L'énigme de la chambre 622

L'écrivain prend quelques jours de repos au Palace de Verbier. L'écrivain ? Ce n'est autre que Joël Dicker, dans son propre rôle. Il rencontre Scarlett, qui loge dans la chambre voisine, au numéro 621bis. 621bis ? le numéro de la chambre les intrigue et ils décident ensemble d'en découvrir la raison, alors que tout le monde garde le silence sur cette affaire. Ils se rendent vite compte qu'il y a eu un meurtre dans cette pièce, et l'histoire nous fait remonter le temps jusqu'à la vie des pontes de la banque Ebezner. L'intrigue suit plusieurs espaces temporels qui s'entremêlent avec le présent et tiennent le lecteur en haleine, car s'il y a bien eu un meurtre, le mort et le meurtrier sont tenus très secrets jusqu'à la fin du livre. Un produit commercial peut-être, un peu léger, mais j'ai pris beaucoup de plaisir à le lire.
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C'est le troisième roman de l'auteur que je lis et j'ai une nouvelle fois passé un très bon moment de lecture.

J'ai trouvé ce roman très différent mais tout aussi addictif et énigmatique que les précédents.

Le découpage des chapitres, les décors, le suspense, les révélations et les retournements de situation qui n'en finissent plus ont su attiser ma curiosité.

Amour, désillusions, manipulations et faux-semblants rythment ce polar et nous offre un final renversant !

Ce n'est cependant pas mon préféré de l'auteur. Je dois avouer que l'enquête m'a malheureusement un petit peu ennuyée par moments, la faute aux chapitres un peu trop longs sans doute, mais, si ce n'est pas déjà fait, je vous invite tout de même à le découvrir !

En voyant les critiques plus que négatives concernant ce livre, j'ai hésité à deux fois avant de le mettre dans ma valise pour les vacances. J'avais peur de m'ennuyer ferme et d'être terriblement déçue alors que j'avais bien aimé les précédents livres de l'auteur.

Verdict ..... ! Ce n'est pas son meilleur, je le concède bien volontiers.
De là à dire que c'est une catastrophe et que le livre est puéril comme j'ai pu le lire sur Babelio.... Non je ne partage pas !
L'intrigue change un peu des autres et tous les ingrédients d'un "page-turner" sont présents.

Je l'avoue, les dialogues et la bêtise de Macaire (l'un des personnages principaux) m'ont un peu prise au dépourvue durant les 100 premières pages.
J'ai ri plusieurs fois avant d'accepter le style du roman (selon moi, volontairement caricatural).
Les personnages sont invraisemblables et le tout fait un peu théâtral c'est vrai ! Mais une fois l'étonnement passé, j'ai pris l'histoire comme elle venait, j'ai "posé le cerveau" et j'ai apprécié ma lecture.

Ce n'est pas le livre de l'année, mais j'ai passé un bon moment. Il ne vaut pas 5 étoiles mais ne mérite pas non plus d'afficher son auteur sur la place publique ou de remettre en cause sa carrière et son talent.

Pour finir, je dirais que j'ai particulièrement aimé l'hommage à son défunt et regretté éditeur que Joel DICKER a entremêlé à son intrigue.

Un nouveau roman, « l'écrivain » ressent le besoin d'un nouveau projet. Son éditeur est décédé et il veut lui rendre hommage. Pour écrire, il décide de s'isoler et choisit de s'installer au Palace à Verdier, établissement calme et reconnu des Alpes Suisses.
Mais sa voisine de chambre va déranger, dès le premier soir, son programme.
Elle l'interroge : « où est passée la chambre 622 ? Il y a une chambre 621, une chambre 623 et entre les deux, la chambre 621bis ? Où est passée la chambre 622 ? » « Pourquoi cette bizarrerie ? »
Pour retrouver sa quiétude et se débarrasser de la dame, il décide … bien qu'il la trouve charmante et que, en effet, ou est cette chambre 622 ? … de se joindre à elle pour mener l'enquête.
Ils apprennent qu'un meurtre a eu lieu dans cette chambre lors de la réception annuelle du personnel de la banque Macaire. Cette année-là, lors de cette fête, devait être annoncé le nom du nouveau président de la Banque. Cela s'est passé il y a si longtemps et il a paru plus simple à la direction de l'époque d'oublier la chambre 622… circulez, il n'y a rien à voir.
L'explication leur semble un peu … expéditive, et notre duo continue son enquête.
Pour tout d'abord apprendre que la police est aux abonnés absents, aucun suspect, rien de tangible.
La banque Macaire, le plus grand organisme bancaire familial de Suisse est géré par « la famille » depuis plusieurs générations. Mais, des problèmes de succession troublaient la bonne ambiance, un « étranger » veux prendre le pouvoir. Et puis, quand deux dirigeants de la même banque, pressentis pour le poste suprême sont amoureux de la même femme, cela annonce l'orage.
Hé bien cette lecture m'a plu … un peu tarabiscotés le jeu de Macaire, héritier héréditaire en balance et OSS de pacotille et celui de Levovich, parti de rien pour arriver au sommet mais sans la femme qu'il aime qui a épousé Macaire par dépit.
Un peu biscornu tout cela, mais, je me suis bien amusé.

L E N I G M E d'E l'A C H A M B R E 6 2 2 🏔️

Le Palace Verbier connaît un scandale affolant : un homme est retrouvé mort dans sa chambre lors du Week-End d'intronisation du nouveau président de la banque Ebezner. Plus d'une décennie après, un écrivain décide de mener cette enquête jamais élucidée. Cet écrivain, c'est @joeldicker.

🏛️ D'abord lente, ma lecture de ce roman a été bouclée en quelques heures. Véritable page tuner (désolée pour l'expression vue et revue), L'Enigme de la chambre 622 offre un ballet entre le présent et le passé, entre la vérité et les mensonge, entre le réel et la fiction.

Joël Dicker rend un hommage à son éditeur plusieurs fois dans le roman, et on découvre un alchimie entre le jeune écrivain inconnu et Bernard de Fallois, disparu quelques mois avant la sortie du titre.

Le cold case de la chambre 622 est démantelé de l'intérieur, alors que l'on ne découvre que dans les derniers chapitres la victime de cette nuit-là. On peut prétexter quelques incohérences ou "ça fait beaucoup, là" mais finalement, on referme le livre en s'étant fait rouler (du moins, c'était mon cas, et pourtant je suis une sacrée détective littéraire 🧐 !).

Encore un très bon moment de lecture ✨
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J'ai un peu appréhendé ma lecture de ce dernier livre de l'auteur, j'ai lu autant de bons que de mauvais avis. Et j'ai passé un excellent moment de lecture ! 😍

L'auteur décide de ne pas créer de héros pour cette histoire. le héros, c'est lui-même qui, lors d'un séjour au Palace de Verbier, en Suisse, découvre qu'un meurtre a lieu dans la chambre 622. Avec une autre cliente du Palace, Scarlett, ils vont enquêter sur cette affaire qui n'a toujours pas été élucidée des années après. L'enquête va les plonger dans le domaine de la banque, plus précisément la banque Ebezner, dont le Conseil doit élire le nouveau président 👑

J'ai été souvent déstabilisée lors de ma lecture. L'auteur nous balade entre plusieurs époques et à travers le regard de plusieurs personnages afin de comprendre les tenants et aboutissants de l'affaire. Je me suis sentie parfois perdue dans les allers et retours présent/passé mais une intrigue dans chaque époque embarque le lecteur presque malgré lui. Durant une bonne partie de l'histoire, on ne sait pas qui est tué, on ne peut faire que des suppositions. On ne sait forcément pas qui est le meurtrier et on se demande aussi quel peut être le mobile. Que de mystères, de questions, de révélations ! 😱

J'ai d'ailleurs eu l'impression à un certain point du livre que l'auteur tournait autour du pot, j'ai cru y déceler quelques longueurs mais heureusement cette sensation n'a pas duré bien longtemps ! Et puis, il y a eu un moment où j'ai lu les pages presque en apnée tant les révélations et les événements s'enchaînaient. Vous pensez savoir ce qui s'est passé ? Non, l'auteur vous détrompe tout du long 😧

Comme toujours la plume est fluide, l'affaire est rondement bien construite et bien ficelée.
Quant aux personnages... ah les personnages ! Je suis tombée amoureuse de Lev 🥰, cet homme qui a gravi les échelons avec une facilité déconcertante, cet homme si parfait physiquement et intellectuellement. Son histoire d'amour avec Anastasia m'a bouleversée, j'ai espéré à chaque ligne qu'ils puissent se retrouver 🤞

Par ailleurs, j'ai eu aussi l'impression de retrouver certains Disney dans quelques cas de figure et ce n'était pas pour me déplaire ! 😄
J'ai passé un excellent moment de lecture et je recommande chaudement ce livre 🔥

Ce roman de cet auteur que j'adore se passe dans mon pays, la Suisse, que j'ai trouvé très bien décrit et mis en scène. Nous suivons Joël, un écrivain (ou l'auteur lui-même ? Quelle belle mise en abîme !) en proie au chagrin suite à une rupture amoureuse. ce dernier va prendre l'air dans un palace de luxe en pleine montagne, à Verbier. Il apprend qu'un meurtre a été commis dans la chambre à côté de la sienne, quelques années auparavant. Il mènera l'enquête, l'affaire n'étant toujours pas résolue, ce qui le mènera à écrire un nouveau livre sur les traces d'une célèbre banque genevoise.
Le lecteur est alors plongé à différentes époques du récit, selon différents personnages influents. Ce sont ces bonds dans le temps et dans les point de vue qui m'ont un peu chamboulée, voire embrouillée. Je pense qu'ainsi, je suis passée à côté de quelques détails utiles à l'intrigue et m'a empêché d'en comprendre certaines subtilités. Néanmoins, l'enquête reste très bien ficelée !
Si les deux premières parties du romans souffrent de certaines longueurs et passages inutiles selon moi, les deux dernières parties accélèrent la cadence et l'intrigue prend un nouveau tournant. Les révélations s'enchaînent et sont surprenantes, inattendues. Si j'ai pu deviner certains points, d'autres m'ont totalement bluffée et je me suis laissée prendre au jeu.
Cependant, mis à part pour faire plaisir à l'auteur, je me demande encore l'utilité des passages concernant la relation de Joël et son éditeur, Bernard, totalement détachés de l'intrigue et sur lesquels on peut aisément faire l'impasse.
J'ai trouvé la plume de Joël Dicker moins fluide que dans ses autres romans, truffée de répétitions de mots, parfois au sein d'une même phrase. Cela n'enlève rien à son talent, mais m'a laisse un léger goût amer à l'auteure perfectionniste que je suis.
En résumé, j'ai passé un bon moment de lecture avec ces nouveaux personnages et j'ai trouvé cette nouvelle enquête passionnante.

Plus le roman avance, plus ce la devient compliqué.
Parti avec un romancier en deuil de relation, on s'embarque dans la rédaction de son nouveau roman.
On découvre un monde magouilles financières dans le milieu des banques suisses. Mais pas que : des jeux de masques, des apparences, sur fond d'histoires d'amours..
Une superposition d'histoires dont la couche supérieure est le bouquin qu'on a dans nos mains.

Juin 2018. Joël, un jeune écrivain genèvois qui rédige un manuscrit sur son éditeur récemment disparu (Bernard de Fallois), vient de se faire larguer par Sloane, sa voisine pédiatre. Il décide alors de changer d'air et de prendre quelques jours de vacances au Palace du Verbier. Joël ne sait pas encore qu'il va y rencontrer Scarlett (dans la chambre 621 bis, proche de la sienne, la 623) et que tout deux – fort intrigués par l'absence de suite 622 – vont enquêter de concert sur un meurtre perpétré à cet endroit même, il y a de nombreuses années …

Le roman se partage entre le récit de l'affaire Ebezner / Levovitch et celui du principal protagoniste, l'écrivain-enquêteur (récit nettement autobiographique …) La construction en est donc assez originale et plutôt intéressante. D'aucuns diront que ce n'est pas ce qu'on appelle de la « grande littérature » … Toutefois Joël Dicker a un talent réel pour l'écriture et une imagination fertile pour les intrigues qui titillent la curiosité du lecteur et le détendent ! Pour ma part, j'apprécie chaque nouvelle sortie qui me fait passer un agréable moment, alors je persévère …

La sortie du nouveau Joël Dicker ne laisse jamais indifférent. Soit elle suscite une petite moue dégoutée face au succès de l'auteur suisse, soit de l'enthousiasme non dissimulé d'amateurs de bonnes histoires. Je fais partie de cette deuxième catégorie.
Dans la chambre 622 du Palace de Verbier a eu lieu 15 ans auparavant un meurtre dans le milieu opaque et luxueux de la banque. Joël, écrivain en deuil de son éditeur, va mener l'enquête sous l'impulsion de son auto proclamée assistante Scarlett. Sur plus de 500 pages, secrets, non-dits, manipulation, rivalité et amours contrariée assurent le suspense de cette intrigue magistralement menée.