L'énigme de la chambre 622

Ce n'est pas mon préféré de Joël Dicker, mais les recettes utilisées par cet auteur marchent toujours et font leur effet, faisant de ce livre une lecture plaisir.
Des chapitres courts, des points de vue différents, du suspense, des fausses pistes, des rebondissements, des personnages hauts en couleur, tout y est pour passer un bon moment.
L'auteur arrive à nous faire lire des centaines de pages en un claquement de doigts. En soi, c'est déjà une prouesse. Ce n'est pas la qualité littéraire du livre qui marque mais la capacité à poser les pièces d'un gros puzzle et à les assembler par petites touches tenant en haleine le lecteur, jusqu'au bout.

Très décevant ! Long, très long ! le « page turner » donne des crampes aux doigts et l'on peut se demander quand tout ceci va finir. L'intrigue générale, pourquoi pas, malgré des passages peu crédibles et tordus. le tout est noyé dans une soupe mièvre, insipide et convenue qui rend ce roman indigeste.
J'avais adoré les 2 ou 3 premiers romans de Joël Dickers, je me suis ennuyé avec celui ci.
Je me lance néanmoins dans l'Affaire Alaska Sanders.

Peu attirée par le genre policier, Joël Dicker m'a convaincue. Les pages se tournent entre les doigts, les lignes défilent, une écriture lisible et pourtant riche.
Etrangère au style policier, l'intrigue me contente largement, les personnages principaux sont bien construits, avec quelques réserves tout de même sur la nature de la relation entre l'écrivain et l'héritière que je trouve un peu stéréotypée.

Une lecture audio qui laisse un goût d'inachevé.
Dans ce roman on redécouvre le style, le genre de Joël Dicker.
On suit toujours ce fil rouge, la vie d'un auteur, qui se trouve confronté à un meurtre qu'il souhaite résoudre pour son prochain roman.
J'ai beaucoup apprécié le passé présent, l'énigme, les personnages mais je suis restée sur ma faim.
Pensant avoir loupé un chapitre, je suis revenue en arrière, mais non, j'avais bien écouté tout le texte.
Un final un peu décevant par rapport à l'ensemble du livre.
Dommage

Ce roman n'est pas qu'un polar, il sera également un hommage à Bernard de Fallois, l'éditeur de Joël Dicker récemment décédé. L'intrigue prend place en Suisse. Un auteur à succès, Joël, est en train d'écrire un nouveau roman mais l'imagination lui fait défaut. Il voudrait écrire un roman sur son éditeur mais pêche. Il décide de partir quelque temps au Grand Hôtel de Verbier, histoire de changer d'air et de trouver l'inspiration. En arrivant, il se rend compte qu'à son étage il n'y a pas de chambre 622. Il y a la 621, la 621 bis et la 623. Il est très vite intrigué par cette histoire de numéro et tente d'en savoir plus auprès du personnel de l'hôtel. Mais ces derniers restent vagues. En faisant la connaissance d'une cliente de l'hôtel, Scarlett, il va découvrir qu'un meurtre a eu lieu dans la chambre 622 d'où le changement de numérotation. Mais ce meurtre n'a jamais été élucidé et ils vont tenter tous les deux de découvrir ce qui s'est passé 10 ans auparavant.

Retour en arrière, nous rencontrerons, Anastasia, Lev Levovitch et Macaire Ebezner qui seront au coeur de l'intrigue et du meurtre qui s'est déroulé au grand Hôtel de Verbier. Macaire est marié avec Anastasia. Riche banquier, il est sur le point d'accéder à la présidence de la banque Ebezner. Mais tout porte à croire que ce sera Lev qui sera élu et non lui. Et un meurtre va être commis lors du grand week-end de rassemblement où le nouveau président sera élu.

Je n'en dirai pas plus pour ne pas vous gâcher votre plaisir. Tout ce que je peux dire c'est que Joël Dicker nous offre un excellent polar avec une intrigue incroyable. Je n'ai rien vu venir.

J'ai passé un très bon moment de lecture et je me suis réconciliée avec l'auteur qui m'avait un peu déçu avec son précédent roman.
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Ce livre ci je l'ai écouté en audio. Ça représente plus de 17h d'écoute. Je prends mon temps, je n'ai pas beaucoup de moments où j'écoute mon livre audio dans la semaine. Mais ça ne m'a aps dérangée.
Habitant la frontière Suisse, j'ai adoré que l'histoire se déroule à côté de chez moi, j'imaginais chaques paysages, je comprenais les lieux, les enjeux...
Joël Dicker est vraiment le champion des romans d'enquête, les situations de retournement sont souvent surprenantes, le livre est palpitant.
J'ai passé un excellent moment.

Afin de percer le mystère de la chambre, l'écrivain va remonter dans la vie de tous les protagonistes. Il remontent 15 ans en arrière, parfois plus. Au milieu de cette quête, il partage des souvenirs de son éditeurs.
Il y a donc ce que vit l'écrivain, sa quête et ses souvenirs, et à côté, l'histoire autour de la chambre 622.
Par moment, je trouvais assez long car je voulais vraiment retourner sur l'histoire et j'avais l'impression que l'on se perdait dans les détails des existences de chacun.
Le mystère n'est vraiment résolu qu'aux dernières pages du roman. Finalement, je me suis rendu compte que chaque éléments avaient effectivement son importance dans la résolution de l'histoire.
C'était donc un travail fou que j'applaudis.

Je lirais sans doute d'autre de ses romans.

J'ai lu tous les livres de Joël Dicker et j'ai toujours beaucoup aimé ces livres jusqu'à La disparition de Stéphanie Mailer, que j'ai moins bien aimé que ces précédents.
J'avais donc pas vraiment l'intention de le lire, surtout que j'avais vu certaines critiques peu élogieuses à propos de ce livre.
Et puis une occasion c'est présenté et je me suis finalement laissé tenter. (merci à ma belle-soeur)

J'ai bien fait parce que j'ai beaucoup aimé ce livre, j'y ai retrouvé la sensibilité de l'auteur et surtout son attachement à son éditeur, Bernard de Fallois, qu'on ressent très fort. Rendre hommage à son éditeur à travers un livre, on ne peut pas faire mieux je trouve !

L'énigme de la chambre 622, est l'histoire d'un écrivain qui en vacances dans un hôtel va faire une découverte assez intriguant et finira par découvrir qu'un meurtre à eu lieu dans une des chambres, la 622.

Oui bon il ne s'agit pas d'un livre parfait et je peux comprendre certaines mauvaises critiques mais soit, moi ce ne fût pas le cas. Et même si j'ai deviné la plupart des intrigues, ça ne m'a finalement pas dérangé. Intrigues que j'ai aussi beaucoup aimé, parfois peut-être un peu trop et peut-être peu crédible pour certains, je ne sais pas, mais moi je me suis laissé bercer pour finalement avoir passé un excellent moment avec cette histoire ainsi que ces personnages dont je me suis beaucoup attachée.

Voilà en conclusion, j'ai passé un bon moment avec ce livre qui pour moi rattrape la déception que j'ai pu avoir avec son précédent livre.

Nous nous retrouvons ici en Suisse au Palace Verbier pour élucider le mystère de la chambre 622.
L'intrigue et la forme sont une réussite, il nous tient en haleine jusqu'aux dernières pages. Les personnages sont attachants et j'ai apprécié l'hommage rendu à son ami éditeur.
Cependant, il y a énormément de répétitions.

Bon moment de lecture !

J'avais ce dernier roman de l'auteur depuis sa sortie et j'ai pourtant voulu patienter le temps de me faire ma propre idée en oubliant les nombreux retours que j'ai vu passer à travers les chroniques.

Il faut le dire, Joel Dicker est mon auteur préféré depuis des années. « La vérité sur l'affaire Harry Québert » a été une lecture inoubliable et un véritable tournant dans mon rapport à la lecture.

J'ai attaqué cette lecture avec une pointe d'appréhension, la peur d'être déçue.

J'y ai trouvé un rythme lent, plutôt surprenant et inhabituel je dois dire. J'ai trouvé la lecture agréable malgré le manque d'intensité pendant la première partie du roman.
J'ai pris le temps d'assimiler tous les détails, ce qui m'a ralenti également.

J'ai aimé l'attente instaurée par l'auteur pour ne pas nous révéler tout de suite l'identité de la victime. Cela laisse place aux doutes, aux questionnements et c'est ce qui me plait chez l'auteur.

La relation de l'auteur avec son éditeur, décrite à plusieurs reprises dans la lecture est touchante et sincère. Je n'y ai cependant pas trouvé l'interêt à travers l'enquête.

Dans la dernière partie du livre, les évènements s'accélèrent, tout le monde est soupçonné, le lecteur est induit en erreur et cela est passionnant.
J'ai terminé sur un dénouement exceptionnel, inattendu et improbable, digne du talent incroyable de Joël Dicker.