L'énigme de la chambre 622

Même ressenti qu'avec le premier Dicker que j'avais lu, La Vérité sur l'Affaire Harry Québert : le suspense est complet, l'écrivain devient l'écrivain de l'histoire dans l'histoire et l'enquêteur... L'auteur nous emmène dans un labyrinthe livresque !! Bref, pour faire simple, j'ai dévoré ce livre te je l'ai ADORE !!!

J'ai découvert Joël Dicker avec le livre « La vérité sur l'affaire Harry Québert ». Un coup de coeur immense comme j'ai rarement eu pour un policier. Et quand son dernier roman est sorti j'ai eu peur de la déception. Crainte confirmée quand j'ai lu les premiers retours plutôt déçus. Comme quoi parfois il est bien de se faire sa propre opinion ! J'annonce donc que « L'énigme de la chambre 622 » est dans mon top 3 pour 2020 sans aucune hésitation. L'histoire se déroule entre Genève et Verbier dans le milieu bancaire. En décembre, un meurtre a lieu dans la chambre 622 d'un hôtel Suisse lors d'une soirée prisée. Qui est l'assassin ? Une question que tout le monde se pose dans un roman policier c'est même souvent le coeur de l'intrigue. Mais là une deuxième inconnue s'ajoute : Qui est la victime ? Joël Dicker réussit un tour de force et arrive à nous faire tenir sur presque 500 pages sans nous donner le nom de la victime. Nous allons donc remonter dans le passé du triptyque principal composé de Macaire, l'héritier d'un empire financier, Anastasia sa femme et Lev le rival de Macaire, homme parfait à qui tout réussit. Et autour de ce trio gravitent pléthore de personnages un peu à la Agatha Christie, tous plus importants les uns que les autres pour reconstituer le puzzle. Et petite particularité de ce roman, Joël Dicker opère une mise en abyme en écrivant sur lui entrain d'écrire sur le mystère de la chambre 622 ... Vous me suivez ?! Lisez-le et vous comprendrez !

C'est avec un peu d'appréhension que j'ai entrepris la lecture du sixième roman de Joël Dicker. Tous ces commentaires et toutes ces critiques sévères, voire négatives avec des cotes d'à peine 1 étoile !

Il est vrai que j'avais moins aimé le livre des Baltimore et, jusqu'à un certain point, La disparition de Stephanie Mailer. Par contre, j'étais tombé sous le charme de cet écrivain avec La vérité sur l'affaire Harry Quebert. Un auteur de polar qui incruste dans son récit fictionnel des conseils et des commentaires sur la littérature, l'écriture et le métier d'écrivain. S'impliquant comme écrivain dans ses histoires inventées. J'avais eu d'ailleurs l'occasion de lui mentionner, lors de son passage à une des éditions du Salon international du livre de Québec (SILQ) que ses romans me donnaient le goût d'écrire mes propres histoires. Un personnage que j'avais trouvé bien sympathique.

Donc, vous comprendrez que je suis un inconditionnel et que j'ai eu beaucoup de plaisir à lire L'Énigme de la chambre 622, une enquête qui se déroule enfin dans le pays, dans la ville d'origine de son auteur. Ayant été de passage à Genève il y a quelques années, j'y ai retrouvé l'atmosphère de cette cité riveraine du lac Léman et son jet d'eau célèbre.

Intéressant ce rapport au temps avec des aller-retour entre le présent, le passé lointain, le passé plus récent des événements qui nous sont racontés. Une formule qui rend le récit moins linéaire, plus dynamique. Contrairement à plusieurs lecteurs, je ne me suis jamais senti égaré dans cette narration touffue, complexe, tricotée serrée. Un « page turner » impossible à remettre sur sa table de chevet. de chute en chute, les indices s'accumulent, se contredisent, se confirment. Bien sûr, des éléments de la solution de l'énigme sont tirés par les cheveux (peut-être pas tant que ça après avoir visionné une vidéo sur Facebook après la publication initiale de ces commentaires). Mais on est dans un roman, dans une fiction, dans une histoire inventée qui nous divertit, nous fait voyager et rêver.

Les personnages bien campés de ce « roman diabolique et époustouflant, sur fond de triangle amoureux, jeux de pouvoir, coups bas, trahisons et jalousies, dans une Suisse pas si tranquille que ça », comme l'affirme l'accroche de la quatrième de couverture sont impliqués dans un scénario mené de main de maître effectivement réglé comme une horloge suisse. Tout un travail préalable de conception ! Une écriture fluide qui se limite à l'essentiel. Quelques coquilles dont une plutôt surprenante qui nous fait osciller un moment entre P-26 et P-30 sur deux pages successives. Et un bel hommage de l'écrivain à son éditeur, à celui qui a cru en lui et qui a contribué à sa renommée internationale. le rêve de tout romancier talentueux.

Laissez-vous emporter par L'Énigme de la chambre 622 qui pourrait faire l'objet, lui aussi, d'une série télévisée pleine de rebondissements. D'autant plus qu'il est impossible de découvrir le meurtrier avant les dernières pages.


Originalité/Choix du sujet :
*****
Qualité littéraire :
*****
Intrigue :
*****
Psychologie des personnages :
*****
Intérêt/Émotion ressentie :
*****
Appréciation générale :
*****

Alors qu'il s'apprête à passer quelques jours au palace de Verbier dans les Alpes Suisse pour se reposer, un détail va éveiller la curiosité de Joël.
Au Palace de Verbier il y a une chambre 621, une chambre 621 bis, une chambre 623 mais pas de chambre 622. Étrange…
Joël va vite découvrir qu'un meurtre a été commis des années plus tôt dans la chambre 622. Un meurtre qui n'a toujours pas été élucidé. Accompagnée d'une autre cliente de l'hôtel, il va tenter de résoudre ce mystère et trouver le coupable.
Une enquête qui va le conduire dans les coulisses d'une grande banque suisse.


Je ne sais pas comment vous fonctionnez, mais moi je lis les critiques des livres après avoir lu le livre. Cela afin de ne pas être influencée par l'avis des autres.
Et bien là, j'ai été surprise de voir que les avis sont très partagés sur ce nouveau roman de Joël Dicker. Sachez que moi je fais partie des lectrices qui ont aimé ce livre.

Ce que j'aime chez Joël Dicker c'est la manière dont il déroule ses histoires. Il prend le temps. Et c'est ça que j'aime, prendre le temps de lire. Ce livre on ne le dévore pas, on le savoure.

On pourrait qualifier ce roman de roman à tiroirs. Les histoires s'entremêlent et traversent les années. Les énigmes s'accumulent et nous tiennent en éveil.
Je me suis totalement laissée prendre dans les différentes histoires et dans l'enquête. Jusqu'au bout je me suis demandée quel dénouement nous réservait Joël Dicker.
En résumé une lecture prenante, qui se démarque.
Lien : https://orlaneandbooks.wordp..

Joel Dicker, écrivain que j'admire beaucoup et qui est définitivement mon écrivain préféré, a réussi derechef à me tenir en haleine jusqu'au bout!

Du début à la fin on est intrigué par l'histoire, malgré cette univers de la banque qui ne m'attire pas particulièrement,on s'attache au fur et à mesure aux personnages. J'avais l'impression de regarder une série chaque jours tellement que j'étais plongé dans ce roman, l'écrivain a cette capacité incroyable de nous transporter dans son univers, et la notamment j'avais cette sensation de voyager avec lui à Genève.
Les protagonistes qu'il nous invente ont tous une grande importance dans l'histoire, Il nous offre une palette de personnages, certains attendrissants, d'autres exaspérants, parfois drôles.
J'ai ressenti une foule d'émotions, et d'interrogations face à cette énigme qui happe et surprend.
Ce roman est aussi différent car il parle de lui à travers son livre, et cela parait tellement réel. On est également touché par cette relation qu'il a eu avec son défunt éditeur Bernard DE FALLOIS, c'est vraiment un bel hommage que lui rend Joël Dicker.
J'ai refermé ce livre à contre coeur, j'aurais voulu continuer cette aventure avec Macaire, Lev, Anastasia et les autres.. J'ai vraiment passé un très très bon moment à lire ce bouquin!!!

❄Malgré les critiques négatives que j'avais entendues concernant ce livre, j'ai adoré et ce, dès les premières lignes.

𧑎n effet, ce roman m'a réconcilié avec le genre policier, que j'avais délaissé depuis longtemps pour sa prévisibilité.

❄Pour résumer, lorsque j'ai remarqué que le personnage principal avait comme prénom "Joël" et que c'était un écrivain, je n'ai pas interprété cela comme du narcissisme, bien que on s'interroge.
Joël se rend dans un hôtel, où sa chambre, la 623, s'avère être voisine de la 621 bis. Intrigués, lui et sa voisine de chambre, Scarlette, décident de mener l'enquête pour comprendre ce qui s'est vraiment passé dans la chambre 622.

❄L'auteur, nous transporte entre Genève et Verbier, avec des personnages qui évoluent dans des temporalités différentes.
Bien que cela puisse sembler complexe, je trouve que les chapitres sont bien structurés, alternant entre l'histoire du meurtre, avec Macaire, Anastasia et Lev principalement et la résolution de l'enquête avec Joël et Scarlett.

❄Personnellement, j'ai adoré cette lecture, c'était un coup de coeur pour moi.
J'ai apprécié la fluidité de l'écriture, avec cette grosse dose d'intrigue.

❄Je recommande vivement cette lecture si vous recherchez un dénouement hors du commun, malgré les quelques longueurs qu'il peut contenir.

𧑎nfin, je tiens à saluer l'hommage émouvant de l'écrivain à son éditeur, Bernard de Fallois, décédé en 2018. Bien que ces chapitres ne soient pas essentiels à la compréhension du livre, ils constituent un geste touchant de la part de Joël Dicker.

Joël Dicker est un des caractères principaux dans L'Énigme de la chambre 622. En rendant hommage à son éditeur, il tisse une toile très complique lie à un meurtre dans un hôtel suisse, impliquant les hauts responsables d'une banque privé. En 2023 on peut presque tout croire, et pour cette raison rien m'a surpris avec chaque tournure farfelue dans ce bouquin.

C'est l'histoire de Joël un écrivain qui vient de se séparer de sa compagne et qui part se ressourcer à Verbier dans un hôtel. Il fait la rencontre d'une femme et ils se posent la question des numéros de chambre. Ils se lancent alors dans une enquête … Je vous laisse découvrir la suite.

C'est un livre bien écrit, fluide, un page tourner comme à chacun des livres de l'auteur. Il met toujours en scène un auteur qui dans cette histoire mène l'enquête et écrit un livre sur cette histoire. L'enquête est bien menée. Il faut bien suivre tout au long du livre car il y a sans cesse des retours en arrière mais cela permet de comprendre certains éléments. On est tenu en haleine par l'auteur jusqu'au moment du meurtre puis ensuite avec le dénouement. Les personnages sont attachants malgré des imposteurs, chacun tire bien son épingle du jeu. L'amour est au coeur de cette histoire, mêlé à des secrets bien gardés et des manipulations. le moins crédible reste le fait que l'écrivain a eu accès à des documents confidentiels de la Police assez facilement et tout le monde lui racontait son histoire sans réticence. On passe malgré tout un très bon moment de lecture.

Je conseillerai ce livre à un public adulte aimant les polars avec des avants et un après qui n'est pas toujours glorieux.

Un roman très bien construit. Un suspense et des rebondissements à chaque page. Des chapitres courts qui donnent du rythme. Une alternance perpétuelle entre hier et aujourd'hui. Un hommage appuyé à celui qui fut son premier éditeur... Joël Dicker signe un bon livre, à dévorer me semble-t-il d'une traite pour ne pas perdre le fil de l'intrigue. Il réussit même l'exploit de nous faire ignorer l'identité de celui qui a été assassiné jusqu'aux 2/3 du roman !

Mon tout premier Dicker, l'auteur ne m'était pas inconnu avant de me plonger dans ce roman. Ayant fait pas mal de bruit avec "La vérité sur l'affaire Harry Quebert" qui d'ailleurs sommeille encore dans ma bibliothèque, c'est avec hâte que je me suis lancée dans cette lecture. Lecture faite avec Audible, mon meilleur ami lors de mes déplacements ou les tâches ménagères !

Je ne savais absolument pas dans quoi je me lançais mais tout ce que je peux vous dire c'est que j'ai été complètement conquise par cette découverte, cette écriture entrainante qui vous mène sur de fausses pistes et dans des situations loufoques. J'ai littéralement été happé par cette histoire et cette fameuse chambre 622 du palace Verbier.

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