dicker, c'est un bon livre pour l'été !
Je suivis son conseil sans être convaincu à  100%  .
Mais un bon livre pour l'été pourquoi pas ?
Malheureusement le dernier livre de Joël Dicker n'est pas un bon livre d'été  et encore moins un bon livre.
Je reviens donc à mon irritation du départ
Je commencerais par l'arrogance. Ce n'est que mon ressenti.
Une des parties du livre concerne la relation de Joël Dicker avec son éditeur  Bernard de Fallois décédé  en 2018.
Cette relation qui paraît si importante aurait peut être mérité de la part de Joël Dicker un livre à  part.
Là c'est encapsulé dans un récit et ce n'a pas lieu d'être à premier abord.
Et puis si l'on regarde de plus près, je trouve que par maladresse - je n'ose penser par malhonnêteté - s'installe une certaine arrogance de la part de Joël Dicker.
J'ai ressenti la relation que décrit Joël Dicker avec son editeur  comme la seule véritable relation de cet éditeur de 90 ans. Comme si Joël Dicker était le légataire universel et le seul à  même de connaître Bernard de Fallois .
Maladresse ou brosse à  reluire alors que le livre est édité  par les Éditions de Fallois.
De même que penser de cette autre partie du roman dans laquelle Joël Dicker himself poursuit l'enquête policière avec Scarlett.
Et celle ci de ne jamais nommer Joël Dicker par son nom, mais par l'entité " l''écrivain "
Quelle vanité,  quelle arrogance.

Concernant le manque de réalisme et le manque de style, cela concerne les autres parties du roman qui nous raconte l'énigme de la chambre 622. 500 pages d'aller retour entre Verbier et Genève, entre le palace et les banques de Genève,  le tout sur quinze ans.
500 pages truffées d'invraisemblances , de personnages et de situations irréalistes.
Il y a pourtant une trame continue dans ce roman  : l'héritage sous toutes ces formes, financier, mobilier et humain. Cet héritage humain prenant la forme du besoin de reconnaissance.
Ce besoin de reconnaissance que l'on retrouve entre Sol le père et Lev le fils.
Sol ce saltimbanque qui voudrait que son fils Lev devienne un grand acteur,
Usant de dissimulation et de transformation.
Et comme un jeu de miroir cette relation filiale est transposée dans la relation entre Joël Dicker et Bernard de Fallois  de façon très maladroite.
Soit cette relation à une extrême profondeur et elle ne méritait pas cet encapsulage dans un roman, soit cette relation est une relation d'opportunité  pour écrire un roman.
Tout dans ce roman est opprtun. ...
Donc on revient à  l'irritation du début de cette chronique.
 
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A mon sens, il y a deux catégories d'auteurs: ceux qui s'améliore au fil des publications, et les autres. Jöel Dicker fait définitivement parti de la deuxième catégorie, et c'est bien le dernier livre que je lis de lui. Fini on ne m'y reprendra plus. J'avais beaucoup aimé Harry Quebert, moyennement apprécié les Baltimore et celui-ci encore moins. Dans ce roman, Dicker bouffe à tous les râteliers: un peu de policier, un peu de romance savamment saupoudrée de mise en abîme, un peu d'espionnage... Tout ça pour donner naissance à ce gloubiboulga long et indigeste qui se perd dans les intrigues inutiles et redondantes, nous sortant du rebondissement sur le rebondissement sur le rebondissement. Il faudra expliquer à Dicker que faire court ça peut être pas mal aussi, à moins qu'il ne soit payé au mot, ce qui expliquerait ce diluage! Il aurait fallu se recentrer sur l'intrigue principale, ça aurait été tellement plus lisible. Mais là, entre les intrigues à tiroirs, les sauts dans le temps encore et encore, et les noms à coucher dehors, je me demande encore comment j'ai réussi à aller jusqu'au bout de ce livre, cela relève de l'exploit.
Petit ajout concernant la version audio: le lecteur est imbuvable et nous fait profiter dès que c'est possible de son talent inouï (!!!) en matière d'accents, tout y passe et j'ai fait le tour du monde grâce à lui. Que ce soit le texte ou l'écoute, ça n'est pas passé pour moi.
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Bon décidément, ces auteurs jouissant de grands succès commerciaux ne sont pas pour moi.
Je ne peux que dire que sur la forme, ce roman est bien écrit, les personnages travaillés, l'intrigue bien construite, mais il n'y a pas l'âme qui fait que le roman nous accroche, qui rend les personnages attachants. Je me suis ennuyé du début à la fin et les presque 200 premières pages sont les pires.
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Quelle déception que ce roman, alors que j'avais tant aimé "L'affaire Harry Quebert".

J'ai trouvé ça peu crédible et totalement rocambolesque (on attend quand même du censé dans un thriller qui colle à la réalité, après tout, c est la marque de fabrique de l'auteur!). On se serait cru dans un mauvais James Bond.

Pourtant, l'histoire avait l'air très intriguante.

La chambre 622 d'un grand hôtel Genevois, avait été le théâtre d'un meurtre.
Le mystère était total et l'enquête à refaire 15 ans plus tard.

Un couple d'enquêteurs amateurs, se penche donc sur cette affaire.

Mais qui est mort me direz vous ? Eh bien, si vous êtes patient, vous le saurez à la page 400!

Trop long, théâtral à souhait!
Dans les 100 dernières pages, on saute de rebondissements invraisemblables en feu d'artifices qui n'en finit pas !

Pas pour moi, mais je suis certaine que ce roman a trouvé son public.
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Je dois dire que je ne comprends pas. Je vais tenter de rédiger cette chronique avec le plus de diplomatie possible, bien que je ne sois pas du genre à mâcher mes mots. 

Je crois qu'avec "l'énigme de la chambre 622", Joel Dicker s'est perdu. C'est du moins ce que j'ai envie de croire, afin de lui laisser l'opportunité de nous surprendre pour son prochain roman. 

Je suis déçu, il faut le dire. Cette lecture fut laborieuse et pesante même. Si j'ai pu en arriver au bout, c'est uniquement parce que je lisais ce livre avec mon ami Adrien. Autrement j'aurai très probablement abandonné le roman dès les premières cent pages. 

Dans ce roman, on va évoluer dans le domaine de la finance. Lors du Grand Week-end de la banque Ebezner, un meurtre a lieu dans la chambre 622. Joel, lui-même, va mener l'enquête plusieurs années après, alors qu'il séjourne au Palace de Verbier, là où a eu lieu le meurtre, il rencontre Scarlett avec qui il mènera l'enquête. 

Globalement, c'est un bon résumé que je viens de vous faire. Et je sais ce que vous vous dites... Oui, l'auteur a eu envie d'être dans son roman avec une femme qui vient de ne je ne sais où et qui est je ne sais qui... Première contrariété. Utilité de ce personnage ? Je cherche encore. Plus agaçante que vraiment utile quand j'y repense. 

La construction du roman est particulière, nous avons de court chapitres avec Joel et Scarlett, nous racontant plus la vie de Bernard de Fallois (éditeur et ami de Joel) que menant réellement une quelconque enquête. C'est noble de vouloir rendre un si bel hommage à son éditeur, mais je suis désolé je n'ai pas compris l'intérêt dans ce livre-là. Si Joel Dicker avait plutôt décidé de réaliser une courte nouvelle sur Bernard de Fallois, alors j'aurais dit oui, un grand OUI. Mais là, ça n'a pas lieu d'être. Ça ne sert à rien dans l'histoire. 

Puis d'autres chapitres sur ce qui a mené à ce fameux meurtre (dont on ne sait rien) puis a quinze ans auparavant pour étayer ce qui a mené au meurtre. Encore une fois, je sais vous ne comprenez pas cette construction du roman... Et moi non plus, c'est brouillon. Beaucoup trop brouillon qu'on s'y perd et qu'on s'y ennuie. Je suis désolé Monsieur Dicker mais en vous perdant dans ce roman, vous m'avez perdu. 

Au tout début, on est intrigué par cette fameuse énigme mais on se rend compte que le sujet ne va faire que tourner autour de la rivalité des hommes dans le milieu financier (Oui, dans les banques en Suisse aucune femme n'a vraiment de rôles importants). Les seules femmes que vous trouverez dans ce roman seront : secrétaire, bonne à tout faire, ou simple épouse au foyer. Ah, la valorisation de la femme...

Outre les redondances dont fait preuve l'auteur pendant près de deux cents pages (utilité ?), on en arrive finalement à un dénouement plus farfelu que vraiment intéressant. Arrivé à la dernière page je n'ai pas pu me dire autre chose que "Tout ça pour ça".

Je persiste et je signe trois cents bonnes pages feront toujours mieux que 572 pages sans grand intérêt. Ça a manqué de piquant, de passion, de suspense aussi. Peu captivé, je ressors déçu de cette lecture. Et un peu de l'auteur aussi, ayant lu "Les Baltimore" il y a peu, le fossé entre ces deux romans est énorme.

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Un peu déçue par ce roman et pourtant j'avais envie d'aller jusqu'au bout.
Si l'intrigue est intéressante, elle est aussi pleine de rebondissements parfois bien prévisibles et les différents personnages manquent un peu d'analyse psychologique fine.
Les allers retours incessants entre passé et présent m'ont lassée, je les trouvais souvent utilisés à tort et à travers.
L'hommage à l'éditeur ainsi que la mise en scène de l'écrivain renforcent un aspect nombriliste peu intéressant.
C'est un moment de lecture distrayant dont je ne retiendrai pas grand-chose.
Dommage ...ses deux premiers romans m'avaient plu.

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Mais qu'est-ce que c'est que ce Gloubi-boulga indigeste ?
Prenez une dose d'histoire invraisemblable, ajoutez-y des retournements de situation permanents, des personnages caricaturaux et un tantinet stupides, des allers-retours dans le temps toutes les cinq pages (aujourd'hui, 15 ans avant, 4 jours avant le meurtres, 4 mois après, 7 ans avant), érigés en système et last but not least, un hommage à Bernard de Fallois, certainement sincère, mais Ôh combien laborieux !
Deux cas de figure : vous arrêtez ou vous continuez. J'ai privilégié la seconde proposition et je n'ai pas été déçue (mais ce n'est pas un compliment, évidement !)
PS. J'étais très étonnée que le psychanalyste de Macaire fut aussi bavard et interventionniste, mais à la fin j'ai compris !!! Comme c'était maliiiin...
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